Mot(s) clef: joyeux divorce
Une avocate marseillaise égorgée dans son étude
NDLR : Evidemment, un meurtre d'une avocate, c'est assez terrible, comme ceux de notables, en Corse. Mais dans l'information immédiate et « éphémère », « tout se perd et tout se vaut », nous a dit le collégien Darcos ; on doit juste être passif devant ces flux d'images et d'informations, on doit voir défiler les tweets, les coupons de presse ou voir passer les billets de blogs comme les vaches voient passer les TGV
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Une avocate marseillaise égorgée dans son étude
Créé le 30-11-2012 à 23h45 - Mis à jour à 23h45, NouvelObs
MARSEILLE (Reuters) - Une avocate a été retrouvée vendredi la gorge tranchée dans son étude du centre-ville de Marseille, a-t-on appris de source policière. Le corps de la victime a été découvert dans l'après-midi par son associé dans leur cabinet de la rue Saint-Ferréol, la principale artère piétonne de la ville. Me Raymonde Talbot, 65 ans, était spécialisée dans le droit des personnes, de l'immobilier et du commerce. Elle avait prêté serment en 1981. L'enquête a été confiée à la police judiciaire. "Il s'agit manifestement d'un acte criminel, d'un homicide", a affirmé à la presse le procureur de la République Jacques Dallest, qui s'est rendu sur les lieux. Le magistrat a précisé que la victime avait été atteinte de plusieurs de coups donnés à "l'aide d'un objet tranchant", vraisemblablement un couteau, à plusieurs endroits du corps. La victime présentait une plaie plus profonde au niveau de la gorge qui pourrait être, de source proche de l'enquête, à l'origine directe de la mort de l'avocate. Les enquêteurs, qui n'excluent aucune piste, ont saisi plusieurs bandes vidéo de caméras disposées dans cette rue très commerçante de Marseille.
Jean-François Rosnoblet, édité par Gérard Bon et Danielle Rouquié
« Mon ex est une mère toute puissante »
NDLR : Un extrait de « TOUS EGAUX », Libération du 15 et 16 décembre 2012... « Mon ex est une mère toute puissante », le récit d'un #JoyeuxDivorce #gay ? J'ai du mal à saisir certaines revendications ou larmoiements des #LGBT, maintenant soutenus par le #PS. En des domaines tels que l'autorité parentale et divers droits, comme l'hébergement des enfants, les #LGBT n'ont-ils pas déjà acquis les mêmes droits ou peines que les hétéros ? Mais oui, c'est dur, ces histoires, et on le sait tous, et les socialistes très bien aussi, les tribunaux, ça fonctionne vraiment mal. Malgré tout, dans ces situations parfois très éprouvantes, il faut saisir un juge, faire appel, patienter, espérer, persévérer, insister, ou aller se faire soigner quand on est « pas content », etc, comme tout le monde. A quoi serviraient, sinon, les tribunaux, à sauver les éléphants du cirque Pinder ? Ils pourraient mourir
C'est quoi ce sketch? Ils sont déjà les mêmes droits que les hétéros, que veulent-ils de plus? #MariagePourTous #LGBT twitter.com/bkant/status/2…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 17, 2012
.@dassouline :« le PS appelle à la mobilisation le 27 janvier aux côtés des associations» bit.ly/TrgmOb
— Parti Socialiste (@partisocialiste) Décembre 17, 2012
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Drame familial à Salon : « ce fut un choc et la semaine fut terrible »
NDLR : Le prochain qui me pond un laïus, une complainte ou un court tweet, me parlant d'une femme baffée façon Trintignant, je lui retourne direct que la victime avait très certainement été violentée en bas âge, par son papa de merde, et qu'on n'y peut rien, si la pauv'dame en redemandait. Qu'on ne me reparle plus non plus d'homophobie, à moins que ce ne soit pour rediscuter de l'efficacité ou de l'utilité de la HALDE, et surtout du terrible cas Sébastien Nouchet et de ses agresseurs. Mon billet du 14 courant, je ne le mettrais finalement pas à jour ; je conserve cependant mes notes ou tweets (auxquels personne n'avait réagit, comme le plus souvent) ; gazouillant, j'avais raillé Valls, son « opération séduction », son discours adressé récemment à la Fédération protestante de France, et réagit également à une citation de Alain, selon qui, « penser, c'est dire non ». Oui, ce que je publie peut être illisible pour beaucoup ; de mon point de vue, ce sont d'autres qui sont abjects lorsqu'ils s'obstinent dans leur mutisme, lorsqu'ils refusent les débats portant sur la protection de l'enfance, ou même lorsqu'ils refusent les débats portant sur les divorces les plus conflictuels. Hier sur Twitter, je finissais ma soirée en citant Jean Genet, une phrase extraite de Pompes funèbres, Sartre pouvait le lire : « Pourtant, si je me complais dans la vue de tant de laideurs que j'enlaidis encore quand j'en écris, dans ce que m'inspire la mort de Jean existe cet ordre de ne rien faire de mal. ».
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Drame familial à Salon : "Ce fut un choc et la semaine fut terrible"
Publié le dimanche 23 décembre 2012 à 14H54, La Provence, extrait
Il y a une semaine, Uribatan Teles Almeida poignardait de deux coups de couteau sa femme, Catherine, 29 ans et caporal-chef à la base aérienne 701 de Salon, et pendait leurs deux filles, Suely et Yuna, 3 et 6 ans, avant de lui-même se suspendre à une corde. Catherine lui avait annoncé son souhait de divorcer. Arrivant du Brésil, la petite famille venait de s'installer dans le quartier Saint-Jean en août.
Aussi abrupte qu'absurde, la tragédie laissait encore hier sans voix la plupart des participants à la marche blanche organisée durant l'après-midi par la FCPE en mémoire des trois victimes, dont les corps ont été rapatriés en Alsace auprès de leur famille maternelle.
Une marche en trois étapes... la suite, sur La Provence
Droit de garde : huit pères en haut de la cathédrale d'Orléans
NDLR : « Et que se passera-t-il après ces rendez-vous à la pelle ? L'histoire ne le dit pas... » Probablement du travail à n'en plus finir pour le parquet, quelques « femmes de ménage » et nos services de psychiatrie ? Je devrais peut-être téléphoner à l'Express ou à l'AFP, pour leur expliquer comment Paris traiterait ces « protestataires ».
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ORLEANS
Droit de garde: huit pères en haut de la cathédrale d'Orléans
Par LEXPRESS.fr, publié le 09/05/2013 à 17:22, mis à jour à 17:22
Après les grues, les cathédrales: huit père et une mère se sont réfugiés sur une terrasse de celle d'Orléans, d'où ils entendent protester contre des problèmes de garde d'enfant.
Huit pères et une mère se sont retranchés ce jeudi après-midi sur une terrasse de la cathédrale d'Orléans pour dénoncer des problèmes de garde d'enfants et réclamer le respect de la loi.
Le groupe, venu de plusieurs endroits de France, dont la Bretagne ou la ville de Caen, a investi la cathédrale à l'occasion d'une visite de l'édifice qu'il a lui-même organisée, a expliqué l'un de ses membres, Jean Le Bail.
Les neuf personnes ont ensuite décidé de rester sur la terrasse, située au-dessus de la façade principale, au pied de la tour sud.
Ils ont déployé des banderoles, peu visibles depuis le bas de la cathédrale. Selon Jean Le Bail, y est notamment inscrit "Pères bafoués, enfants volés, ça suffit".
"Nous sommes installés en haut de la cathédrale afin de réclamer que le droit des enfants à leurs deux parents soit respecté par la justice", a déclaré ce papa qui prétend "ne plus avoir de nouvelles de sa fille depuis 2008".
"Un an après la séparation des parents, il y a 30% des enfants qui ne voient plus le parent à qui ils n'ont pas été confiés, accuse-t-il. Et dans 80% des cas, c'est le père qui est exclu de la vie des enfants. C'est une violation de la convention internationale des droits de l'enfant dont la France est signataire".
"Ce qu'on demande, c'est le respect de la loi", défend-il, affirmant que certains membres du groupe "resteront jusqu'à ce que la justice se bouge".
Avec AFP
Lyon : le père soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants en garde à vue
NDLR : « La première fois que le père divorcé gardait ses enfants ». Un #JoyeuxDivorce qui devrait encore donner du grain à moudre à nos « féministes », ou contre tout ces pères qui se juchent sur des #grues
Actualité > Faits divers
Lyon : le père soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants en garde à vue
Le Parisien | Publié le 19.05.2013, 11h34 | Mise à jour : 12h24
L'homme de 48 ans soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants de 5 et 10 ans près de Lyon après un divorce difficile était toujours en garde à vue dimanche en fin de matinée.
Les corps de la fillette de cinq ans et de son frère de dix ans avaient été découverts samedi en fin d'après-midi dans l'appartement du père, à Saint-Priest, dans la banlieue sud-est de Lyon.
Selon plusieurs témoignages, cet homme d'origine britannique avait pris la fuite à rollers...
Le caractère abusif d'un internement psychiatrique devant la justice
NDLR : La version du Monde avec l'AFP est à peine différente de ce que j'ai perçu. Valérie est une fidèle de l'église évangélique Charisma ? Il semble s'agir d'un courant protestant. Quelques uns de mes propres billets ainsi que ce que j'exposais à la cour d'appel de Versailles a souvent agacé la Cour comme le pasteur d'Uhrwiller. Valérie, fidèle, protestante, ne peut pas recevoir ses enfants, mais le pasteur Clementz, à la perception apocalyptique du monde, était tout à fait apte à s'occuper convenablement de mon ainée ? On va donc enfin parler de sectes, discuter très intelligemment de vrais sectes ou de pratiques parfaitement abjectes. J'adore. Voir aussi, page 2, une réponse que m'avait un jour faite la MIVILUDES, j'avais alors surtout critiqué l'OSE France
Société
Le caractère abusif d'un internement psychiatrique devant la justice
Le Monde.fr avec AFP | 12.06.2013 à 22h02
Le ministère public a demandé mercredi 12 juin aux magistrats de la cour d'appel d'Orléans de confirmer en appel le caractère abusif de l'internement psychiatrique d'une jeune femme, hospitalisée sur décision préfectorale en juin 2010, à la demande de son époux.
L'avocat général a estimé que la décision d'internement de Valérie Dubois, 34 ans, avait été prise sur la base de faux certificats médicaux établis à deux reprises par le médecin de famille, en avril et en juin 2010. Le praticien, sollicité par le mari qui a depuis demandé le divorce, disait avoir examiné la patiente le jour de la rédaction des documents. Or sa dernière consultation remontait au 8 mars 2010, date à laquelle elle était venue le voir pour des violences conjugales.
AUCUN TROUBLE PSYCHIATRIQUE
Selon l'époux, Valérie Dubois, qui fréquente l'église évangélique Charisma, souffrait de délires mystiques qui risquaient de mettre en danger sa vie et celle des deux enfants du couple. Internée en juin 2010 à l'hôpital de Fleury-les-Aubrais (Loiret) sur décision préfectorale, elle en était sortie un mois plus tard grâce à une mainlevée du juge des libertés et de la détention, décision confirmée en appel. Elle a ensuite fait réaliser une expertise qui ne relève aucun trouble psychiatrique. Mais la garde de ses enfants âgés de 9 et 13 ans lui a été refusée, et elle ne peut les rencontrer que deux heures par semaine dans un cadre neutre.
Affaire Fiona : la mère en grève de la faim
Très intéressant, ce que la presse relaye là. Aussi passionnant que ces détournements d'une photo d'un bébé belette sur le dos d'un pivert. Ca doit générer du clic et de très nombreux commentaires, comme cette étude sur la taille moyenne du pénis, chez l'homme. Du clic, des cris, des ragots ou du buzz autour de quelques coupons de presse, du grand journalisme, sans risques de poursuites au motif de diffamation, ou alors vraiment minimes.
« Cécile Bourgeon, suspectée d'être impliquée dans la mort de sa petite fille de cinq ans, Fiona, en mai 2013, a décidé d'entamer une grève de la faim après le rejet d'une nouvelle demande de remise en liberté », lit-on sur le Figaro, « "Je souffre, je deviens folle. J'ai besoin de retrouver ma liberté", explique la femme de 28 ans. Incarcérée à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, au moins jusqu'à son procès devant les assises, annoncé pour le premier semestre 2016, elle envisage à présent de se pourvoir en cassation. »
Il me semble qu'il y a des limites à la détention provisoire. Et qu'en tous cas, les voies dites de justice ou de recours peuvent être utiles à ces personnages ; il faut bien qu'elles soient parfois utiles à quelques uns, ou nous n'y croirions plus, nos avocats non plus ! Puis qu'en dire ou qu'ajouter encore, sinon bon courage à Cécile Bourgeon ?
De source Google, les news
Eolas, ce lolymous ou Batman : rien qu'un dommage collatéral
On m'a fait remarquer que je ne lâchais plus #EolasIPJ Eolas. On m'a même posé une question tout à fait explicite : « ben pourquoi cette fixette sur eolas ? » Lorsque quelque chose m'amuse, mérite à mon avis d'être souligné, me dérange, me gène ou m'ennuie, je le dis, je tweete, et lorsqu'on m'attaque, je mords et ne lâche plus jamais prise - quelques uns, dont des magistrats et même des notaires, ont déjà pu le constater. Sur Twitter, lorsqu'un bruit ou rumeur m'a intéressé ou ennuyé, ça se voit, je tweete moi-même et j'utilise des hashtags. C'est pratique, les hashtags : c'est utile pour diffuser des opinions, même jusqu'auprès de ceux qui m'ont bloqués ; ça me permet également d'organiser mes tweets par catégories, pour les retrouver plus facilement aux archives. Comme je l'ai rappelé dans un précédent billet, il existe un passif, dont une grosse vacherie que m'avait lançé Batman, ce justicier du net ; quelques uns ont pu en conclure que j'en veux énormément à Eolas, des suites à un ou divers petits différends d'ordre privés ; un tout petit fond existe donc bien, je ne le cache d'ailleurs pas, et ce fond ou souvenir est très certainement assez réciproque ; mais s'il existe un passif de cette nature, c'est sûrement plus lié à la personnalité d'Eolas, coutumier, ce que je soulignais d'ailleurs, ces jours-ci :
@bkant Merci :-)
— mchristine gryson (@outreauvo) 7 Juillet 2015
Comme depuis toujours, ces jours passés, j'ai tweeté à plein de sujets, pas uniquement sur le thème #EolasIPJ. « Igor et Grichka Bogdanové : `' Nous n'avons jamais été condamnés " », pouvait-on lire ce 3 juillet, sur le Figaro (l'article du Figaro a depuis été mis à jour). J'ai aussi tweeté sur ce thème ; mes tweets comme l'article du Figaro ainsi que la réponse de sciences.blogs.liberation.fr à ces frères sont certainement passés totalement inaperçus.
@DrTrollkiller L'exemple #TP L 761-1. Pour les frères Bogdanoff, il faut lire leur arrêt pour comprendre. pic.twitter.com/v2MZLuLhqy
— Bruno Kant (@bkant) 3 Juillet 2015
Le mois passé, sur #Outreau quelques unEs finissaient assez vite par me traiter de « SOS papa », de pédophile, de « masculiniste », de repris de justice, de malade mental, de « bitard »... C'est courant, et encore une fois, ce n'est certainement pas lié à ma propre personnalité ; Eric Dupond-Moretti en sait quelque chose, en mai dernier, pour France Inter, lui-même nous disait : « je me fais pourrir, de lettres anonymes en blogs (Mediapart) ». Chacun débat, réplique ou s'exprime comme il peut ; voire même comme un Eolas. Et parfois, ça coince ; il y a peu, une twittas a d'ailleurs fini muselée. Je suis souvent sinon quotidiennement le flot de l'actu ou de ce qui fait du bruit ; il y avait #EolasIPJ parmi les gros bruis du moment, ce qui a pu donner le sentiment à certains qu'il n'existait plus que lui ; même si je discutais aussi de quantités d'autres choses, dont du communiqué récent du bâtonnier #Rantanplan de Paris. Par le passé, j'avais pas mal tweeté avec le hashtag #JeSuisParisienne ; certains en avaient conclu que je n'étais rien qu'un amoureux éconduit ; mais c'est absolument faux - ne surtout pas lire là des dénégations similaires à celles des Bogdanov
#Outreau #EolasIPJ DSK #ASE #éducspé #Chambon #MariagePourTous les Bogdanov #MagistatsSansTwitter #masculinistes FEMEN #PorCorns francs-maçons #JoyeuxDivorce je tweete à tous sujets. A la période #JeSuisParisienne qui faisait un bruit énorme avait très brièvement émergé #JeSuisLyonne ; on m'avait alors demandé ce que je reprochais à ces trois autres jeunes femmes... Je lis, je suis, je suis ces actualités, j'étudie et compare également ces phénomènes, ces bruits. Souvent, sur ces hashtags, il ne se diffuse que beaucoup de propagande, plus rarement des contrepoints. Pour ce qui concerne Eolas, c'était le sujet du moment, sur Twitter, je lisais essentiellement des soutiens ; très en marge, j'ai bien remarqué quelques hostilités, il m'a semblé que Eolas et son milieu les ont bien repérés aussi, ils les connaissent peut-être même bien. Batman, justicier 2 ou 3.0, contre l'IPJ, ces méchants d'un tout autre bord politique, qui ont eu le toupet de trainer la star #Nabilla jusque dans un prétoire... Sur Twitter, quelques affaires font parfois l'unanimité. L'unanimité sur les réseaux comme dans les journaux #JeSuisCharlie s'impose plus rarement à tous. Sur twitter, on me taxe très fréquemment de « troll » ; c'est comme ça, surtout comme ça lorsque #lesgens refusent et rejettent la contradiction, quelle que soit sa nature. Autour de cela, je remarque fréquemment d'énormes mensonges :
@KarinePlassard ouf à signaler d'urgence. Il troll les féministes, les fait suspendre. @RadCashew @LisePoupoupidou @Euterpeaventure
— Stephanie Lamy (@WCM_JustSocial) 4 Juillet 2015
C'est curieux. Dans mon blog et sur Twitter, j'avais bien et durant très longtemps exprimé, précisé que j'allais à Metz, auprès du JAF, dans le cadre d'une procédure hors divorce, sur le thème pension alimentaire. Puis que la requérante a été déboutée, condamnée aux dépens, que deux avocats de Metz ont été payés au lance pierre. Stephanie Lamy n'a pas réagit à ces informations ; mais elle se contente peut-être de crier fort sur Twitter #censure sans jamais rien lire...
Si Eolas, le lolymous, s'est attiré quelques uns de mes tweets, ce n'est pas par hasard. Non en raison d'un petit différend, de piques qu'on s'échangeait, mais parce qu'il est un professionnel dans le déni, dans l'ignorance, de mauvaise foi ou naïf, comme beaucoup d'autres professionnels #avocats #éducspé et twittos. Mes véritables cibles sont d'ailleurs tout autre part, pour qui m'a lu ou me connait, elles se situent dans le domaine de la protection de l'enfance, territoire où tout est mystère - pour un bref aperçu, lire ce billet de Dadouche, contributrice, et les échanges à sa suite, dans le journal d'un avocat. Mathieu #Chambon avait été signalé et était suivi par un juge, ça n'a pas sauvé Agnès, ni d'ailleurs Mathieu :
Punaise. Un suivi par le juge des enfants l'aurait sauvé mais jamais signalé. #LTGAV
— Maitre Eolas ✏️ (@Maitre_Eolas) 19 Décembre 2013
J'arrête là, à ces sujets, la protection de l'enfance, son merveilleux et ses couacs. J'en ai une très longue expérience, sauf à de rares exceptions ou lorsque les parents sont coupables, ça n'intéresse jamais personne, les victimes de cet archipel sont et restent inconnues, ignorées, il ne s'agit pas de violences faites aux femmes ou aux aînés, il ne s'agit pas de violences infligées à des présumés coupables, qu'il s'agisse de femmes, d'enfants ou même d'hommes, ni de violences infligées à un multirécidiviste rattrapé une nième fois par la justice. Ce JDD #Chambon N° 338-339, 2014/8 #MIE #LMEF pour les 25 Ans de la CIDE était véritable un collector, il anticipait même #JeSuisCharlie les attentats de janvier dernier :
#Chambon #CharlieHebdo
@Just1M0t Un JDJ collector. Jean-Luc Rongé ment, ignore ou nie la réalité, et milite :-) pic.twitter.com/JR3JXEhcac
— Bruno Kant (@bkant) 25 Janvier 2015
Je reviens enfin, tout de même, et très brièvement sur la robe d'Eolas. Dans un précédent billet, j'écrivais que je lui arrachais cet accoutrement, que je ne lui reconnaissais plus sa qualité d'avocat ; ça a pu faire beaucoup ricaner #DinerDeCon dans son entourage immédiat #avocats #BacPlus8 - « c'est quoi, ce troll #Idiocracy dans le public, qu'est-ce qu'il raconte ! » Batman, Eolas et l'avocat seraient des sujets bien distincts, la presse et les soutiens du justicier masqué insistent d'ailleurs beaucoup sur ce point. Je lui dénie des qualités et je souligne maintenant que Eolas lui même mis à l'écart son règlement, tout ce qui a trait à la déontologie, à la dignité, aux réserves, etc, pour mieux préserver son pseudonymat, pour nous élaborer un très joli mythe auquel on doit croire, il n'y a pas d'alternative - lire Pourquoi mon anonymat ? Ce qui n'arrache rien à son blog, vers où j'ai souvent renvoyé, ni à ce que Eolas a pu remporter dans ses domaines de prédilection, notamment en droit des étrangers ou au cours de nuits passées en gardes à vues. « Batman », je crois que Tristane Banon n'a pas fini d'en pleurer de rire ; dans Le bal des hypocrytes, elle écrivait : « C'est écrit, et comme tout ce qui est écrit, ça semble vrai, ça fait sérieux. C'est pourquoi, quand on invente, on précise `' roman " sur les livres, sinon il y a bien longtemps que les gens marcheraient dans les rues le nez en l'air en attendant que Batman descende du ciel » Et manifestement, #MagistratsSansTwitter et #EolasIPJ ou #IPJ ne sont pas les seuls sujets ou affaires dans lesquels Eolas, son milieu et ses followers se sont beaucoup impliqués ou appliqués.
.@maitre_eolas Ou c'est déjà oublié, tout ça? http://t.co/d0XUJsQfQi #EolasIPJ pic.twitter.com/te9B00RMX4
— Bruno Kant (@bkant) 9 Juillet 2015
@Proc_Gascogne Vous savez bien que votre conscience est laissée en consigne à l'ENM, à côté de votre humanité.
— Maitre Eolas ✏️ (@Maitre_Eolas) 23 Novembre 2012
Je suis Maitre Eolas et j'approuve ce message http://t.co/rMxEUvgY
— Maitre Eolas ✏️ (@Maitre_Eolas) 12 Décembre 2012
@bkant 😂😂😂😂Ah b'ah oui!
— Tristane Banon (@BanonTristane) 12 Juillet 2015
Sur le fond encore, je ne pense pas que grand chose nous sépare réellement, Batman ou ce mythe et moi. Il m'arrive donc de fréquenter un peu aussi des prétoires, d'en parler, et de remporter parfois de petites victoires. Et comme Eolas le lolymous, je m'exprime beaucoup sur la justice et des affaires ; selon une idée originale de Pascal Clément, Ministre de la justice, lancée aux alentours de 2005 et de l'après #Outreau ce naufrage. Pascal Clément nous disait alors de bien montrer la justice de qualité, la justice de tous les jours, celle qui touche ou satisferait le plus commun des Français. L'essentiel de la « Déclaration de M. Pascal Clément, ministre de la justice, sur les moyens de remédier aux dysfonctionnements de la justice et notamment de faire face à des procès particulièrement sensibles en prenant exemple sur ce qui a été réalisé lors des procès concernant l'accident du Tunnel du Mont Blanc à Bonneville et le réseau pédophile d'Angers, à Paris le 6 octobre 2005 » (attention, seul le prononcé ferait vraiment foi), « FRANCE. Ministre de la justice », « Circonstances : Réunion des magistrats et fonctionnaires ayant traité les procès... » : « Trop souvent la Justice est stigmatisée pour ses dysfonctionnements. Ceux-ci sont réels mais ils sont rares, très rares. En réalité, au quotidien, la Justice fonctionne beaucoup mieux qu'on ne le dit. ... C'est l'éternelle histoire des trains qui arrivent à l'heure. ... Mais je voulais d'abord, solennellement et symboliquement, mettre en lumière la capacité de l'institution judiciaire à traiter dans les meilleures conditions des dossiers pourtant extrêmement difficiles. ... Vous êtes le symbole de la qualité de notre justice au quotidien. C'est ce symbole que je tenais à saluer. ... Mais je pense aussi à l'avenir, à d'autres procès sensibles qui se tiendront. Je souhaite que votre expérience enclenche un cercle vertueux, que ces investissements ne soient pas sans lendemain. » Je n'ai pas souvent vu arriver le train à l'heure, lorsqu'il arrivait, ces années passées ; la faute à pas d'chance, m'expliquera-t-on, ou la faute à mes avocats, osera-t-on peut-être me répondre... L'affaire d'Angers dont nous parlait Pascal Clément, en octobre 2005, il y a dix ans, était un anti-Outreau de la protection de l'enfance, un réseau de pédophiles « ordinaires » qui n'avait pendant longtemps fait l'objet d'aucun signalement de la part des travailleurs sociaux.
En octobre 2005, il y a dix ans, ma fille aînée disparaissait. Elle avait été prélevée dans ma famille, par des travailleurs sociaux et des magistrats aux procédés et aux motivations des plus abjects. A l'époque, la « justice » avait plagié Kutzner contre allemagne et pire. Puis par la suite, même si ma fille ainée avait pu à nouveau et ponctuellement retrouver sa famille naturelle pour le printemps et l'été 2009, car j'avais ébranlé le juge pour enfant, même provoqué un changement de juge à Nanterre, nous la perdions à nouveau de vue, elle allait redisparaitre ; rien de bien anormal à cela ; aux alentours de 2009, s'obstinant, la « justice » décidait de plagier l'affaire Finaly... Cette histoire là n'est pas la seule au cours de laquelle les trains nous passaient dessus avec un peu de retard, passaient sur moi, sur ma famille, nos relations, passaient sur mes enfants et sur ma compagne d'alors. Inutile que j'en dise plus, que j'en ajoute, c'est depuis longtemps amplement documenté dans mon blog, alors que ce ne sont pas les hashtags à « troller » ou pour se distraire qui manquent.
Ben oui, Batman, juste un dommage collatéral, il l'a trop ouvert, soutenant des trucs qui ne me plaisaient pas. Souvent pas du tout. Cet ensemble étant ajouté et précisé, Eolas pourrait maintenant décider de réagir, de me répondre, ou même de m'assigner : « Don’t fuck with me. I’m a lawyer. », lit-on dans les mentions légales du plaideur #FreeSpeech
Si ls twittos de #Outreau se souciaient des anus des enfants ils auraient déjà retourné le 49 http://t.co/2qPaCVDMOB https://t.co/iaZPiMjQnG
— Bruno Kant (@bkant) 23 Juin 2015
Ajout du 12, plus tard. De mes tweets, comme il m'arrive d'en envoyer, depuis des années. Et ça ne plait pas beaucoup, je sais... ma bio Twitter : « D'après un psychiatre et plusieurs vrais magistrats, je n'aurais pas conscience des troubles que je crée autour de moi. Je décline toute responsabilité. » « En 2004 déjà, je prenais de front un magistrat, le juge pour enfant de Nanterre. Mais je manquais d'expérience. C'est puissant 1/2 2/2 C'est puissant, un magistrat qui s'obstine, qui s'entête. Et donc, il a ordonné, ordonné, ordonné, et évidemment gagné. En 2008, il y avait un autre magistrat à Nanterre. Qui ne voulait pas juger. J'ai insisté, fort. Il a du juger. Puis il a du disparaitre. Et donc, ensuite, en 2009, surtout à la cour d'appel de Versailles et chez les travailleurs sociaux, ça s'obstinait. Fort, encore très fort. J'ai fini par ne plus rassembler que du papier, dont un second arrêt de la cour de cassation, quoi redouchait la cour d'appel de Versailles. Problème: quand le train de la cassation arrive enfin, il a déjà coulé beaucoup d'eau sous les ponts. Quant on meurt pas écrasé, c'est noyé. »
Un problème ?
Depuis ce 15 courant, on ne me lit plus, ou que beaucoup moins. Je le constate à mes statistiques de consultations. J'agace, on dirait, des militants et plus. D'une part, ça ne me surprend pas. D'une autre, c'est depuis des années un de mes objectifs, de ne pas être trop lu, ou pas par tout le monde, d'être illisible pour le plus grand nombre. Donc, tout va bien.
Joyeux Noël, de bonnes fêtes, joyeux divorces, joyeux recours, courage, espoir, et que sais-je encore à tous
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