July 13, 2007

Children of Holocaust Survivors to Sue Germany

Certains professionnels - des révisionistes - du secteur de la protection de l'enfance française se sont directement référé à cette période de l'histoire.

En 1969, John Bowlby développe la théorie de l’attachement


« Les séparations sont faites pour conduire à des transformations »

Mon travail s’adresse plutôt à des professionnels ou des chercheurs qui s’occupent d’enfants ou d’adolescents présentant des troubles du comportement et de la personnalité. Il a essayé de déterminer comment l’institution Internat pouvait ou pourrait utiliser la situation de placement donc la séparation enfants/parents qui l’accompagne avec le plus de congruence possible pour réaliser sa mission de protection et d’éducation (ré). Je tiens à dire que je n’ai pas cherché à déterminer si le placement est une bonne ou mauvaise chose mais dans quelles conditions il peut devenir profitable pour l’enfant.

(...) C’est à partir de la seconde moitié du XXème siècle que les études sur les séparations deviennent plus systématiques et « avec le recul une synergie apparaît entre les thèmes investis par le chercheur et le contexte social, entre l’histoire des idées et celle des hommes : ce n’est pas un hasard si l’étude de la séparation prend naissance au détour d’une période de l’humanité marquée par des millions de morts et de déportations ».

Extraits de « Internat et séparations », par Richard Josefsberg,
Les Cahiers de l'Actif n°306/307, novembre - décembre 2001

SHOAH CLASS ACTION SUIT
Children of Holocaust Survivors to Sue Germany
Spiegel.de/International

A class action suit is to be filed in Israel against the German government on behalf of the children of Holocaust survivors who are in urgent need of psychological treatment.

A class action suit is to be filed in Israel against the German government on behalf of the children of Holocaust survivors.

The lawsuit, which will be filed in Tel Aviv on Sunday, will demand that the German government pay for the psychological treatment of children of Holocaust survivors living in Israel.

The suit is being filed by the Fisher Fund, an Israeli charity that helps Holocaust survivors, and will represent tens of thousands of Holocaust victims' children. The fund expects the number registered for the class action suit to soon reach 30,000 people, due to enormous media interest in Israel.

The suit is intended to benefit an estimated 15,000 children of survivors in Israel who are in need of psychological treatment as a result of being raised in dysfunctional homes. They suffer from depression, anxiety and other psychological disorders.

However there is little money available to pay for treatment -- neither from the Israeli government nor from other sources like the Conference on Jewish Material Claims Against Germany, which only supports direct survivors of the Holocaust and victims' heirs.

The class action suit is being filed after informal negotiations with the German government over a solution to the problem broke down. "We tried to negotiate out of court," Baruch Mazor, general director of the Fisher Fund, told SPIEGEL ONLINE Friday. "We had a very good contact in the German government, whom we met once. But he was instructed very strongly by the government in May not to talk to us any more, and he refused to take our calls. So we had no choice but to go to court."

He said there was "huge pressure" from the children of survivors, hundreds of whom came to a meeting the Fisher Fund recently held in Tel Aviv, to go to court after the negotiations broke down.

The Fisher Fund stresses that all they want is a solution to an "objective problem" and that the money will only be used to pay for treatment and an accompanying cultural project where interviews with children of survivors would be filmed. The money would not be given as compensation to survivors' children.

The suit contains case studies detailing the condition of five children of survivors, who volunteered their medical records and who are suffering from various levels of post-traumatic stress disorder (PTSD). The suit also includes a professional opinion by a top Israeli psychiatrist who confirms that clinical research shows a high frequency of emotional disorders among the children of survivors and identifies them as suffering from PTSD.

It is not clear what chance the suit has of success. The German Finance Ministry told SPIEGEL ONLINE in a statement given in April that a class action suit is "unlikely to succeed."

If the case does not succeed in Israel, Mazor says the Fisher Fund may file another suit in a German or international court. They are already collecting money to do so, he said. "But if the Tel Aviv court recognizes that the second generation are also victims, then that is already a significant step," he said.

Mazor spoke of "a huge and very positive reaction" to the Fisher Fund's campaign in Israel, where the case was featured in several leading Israeli newspapers Friday as well as on a leading radio station. "It's not just a lawsuit, it's the beginning of a movement," he said. "Germany will somehow have to react to the problem. It will have to adopt not only a legal position but also a moral position."

"People in Israel feel we are doing something moral and important," he said. "They say we are doing holy work."

STRASBOURG (Reuters) - Les requêtes de 154 Norvégiens nés de père allemand et de mère norvégienne durant la Seconde Guerre mondiale ont été jugée irrecevables par la Cour européenne des droits de l'homme.

Les requérants se plaignent d'avoir été marginalisés et maltraités durant leur jeunesse du fait de leurs origines.

Dans une décision publiée vendredi, la juridiction du Conseil de l'Europe a donné raison à la justice norvégienne. Celle-ci avait définitivement débouté les plaignants en 2002 de leur demande d'indemnisation en raison de la prescription des faits qui était de 20 ans après leur majorité.

Ces sexagénaires invoquaient trois article de la Convention européenne des droits de l'homme qui interdisent les traitements inhumains et dégradants, les discriminations et garantissent le droit au respect de la vie privée et familiale.

Entre 1940 et le printemps 1945, de 10.000 à 12.000 "enfants de guerre" sont nés en Norvège de père allemand dans le cadre de la "Lebensborn", une politique nazie qui encourageait la procréation d'enfants considérés comme "racialement purs".

Les requérants disent avoir été victimes après-guerre de brimades et de mauvais traitements, voire de violences sexuelles, du fait de leur statut d'"enfants de guerre".

Dans sa décision, la Cour européenne s'interroge sur le caractère éventuellement "continu" des violations alléguées qui l'autoriserait à condamner la Norvège.

Elle constate in fine l'imprécision des griefs et le fait que la plupart des déclarations ou mesures discriminatoires dont les plaignants disent avoir été victimes datent des « cinq années après la seconde guerre mondiale ».

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- Le rôle positif de l'action et de l'intervention sociale ? -


Posted 18 years, 2 months ago on July 13, 2007
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Re: Children of Holocaust Survivors to Sue Germany
JERUSALEM - Une organisation israélienne représentant des milliers d'enfants de rescapés des camps de concentration nazis ont intenté lundi un procès collectif contre l'Etat allemand, exigeant qu'il rembourse leurs frais de soins psychiatriques.

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Les Israéliens, qui se disent "rescapés de la deuxième génération", soutiennent que les séquelles qu'a provoqué le génocide nazi chez leurs parents ont été transmises à la génération suivante. Plusieurs d'entres eux souffrent toujours d'une crainte irrationnelle de famine et de lourdes dépressions, selon la plainte.

Ce procès marque "la toute première fois qu'il sera demandé à l'Etat allemand de prendre la responsabilité et de s'occuper de ceux de la seconde génération en Israël et, d'ailleurs, dans le monde entier", a déclaré l'avocat Gideon Fisher avant de déposer la plainte auprès d'un tribunal de Tel Aviv. M. Fisher est le fondateur du Fonds Fisher, le groupe qui représente les plaignants.

L'objectif du procès est l'établissement d'un fonds allemand qui servirait à payer pour des sessions de thérapie bihebdomadaires pour 15.000 à 20.000 personnes. Cela représenterait selon les plaignants 10 millions de dollars (7,3 millions d'euros) par an pendant trois ans.

Selon le directeur du Fonds Fisher, Baruch Mazor, 4.000 personnes se sont inscrites comme plaignants.

On ignorait pour le moment la portée que pourrait avoir la décision d'un tribunal israélien pour un pays étranger. Les plaignants pourraient tenter de négocier un accord à l'amiable, ou se tourner vers un tribunal international, selon M. Mazor.

Les autorités allemandes n'ont pas réagi dans l'immédiat.

Depuis les années 1950, l'Etat allemand a payé plus de 60 milliards de dollars (44 milliards d'euros) de réparations aux survivants de la Shoah et aux membres des familles des quelque six millions de victimes juives. AP

Posted 18 years, 2 months ago by Anonymous • • • Reply
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