Le signalement est un devoir civique et une obligation prévue par la loi.

J'inscrit ce qui figure à la suite et ce que j'ai écrit sur Doctissimo dans le cadre d'un signalement.
Je demande simplement à être entendu et à ce que Justice puisse être rendue.

Pour le moment, seul le Médiateur Européen m'a officiellement répondu.



On m'a assuré que je ne reverrais plus jamais ma fille si je devais me plaindre du fonctionnement des institutions.
Mais ce premier juillet 2005 on m'a annoncé que ma première fille ne vivrait plus jamais avec nous...
Moi et les miens ne devrions d'ailleur bientôt plus avoir de relations du tout avec elle.

Des tiers ont employé certaines failles de l'outil socio-judiciaire pour nous arracher ma première fille.

J'ai été contraint de mettre en évidence certaines anomalies.



Il peut y avoir quelques erreurs sur ces pages car le sujet est tabou: on ne me dit pas tout.
Pire: on ne me répond pas ou on me raconte ou on m'écrit n'importe quoi.

Une telle situation est parfois très difficile à gèrer et à présenter mais le fond est bien là.



Un mode d'emploi permet de comprendre les détails que je dévoile sur ce site.
Un complément donne d'autres détails. J'ai toutes les pièces du puzzle.

J'ai installé un blog. A l'occasion je vais réorganiser le contenu du site.



Je me suis adressé au delà de nos frontières vu la nature des difficultés que je pourrais rencontrer.



J'ai fait parvenir un message et des informations à l'attention

de Madame le Défenseur des Enfants,
de Monsieur le Président de la République
ainsi qu'à l'attention de Monsieur le Premier Ministre.

Ce 14 août 2005, mes propres conclusions figurent à la suite de ce même message.



J'aimerais bien rencontrer le Défenseur des Enfants.

Je souhaiterais que je puisse être accompagné par ma compagne.

Vu les épreuves que les services socio-judiciaires ont imposé à ma première fille,
je souhaiterais rencontrer le Défenseur des Enfants avant qu'il ne la rencontre.





La maman de ma première fille est décédée en juillet 1999 alors qu'elle et moi étions séparés depuis 3 ans.

Au moment de la séparation j'avais du faire un référé pour obtenir droits de garde et d'hébergement.
J'ai exercé ces droits et je payais une pension alimentaire par virements bancaires.

Au moment du décès de sa maman j'ai récupéré ma première fille et je l'ai élevée.



Depuis, ma première fille m'a été retirée et est placée.
Mauvais père pense-t-on spontanément.

Le Juge des Enfants ne tient pas à me la rendre et on s'imagine que ce père est très mauvais.

On constate d'ailleurs que selon le Juge des Enfants, il aurait peut être des troubles psy.



Moi je constate que ma première fille est victime d'un rapt et de maltraitance institutionnelle.

La situation de ma famille et des miens est tout à fait carricaturale.

Il peut y avoir quelques erreurs sur cette page car le sujet est tabou: on ne me dit pas tout.
Pire: on ne me répond pas ou on me raconte ou on m'écrit n'importe quoi.

Une telle situation est parfois très difficile à gèrer et à présenter mais le fond est bien là.





Le signalement est un devoir civique et une obligation prévue par la loi.

Mais les services socio-judiciaires refusent de m'entendre et me prie même de me taire, d'admettre.

Sur cette page j'expose mes sentiments de père avec des références à des faits,
puis plus bas figurent des lettres, une ordonnance, un extrait d'un premier
fichier médical, un récépissé de dépot de plainte, etc, à titre d'exemples.



Le Juge des Enfants devrait avoir l'essentiel des éléments qui suivent à son dossier car je suis le père.

Il n'en a conservé qu'une partie s'il n'a pas tout écarté parce ce que mis en avant par le père.





Les services socio-judiciaires ne travaillent pas avec moi et ne respectent
pas ni les Codes, ni la Loi, ni la Morale. Ils se plaindront parce que je parle,
c'est évident, et je leurs répondrais avec ce que dont je dispose.

Les services socio-judiciaires auraient d'autres Codes et une autre Morale.

Les services socio-judiciaires ne travaillent pas non plus avec
ma première fille qui elle aussi sait des choses.

Depuis le 30 juin 2005 ma première fille ne souhaiterait plus rentrer car « elle » redouterait
les « discussions. » Je comprend qu'il faut que je cesse de mettre des tiers en difficultés.

J'y fais figurer leurs noms ainsi que le mien, je n'ai pas la moindre honte à avoir.

Je respecte les miens et eux, non.

Tous ces services m'ont toujours répondus soit qu'ils n'étaient pas ou plus concernés,
soit en m'assurant qu'ils agissaient dans l'intérêt de l'Enfant.

Dans les faits, les services socio-judiciaires servent les intérêts de tiers à qui ils donnent ma fille.





Les paragraphes qui suivent sont une partie de l'histoire et du vécu de ma première fille
ignoré par les services socio-judiciaires car ils ne veulent pas en entendre parler, en tous
cas ils ne veulent pas entendre ma version de l'histoire de ma fille et de ma propre famille.



Ce qui importe pour ces services est exclusivement que ma première fille éprouve du
plaisir auprès de sa famille maternelle en compensation de ce qu'elle a perdu sa maman.

Pour ces services, un père ne serait synonyme que d'autorité - celui qui interdit ou met en difficulté.



Je doute fort que ma fille épprouve souvent du plaisir avec ce que ces services lui imposent.

Les services socio-judiciaires n'accordent aucune écoute ni soutient à ma première fille.
« tu cherches » ou « écrase » lui disent-ils, cela aurait une « dimension éducative. »

Ces services composent sans moi et sans ma compagne et me prient de me taire, d'admettre.

Les services socio-judiciaires nient tout simplement l'existence de ma propre famille et de nos proches.



Il n'a pas plu à la famille maternelle que j'ai récupéré ma première fille au moment du décès de sa maman.

Mais ma première fille et moi étions relativement tranquilles car la famille maternelle n'a pas entretenu
de relations avec nous et n'a d'ailleurs jamais entrepris la moindre démarche auprès du JAF.

C'était assez difficile car elle venait de perdre sa maman et parce qu'elle refusait les apprentissages.
J'ai fait ce qu'il fallait pour aider ma première fille mais cela a été nié et la famille maternelle
m'a imputé toutes les difficultés de ma première fille. Elle n'a toujours pas fait le deuil de sa maman
ce qui n'a rien d'exceptionnel vu son age ni surtout les épreuves qu'elle a du traverser depuis.

J'ai acheté une maison et j'ai entrepris des travaux, la famille maternelle n'a pas apprécié non plus.

J'ai refait ma vie ce que la famille maternelle n'a pas du tout apprécié. La famille maternelle
m'a alors menacé et m'a demandé fermement de leur abandonner ma première fille.

Pendant qu'un second enfant était en route, j'ai à nouveau été menacé par la famille maternelle.



Après le décès du grand-père maternel (succession) et juste au moment de la naissance
de ma seconde fille en janvier 2003, la famille maternelle m'a accusé de maltraiter la plus grande.

Dans le même temps, la famille maternelle a convaincu la plus grande que je la maltraitais
car je l'empêchais soit-disant d'avoir des relations avec eux et que sa place serait à leurs côtés.

Ma plus grande était persuadée que je la délaisserais dès la naissance du nouveau bébé.

La machine socio-judiciaire s'est mise en marche en me plaçant sur le banc des présumés
coupables, à devoir attendre les résultats des enquêtes et expertises successives.

Je supposais qu'à un moment où à un autre, cela allait cesser faute d'éléments pertinents mais
aux dernières nouvelles, je passerais prochainement devant un expert médecin psychiatre.

Comme ces investigations traînent et que le placement dans l'établissement doit avoir un terme
(limite de deux ans bientôt atteinte), ma première fille va être confiée à la famille maternelle.



La famille maternelle avait au moins 3 options pour entretenir des relations avec ma fille:

a) entretenir des relations avec ma fille et moi puis avec ma famille

b) s'ils ne souhaitaient pas de cela, saisir le Juge aux Affaires Familliales et n'entretenir des relations qu'avec ma fille

c) faire le nécessaire pour que le Juge des Enfants soit saisi et obtenir la garde de ma fille


La famille maternelle a opté pour c) et m'a accusé de maltraiter ma première fille.
La famille maternelle a aussi manipulé ma première fille.

L'une de ses tantes est assistante sociale à l'ASE, elle est expérimentée et connais donc les discours à tenir.

En optant pour c) La famille maternelle conserve main mise sur les biens et les successions de ma fille.


Si mes prochaines démarches n'aboutissent pas j'irais tout droit m'adresser à la Cour Européenne.
J'ai cependant bonne confiance en la Cour d'Appel de Versailles et en ce dont je dispose aujourd'hui.





Le Juge des Enfants jouerait-il la montre pour que le rapt puisse être légal?
Ce 1er juillet, en l'abscence de greffier, il m'a assuré que ce n'était pas un rapt.

Il faut que j'accède enfin au dossier du Juge des enfants pour lire les rapports que l'établissement
de Taverny y verse. Il me faut la confirmation écrite que ces rapports me prètent des attitudes et des
intentions que je n'ai jamais eu. Je ne serais pas surpris si le personnel de l'établissement
de Taverny se trompait encore d'enfant, de dossier ou de parent au moment de rapporter.

Certains éléments me paraissent anormaux lorsque je recoupe avec mes factures téléphoniques...
Et d'après ce que le Référent Familial m'a écrit, ma fille devrait être à la maison depuis le 7 juin 2005.



J'ai le sentiment qu'il n'y a jamais eu enquête sociale vu ce que j'ai relevé et je ne sais toujours pas par
qui ou comment le Juge des Enfants a été saisi. La famille maternelle qui réside à 400km de chez moi et n'a
pas eu de relations avec nous s'est chargée avec l'ASE puis l'OSE d'alimenter les dossiers socio-judiciares...

Parmis les membres de la famille maternelle il y a un pasteur, un médecin, une assistante sociale de l'ASE.

Eux ne seront pas contraints à un d'entretient avec un expert médecin psychiatre ni même avec un psychologue.

Moi je ne suis que ingénieur et père (et ma compagne actuelle et ma seconde fille n'ont donc jamais existés)!

Je ne m'étendrais pas dans le détail sur ce que je pense de l'attitude et de la personnalité du Juge des Enfants.
Le Juge des Enfants traite ce dossier comme il en a déjà traité d'autres: enlever l'enfant à A et le donner à B.
Le Juge des Enfants va d'ailleurs jusqu'à se tromper de prénom et d'affaire à l'ouverture d'audience
tellement la symbolique de ses décisions et de ses méthodes sont similaires. J'ai été profondémment
choqué lorsque le Juge des Enfants m'a assuré spontannément et sans que personne n'ait fait la moindre
remarque qu'il ne s'agissait pas d'un rapt et je lui en suis très reconnaissant.





l'ASE (mission d'investigation ) puis OSE (d'abord mission d'investigation puis service gardien) n'ont
jamais souhaité travailler avec moi privilégiant à chaque fois propos, valeurs et intérêts de tiers.

A force de ne jamais avoir été écoutés ma fille, ma compagne et moi, d'être moi le présumé coupable de
l'histoire et de culpabiliser stupidement, j'ai déprimé. Un jour les services de l'OSE en charge d'une enquête
m'ont dit des choses que je n'ai pas supportées. J'ai souhaité suite à cela que le Juge des Enfants m'assure
qu'il privilégierait la relation père-enfant, les intérêts de ma fille et de ma famille: niet et j'ai craqué.

Quand j'ai craqué le Juge des Enfants a saisi cette opportunité pour placer ma plus grande fille et initier
une enquète ainsi qu'une expertise du fait de mes comportements qu'elle a qualifiés d'abandonniques.
Après m'avoir entendu, un inspecteur de la brigade des mineurs m'a dit que tous les parents craquent. Il
y a eu classement sans suites sur le plan pénal et 15 mois plus tard, les faits et l'expert ont confirmés
qu'il n'y avait pas lieu de donner suite. La Juge des Enfants s'en tient à ses premières impressions.

Le Juge des Enfants s'en tient aussi à ce que je stigmatiserais ma fille car j'affirmerais qu'elle a besoin de soins
psychiatriques ; et de rien d'autre. Ce sont des propos que le Juge des Enfants m'a pretés. Ce 1er juillet 2005 le Juge
des Enfants avait reçu son rapport rendu par un expert de la petite enfance et a souligné que ma fille est en bonne
santé et qu'elle est intelligente. Je lui ai répondu que ce rapport confirme ce que je lui affirmais il y a 2 ans déjà.

Il y a un an et demie, le Juge des Enfants a décidé de placer ma fille.
Aujourd'hui, il persiste en ce sens et ne me la rend plus.





Normal que le Juge des Enfants doute selon ce que contiennent réellement les rapports de l'ASE et de l'OSE.

Ce premier juillet 2005 j'ai traité le Directeur de l'établissement de Taverny de menteur ce qui a jeté un froid
en audience. Il a répondu qu'il a 30 ans d'expérience et de bonnes relations avec la police municipale de
Taverny. Etrangement, ces mêmes services de police municipale refusent depuis un moment de me recevoir.



Au Château de Vaucelles - et exclusivement dans cet établissement - Ma fille est
victime de violence habituelle ainsi que de discrimination raciale.

D'après le Directeur ce serait lié à un trouble de la relation père-enfant. Le Directeur et l'expert psy
prétendent que du fait de ce trouble ma première fille et moi devons absolument être séparés.

D'après le Directeur, message que relaye ensuite un expert, ma fille « se fait » blesser
pour que je m'intéresse à elle. En audience, le Directeur a ajouté « le vendredi ».

De mon point de vue de père, « plusieurs enfants insultent, frappent et blessent régulièrement » ma première
fille du fait des défauts de surveillance et des carences éducatives imputables à la direction et au personnel de
l'établissement gardien. Les fais de violence volontaire sont indépendants du calendrier des week-ends et
la discrimination raciale est quotidienne (les grands parents maternels de ma première fille sont allemands).

Faute d'y être encadrés, dans l'établissement de Taverny certains enfants cassent les volets.
On n'impute pas la faute aux volets, on n'écrit pas « les volets se font trouer ».

Mais mon point de vue de père ne compte pas. On m'envoie chez l'expert médecin psychiatre.
Normal selon ce que contiennent réellement les rapports de Taverny.





Mais admettons que ma fille « se fasse » blesser du fait d'un trouble de la relation père-enfant.

Le Directeur porte régulièrement et systématiquement atteinte à l'autorité parentale, endosse même
le statut de tuteur légal de ma fille. L'attitude de ma fille ne pourrait-elle pas être liée à celle du Directeur?
Pourquoi ma fille ne rencontre-t-elle jamais aucun problème ailleurs que dans l'établissement de Taverny?



Le Directeur, Monsieur Richard Josefsberg est l'auteur de « Internat et séparations. »

L'établissement de Taverny applique une théorie pour que ma fille aille mieux.

Enlever l'enfant à A et le donner à B. A l'internat, l'image de A est « travaillée »
pour tenter de convraincre l'enfant que A est mauvais et que B est bien.



La famille maternelle tente ce même « travail » destructeur depuis plusieurs années, motif pour
lequel je demandais une mesure de protection début 2003. Ma compagne et moi maitrisons nos réactions
et les hostilités de ma fille qui s'ensuivent lorsqu'elle a été exposée à de tels discours.



Lorsqu'il se pose un problème nous « réparons » rapidement par de simples conversations.

Mais si nous savons comment aider ma première fille, le fait qu'elle soit exposée à ces
discours destructeurs tenus par des tiers nuit très gravement à son développement.

Nous souhaiterions que de tels discours et travail destructeur par des tiers lui soient évités.

Ma première fille a déjà perdu sa maman et son papa est bien pour elle.

Des tiers n'ont aucune raisons de lui soutenir que son papa n'est pas bien pour elle.



Il est stupide de lui tenir ces discours car ma fille sait que ma compagne et moi sommes bien pour elle.

Des tiers n'ont aucune raisons de lui refuser sa place auprès de son père, de sa soeur et de sa belle-mère.





Il y a aussi conflit de cultures, de philosophies et de croyances.

A Taverny ma fille doit assister à leurs prières et manger ou se priver comme eux.





Ma compagne et moi avons toujours rempli toutes nos obligations légales et
morales envers ma première fille et eux, de mon point de vue de père, jamais.

Nous l'avons soutenue et avons même du la faire soigner nous même jusqu'à fin juin 2005.

Le 29 juin 2005 j'ai eu une conversation téléphonique avec elle...



Ce 1er juillet 2005 j'ai appris que je dois renoncer à mon rôle de père. Je ne le peux pas, les faits et
l'expert le confirment. Des faits tels qu'inscription de ma fille au fichier des mineurs disparus,
recherches et enquêtes de gendarmerie nationale qui mettent des tiers en difficultés.

Les faits et leurs chronologie montrent que j'exerce mes droits et que je remplis mes devoirs de père
en repectant les autorités judiciaires ce qui met vraiment trop souvent des tiers en difficultés.

J'ai pris et j'ai conservé des actes ainsi que des preuves car je n'avais plus aucune confiance.

Ma première fille veut vivre avec nous, l'expert le confirme.





J'aurais un portrait très noir au dossier du Juge des Enfants entre ce qu'y a versé la famille maternelle, l'ASE puis l'OSE.

L'expert parait reprendre certains éléments du dossier. Je suppose qu'il le fait par simple principe de précaution.

Monsieur le Procureur de la République a donné son avis en date du 17 juin 2005.

Le Juge des Enfants a reçu et a décidé de faire disparaître ma première fille ce 30 juin 2005,
veille de l'audience contradictoire du 1er juillet 2005.

Ce 1er juillet 2005 j'ai été prié de me taire puisque du fait de l'avis du Directeur, du rapport de l'expert
et de l'avis du Procureur de la République il n'est plus possible d'envisager l'avenir avec le père.

Je ne renoncerais pas à mon rôle, le nouveau lieu de vie de l'enfant doit donc m'être tenu secret.

Comme un oncle et une tante de la famille maternelle ont disparus sans
laisser d'adresse, ce sont eux qui doivent obtenir la garde de ma première fille.

Le Juge des Enfants m'a fait comprendre qu'il n'y aura pas de possibilités de demander une contre-expertise.





Depuis j'ai eu ma première fille au téléphone. Contrairement à ce que m'ont soutenus le Juge
des Enfants et son avocat, J'ai pu constater qu'elle n'est pas partie prennante du projet.

Elle m'a volontier pris au téléphone et il n'y a pas eu de disputes ni même « discussions. »


Le courrier postal qu'elle aurait du trouver à la fin du mois de juillet ne lui a pas été remis.


Ma fille est en colo jusqu'au 18 août 2005. J'ai eu des conversations téléphoniques avec le Directeur
de la colo et nous avons convenu ensemble qu'il la préserverait de ces conflits si nécessaire, parfait.





J'ai tout de même parlé et j'ai gèné le Juge et les autres partis au cours de l'audience de ce 1er juillet 2005.

Il n'y avait pas de greffier et je préfère finalement cette situation car ils n'ont rien entre les mains.



Je n'ai plus de raisons de craquer car j'ai compris et j'ai eu confirmation ce 1er juillet 2005 de quel était ce manège.

Je peux me permettre d'exposer toutes ces informations car l'ordonnance suite au 1er juillet 2005 a été notifiée
et parce que de toutes manières, j'ai quantité d'autres informations qui viendront en complément de celles-ci.

La quasi totalité de mes informations a été écartée par les services socio-judiciares.



Je ne suis pas destitué de l'exercice de l'autorité parentale et je continue à respecter toutes les autorités.

J'ai couché et bien plus pendant plusieurs années avec la mère de ma première fille.
J'ai été intime avec elle, y compris après que nous nous soyons séparés pour la bonne et simple
raison que nous avons eu un enfant ensemble. Je connais la famille maternelle.

Je sais des choses concernant cet oncle qui font que son soudain intérêt pour ma première fille me choque.

Le Juge des Enfants ne sait pas ces choses concernant cet oncle, il aurait fallu qu'il me demande mon avis.

Rendez-vous au plus tard auprès de la Cour d'Appel de Versailles.





A faire prochainement:

  • prendre des vacances avec ma compagne et ma deuxième fille
  • avec ma première fille n'est pas possible pour le moment: plus de droits
  • continuer à soutenir ma première fille seul avec ma compagne
  • écrire au Juge des Enfants car il y a difficultés pour la planification des week-ends
  • saisir le Juge d'Instruction et me constituer partie civile
  • réfléchir aux éléments à employer pour la mise en suspicion légitime
  • préparer l'audience d'appel
  • m'assurer qu'il y aura audience auprès de la Cour d'Appel avant décembre 2005
  • écrire encore au Juge des Tutelles
  • poursuivre car la Caisse d'Epargnes de Lorraine ne répond pas
  • contacter mon propre notaire


  • Pour la famille maternelle c'est beaucoup plus simple:

  • raconter n'importe quoi en audience
  • repartir avec la mome






  • Message du 5/8/2005 par le biais du portail internet au Défenseur des Enfants:



    Bonjour,

    Il s'agit d'un cas de maltraitance institutionnelle pour lequel je vous ais déjà sollicité deux fois. Dans le cas de ma fille, les institutions privilégient des intérêts et souhaits de tiers plutot que de considérer ceux de ma fille et de ma propre famille.

    Vous m'aviez un moment répondu que vous ne pouviez rien faire parce que la Justice s'en est melée.

    Cependant je tiens à vous faire remarquer aujourd'hui que j'ai relevé un ensemble d'anomalies graves qui ne sont pas imputables à la Justice elle même et à ses décisions mais aux institutions avec lesquelles le Juge des Enfants travaille, notamment l'établissement gardien à qui ma fille a été confiée.

    Le Conseil Général ainsi que la DDASS du Val d'Oise sont responsables du contrôle et de l'agrément de cet établissement et le Le Conseil Général subventionne cet établissement.

    Il en va de même pour le contrôle (et l'agrément) de services tels que ceux de l'ASE ou de l'OSE France qui ont été en charge des missions d'investigations.

    Le Conseil Général, la DDASS ainsi que les services de l'ASE et de l'OSE sont indépendants du ministère de la Justice.

    Allez vous pendant longtemps encore me répondre que vous ne pouvez pas intervenir dans la mesure où la Justice a été saisie et sachant que ce sont les services de l'ASE ainsi que de l'OSE qui alimentent les dossiers judiciaires?

    Pour ma part, je viens de déposer plainte contre l'établissement de l'OSE de Taverny pour atteinte(s) à l'autorité parentale.

    J'avais déjà porté plainte contre inconnu (le personnel de l'établissement de l'OSE de Taverny) pour discrimination raciale.

    J'avais également déposé des plaintes pour violence volontaire et violence volontaire en réunion contre des enfants - la police avait refusé alors que je dépose plainte contre le personnel de l'établissement de Taverny pour défauts de surveillances, défauts de soins et carrences éducatives.

    Je m'apprete à présent à écrire - seul, en tant que père ayant été accusé de manière calomnieuse de maltraitant - au Juge d'Instruction pour avancer une partie de mes preuves et dans le but de me constituer partie civile eu égard aux conséquences pour ma fille mais également pour ma propre famille.

    Il me sera aisé de dénoncer certaines attitudes qui sont clairement imputables à d'autres que moi eu égard à la la Loi et à la Morale laïque et républicaine de notre état.

    Puis-je espérer obtenir un jour votre soutient dans mes démarches?

    Pour vous convaincre, je vous renvoie vers ce site internet ou j'avance quelques unes des preuves dont je dispose:

    http://justice.cloppy.net/signalement

    Dans l'attente, je vous prie d'agréer mes plus cordiales salutations.







    La mission du Défenseur des Enfants consiste, en premier lieu, à recevoir directement les
    réclamations des personnes estimant que les droits d'un enfant n'ont pas été respectés.

    Je viens de lui téléphoner ce matin 8 août 2005 aux environs de 9h45 et je lui
    ai fait part de ma détermination ainsi que de l'adresse de cette page internet.

    Je ne contesterais pas qu'il ait lui même pu être dupé.

    Je ne manquerais pas de lui souligner que j'ai deux enfants.

    Je demanderais à ce que les droits de leur fratrie soient aussi respectés.

    Je souhaite simplement que les droits des miens soient respectés.
    D'autres que moi seront enfin rappellés à l'ordre.





    En tant que père, j'ai de très nombreuses raisons de me poser des questions bien qu'on me prie de faire confiance
    et qu'on m'a expliqué que le personnel de l'établissement de Taverny ne peut pas surveiller tous les enfants.

    Des exemples sur la base d'un premier fichier médical:

  • le 07/10/04 un grand a pousse ma fille: entorse au poignet droit
  • l'attelle n'a pas été achetée sur le moment
  • examen du 7/10 non réglé en janvier 2005: pas de traces dans les fichiers CPAM
  • le 20/02/04 un petit a mis un coup de pied à ma fille: « doigt cassé » dit elle
  • le 20/02/04 ne semble pas apparaître dans les fichiers CPAM
  • aux environs du 22/02/04 un groupe est parti faire du ski; ma fille a eu des cachets
  • le 03/03/04 nouvel examen et délivrance d'une dispense de sport scolaire


  • D'autres fichiers font apparaitre des choses tout aussi inquiétantes pour un parent.

    Certaines traces d'examens telles que radiographies se sont volatilisées.

    La santé de ma fille serait « globalement » bonne hormis une malformation congénitale
    mise en évidence par des examens réalisés par l'établissement de Taverny.



    Vu ce que j'ai relevé, j'ai parfois préféré faire soigner ma fille moi même.

    Un médecin digne de confiance m'a rassuré. Ce médecin a oeuvré dans le tiers monde et sait de quoi il parle.
    Tout ce que j'ai relevé n'est pas dramatique car sauf surinfections, on en guérit toujours mais moins vite.









    Après l'audience de ce 1er juillet 2005 qui restreignait tous mes droits et donc,
    la possibilité de faire soigner ma fille, j'ai souhaité m'assurer que le Conseil Général
    et la DDASS du Val d'Oise soient avertis de sa situation.

    Ma seconde fille - 30 mois - est à la maison et, contrairement à la plus grande, ne risque rien.

    Pour le moment l'établissement de Taverny n'a pas répondu. Je ne pense pas qu'ils le feront.







    Après 3 semaines d'attente l'ordonnance suite à l'audience du 1er juillet est enfin arrivée!



    De mon point de vue de père, les services et l'établissement de l'OSE soient neutres.

    Je souhaiterais que la personnalité d'autres que moi soient évaluées.



    Je souhaite que soit exposé sommairement quel a été le travail de « médiatisation » fait
    par le service gardien qui aurait permis le maintient de la relation père-enfant.

    C'est à ce sujet précis que j'ai traité le Directeur de menteur ce 1er juillet 2005.

    Je pense qu'il ne s'agit de rien d'autre que la main courante que m'a refusé la police municipale de Taverny.
    Cet acte me faisait défaut mais quelqu'un de l'établissement de Taverny serait allé le prendre à ma place.
    Cet acte viendra compléter et conforter mon propre dossier. Il est à rapprocher des disparitions de mineur.



    Parmis mes actes j'ai un PV pour stationnement gènant dans une commune de Moselle qui me sert d'acte me
    qualifiant d'indésirable en ces lieux. Je m'y étais rendu car je souhaitais remplir mes devoirs de père.

    Il y avait eu atteinte à l'autorité parentale et j'avais pris des actes avant de me rendre en Moselle.



    Tout n'est que question d'interpretation et de Morale. J'ai eu raison de me méfier des leurs.

    Le débat auprès de la Cour d'Appel de Versailles pourrait être long.















    Au cours de juillet j'ai reécrit au Juge des Tutelles et j'ai du relancer le notaire ainsi qu'une banque.

    La banque ne me répond toujours pas, ce n'est pas faute de courtoisie de ma part.
    Ces suites et plaintes contre inconnu sont pour août/septembre.









    Puis une Nième information est arrivée dans ma boite aux lettres alors que je souhaitais obtenir des dates précises.







    Qui fût l'opportunité d'un dépôt de plainte du fait d'atteintes à l'autorité parentale
    répétées et systématiques depuis le début de la mesure de placement - en novembre 2003.







    Il semblerait que depuis novembre 2003 Richard Josefsberg prétend être le tuteur légal
    de ma fille et que le personnel n'a pas le temps de me solliciter pour remplir de tels documents.







    On peut constater combien ils sont détachés des enfants qui leurs sont confiés. Lorsqu'on leurs demande des comptes ils ne
    peuvent pas se contenter de questionner les stagiaires, ils sont obligé de soumettre les enfants à des interrogatoires.

    Selon eux, les problèmes sont imputables aux enfants et non à ceux qui sont supposés les encadrer.

    Il est par exemple de la responsabilité des enfants de signaler qu'ils ont des poux.

    Il est aussi de la responsabilité des enfants de se rendre chez le médecin lorsqu'ils sont malades - possible les mardis.

    Etc, etc.



    Je trouve étrange qu'il ait interrogé un adolescent alors que selon ma fille, un jeune majeur était incréminé.

    Je ne comprend pas pour quels motifs cette lettre contient un paragraphe au sujet d'enfants fugueurs.

    D'après ma fille, les stagiaires sont présents mais dans la pièce d'à côté et fument.

    Le Directeur admet que l'adolescente qui partage la chambre et veille très tard la nuit perturbe le sommeil de ma fille.

    Je pense que ma fille a de nombreux soucis imputables à la direction et au personnel de l'établissement gardien.







    J'avais eu bon espoir après le passage devant la Cour d'Appel de Versailles en février dernier.

    Le Juge des Enfants devait mieux préciser le contenu de ses ordonnances.

    Au cours de l'année écoulée l'établissement gardien organisait des disparitions de mineur.

    La grand-mère maternelle est toujours vivante mais parait avoir été oubliée ce 1er juillet 2005.









    Puis ce qu'en pense et sait ma première fille et que le Juge des Enfants doit avoir écarté aussi.

    Ce n'est plus très récent, ca date de l'été dernier. Mais l'expert qui a rendu son rapport en juin 2005
    confirmait encore le souhait de ma première fille de vivre avec moi - et sa soeur et sa belle-mère.







    Il y a une nette différence entre un père et l'établissement de Taverny. Je ne subtilise pas le courrier
    de ma fille. Elle me confie certaines lettres, nous en discutons et je les tiens à sa disposition.



    La lettre-ci ci-dessous est arrivée immédiatement après l'audience de juillet 2004 et a été postée avant que
    n'arrivent les notifications du jugement qui accordait des droits d'hebergements à la grand-mère maternelle.

    En janvier 2003 cette même tante a fait en sorte que ma fille se plaigne de maltraitance à l'école.

    Je constate que c'est avec cette tante qui est AS à l'ASE que Monsieur Josefsberg communique.



    Le Juge des Enfants souhaiterait confier ma fille au couple CLEMENTZ.

    Carole est très proche de Isabelle et Pascal, le couple CLEMENTZ.

    Mais ce n'est pas tout ce que je sais au sujet de la famille maternelle.
    Certains détails n'intéresseront que la Cour d'Appel de Versailles en l'absence de ma fille.



    Le fils de Carole parlerait beaucoup de ma fille alors qu'ils ne se connaissaient même pas.

    Carole évoque des vacances et écrit « c'est déjà bien. »

     





    Je ne suis pas le seul à être sensibles à la situation des enfants derrière les murs d'enceintes des
    établissements de la protection de l'enfance, quelques professionnels en parlent parfois entre eux:

    comment dénoncer la maltraitance institutionnelle

    Auteur: éducateur
    Date:   19-07-05


    je suis éduc spé dans un établissement où certaines pratiques me semblent illégales telles que les punitions à répétitions, la douche froide etc... Ma question : comment faire cesser ces pratiques sans risquer de se retrouver au chomage !Directeur, chef de service, éducateurs cautionnent et trouvent ces pratiques conventionnelles. merci de me répondre.

     

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     maltraitance

    Auteur: ab
    Date:   19-07-05


    Bonjour,
    peut-être pourriez-vous vous tourner vers "ALMA" qui est une association qui lutte contre les maltraitances envers les personnes âgées et /ou handicapées.( site internet: alma-france.org)
    Peut-être pourront-ils vous orienter si vous êtes témoins de maltraitance envers les enfants.

     

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     des maux

    Auteur: Ben
    Date:   19-07-05


    Bonjour,
    il me semble que la violence institutionnelle commence Par le silence... celui qui ne dit mots concent ???
    ton travail doit étre ta derniére préocupation pour des quetions d'éhtique tu dois agir et demander une réunion d'équipe et mettre les choses à plat dire ce qui ne va pas... Parler des droits des enfants (cela existe!!!). Pourquoi ne pas faire un travail de réflexion ayant pour sujet ou commence la maltraitance... et mettre une notion avant comme: la bien veillance (comment étre bien traitant ?).

    Bon courage

    BEN

     

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     maltraitance institutionnelle

    Auteur: éducateur révolté
    Date:   20-07-05


    slt ben!
    je suis d'accord avec toi, nous sommes soumis à dénocer tout disfonctionnement mais malheureusement quand tu travailles dans un établissement paternaliste où la toute puissance du directeur est incontestable, tu ne peux te faire entendre et on te laisse pas la possibilité d'en parler!!la maltraitance st tellement ancré dans la prise en charge qu'il devient impossible de se démarquer de l'équipe au risque d'être catalogué comme le "che guevara"de l'éducation specialisée et surtout de te retrouver dehors!
    La réponse du Directeur à ma révolte est "tant que je suis directeur les choses resteront comme ça! etc...Je suis prêt à déposer plainte après du procureur;j'ai photocopié le cahier de liaison où il fait mention de douches froides et des coups donnés par le directeur. En photocopiant ces documents je risque d'être poursuivi pour avoir divulgué un secret professionnel. Je veux être sûr de ma démarche. Je cherche des collègues qui ont vécu la même situation comme moi.
    Merci

     

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     maltraitance

    Auteur: jpax
    Date:   22-07-05


    Avant, y'avait l'ANCE pour traîter de ce sujet, qui faisait un gros travail d'accumulation des cas en proposant des réponses en sachant qu'il n'en existe pas de miraculeuses.
    Enfin, si je me souviens bien, la rupture de l'obligation de discrétion (signalement au procureur de la République) peut-être punie, selon le code civil, jusqu'à 3 ans de prison et 45000 € d'amende alors que la complicité pour maltraitance peut aller chercher jusqu'à 100000€ et 5 ans d'emprisonnement... (Rosensweig dixit(excusez pour l'orthographe)).
    Moralité: choisi ton camp camarade.

     

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     maltraitance

    Auteur: éduc
    Date:   24-07-05


    Ce qui me fait halluciner c'est de voir que ta preuve tu la tiens dans un outil de travail (le cahier de liaison). Ils n'ont donc pas honte de ces pratiques, il pensent réellement que ce sont des pratiques pédagogiques!!!!! C'est plus facile de taper, de punir que de réfléchir à une sanction!!!!

    Ne reste pas seul entoure-toi d'autres professionnels extérieurs à ta structure, pourquoi pas d'un psy afin qu'il t'épaule dans ta dénonciation...

    et donne-nous de tes nouvelles
    Je suis de tout coeur avec toi! Courage. Comment les enfants peuvent se sortir de cet enfer puisqu'il dépendent de l'adulte qui les encadre et d'un directeur "pourri" si ce n'est que quelqu'un comme toi qui remette en question des pratiques défaillantes.

     

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     maltraitance

    Auteur: élodie
    Date:   25-07-05


    bonjour,

    c'est une situation difficile qui se tient face à toi!!!! je pense que les messages précédents t'ont donné quelques pistes pour palier au problème. tu peux aussi tenir un carnet personnel où tu marques toutes les réflexions concernant les sévices portés sur les enfants par des éducateurs de l'établissement où tu travailles.... la situation de maltraitance (douche froide, coups, la date... = tout ce qui se rapporte à la situation). ce carnet serait confidentiel et t'appartiendrait. il te servirait à calculer le nombre d'actes de maltraitances, de voir quels sont les enfants maltraités par des éducs.... ces pratiques de maltraitance sur enfants placés sont l'objet d'une ou plusieurs personnes? n'as-tu aucun soutien d'un éduc de l'établissement qui dénonce aussi ces pratiques?

    tiens nous au courant et nous te soutenons!!!

     

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     comment dénoncer la maltraitance intitutionnelle

    Auteur: educspéencolère
    Date:   26-07-05


    Merci à tous de votre soutien et de vos conseils. La décison de ne plus me taire et de dénoncer toutes ces pratiques et brimades que subissent les enfants. J'ai mis au courant le Directeur que désormais mon devoir m'impose de rompre le silence et me voila convoqué pour licenciement sans motif valable. Ce licenciement me libère et me donne la liberté de parler mais malheureusement il me met dans une situation difficile de recherche d'emploi. Je vas interpeller le tribunal des Prud'homme et saisir L'IGAS.

    merci à tous et au prochain épisode!

     

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     maltraitance

    Auteur: katya
    Date:   27-07-05


    bonjour
    je salue ton courage pour avoir pris le risque de perdre ton travail en refusant de cautionner des maltraitances!
    ll y a une personne que tu peux contacter en particulier: le defenseur des enfants, Claire BRISSET. Elle est là pour ça. tu peux trouver ses coordonnées sur le net, ainsi que celles de son representant dans ta région. Crois-en mon expérience, ils agissent rapidement. De plus, tu peux aussi te mettre en relation avec les juges des enfants qui sont placés dans cet institution (s'ils en ont bien sur). Je ne suis pas sure que ça leur fera plaisir de savoir ce qui se passe...
    Bonne chance!

     





    Le gouvernement a conscience des difficultés et avait d'ailleurs un plan en 2000 dont voici un extrait:

     

     

     

     

    Journée de l’enfance maltraitée
    Rencontres nationales de la Sorbonne

    Mardi 26 septembre 2000

    Plan d’action pour la bientraitance

    I.- Pour que ça n’arrive pas :renforcer la chaîne des préventions

    II.- Pour que ça ne continue pas

    III.- Contre la maltraitance institutionnelle

    1) De nouveaux moyens de lutte contre la loi du silence

    - Création d’une cellule d’écoute spécialisée au SNATEM (119) pour les violences institutionnelles.

    - Mise en place d’une cellule nationale de suivi des maltraitances en institutions, coordonnée avec la cellule existant à l’Education nationale pour les établissements scolaires

    - Protection des travailleurs sociaux contre tout licenciement en rapport avec un signalement (loi de modernisation sociale, avancement possible dans le cadre du projet de loi du groupe socialiste contre les discriminations : 12 octobre).

    2) Contrôle des embauches

    - Vérification que les personnels recrutés par le secteur associatif dans les établissements et services prenant en charge des mineurs ou accueillant des familles n’ont fait l’objet d’aucune condamnation pour des faits contraires à l’honneur, la probité ou les bonnes mœurs.

    IV.- Pour le soutien des personnels et l’amélioration des pratiques

    1) Des formations adaptées à l’évolution du travail social

    - Intégration de la dimension " aide à la famille " (saisine CSTS novembre 2000) dans les schémas national et régionaux de formation des professionnels de l’aide sociale à l’enfance.





    Des introductions de ces même journées.

    La mère de ma première fille est décédée.
    Je demandais à ce que ma fille et ma famille soyons protégés car
    la famille maternelle nous menacait et perturbait ma première fille.

    Ma compagne et moi ne souhaitons pas mieux que de pouvoir l'élever tranquillement
    aux côtés de sa soeur et que notre famille soit protégée.


    Au cours de l'année écoulée, la famille maternelle a eu des relations avec ma première fille et a même
    eu l'occasion de l'héberger - quoi que l'établissement de Taverny organisait des disparitions de mineur.

    Insuffisant: la famille maternelle veut ma fille ce qui se traduit par l'ordonannce du 1er juillet 2005!


    Les services socio-judiciares ont préfèré organiser et cautionner un rapt
    pour le compte de la famille maternelle tout en tolérant que l'enfant découvre
    et soit victime de maltraitance et de discrimination raciale.

    Je ne vais jamais accepter cela et en aucun cas me taire
    même si le Juge des Enfants me l'intime à chaque audience.

     

     

    I. Empêcher la maltraitance : renforcer la chaîne des préventions

    Une responsabilité parentale renforcée par le droit de la famille

    Contexte

    Parmi les formes de maltraitance, il en est une qui, sans être la plus visible ni la plus grave, n’en constitue pas moins la première forme : la maltraitance psychologique, qui peut marquer de manière durable la vie d’un enfant.

    Elle affecte les enfants déchirés entre des adultes qui ne respectent pas la place de l’autre parent, qui n’admettent ni ne respectent la place que peuvent tenir d’autres adultes dans la vie de leur enfant, beaux-parents, grands parents…Elle touche aussi les enfants à qui l’on demande de choisir entre leurs parents, les enfants abandonnés après la séparation par l’un des parents qui lui-même ne supporte pas l’abandon qu’il subit de la part de l’autre, les enfants enfermés dans une relation fusionnelle exclusive par une mère qui interdit à l’enfant tout accès à son père souffrent de cette forme de maltraitance.

    Ces formes de maltraitance peuvent se développer dans un contexte où la législation applicable à l’autorité parentale reste mal connue, où les droits de chacun des parents sont mal ou peu exercés. L’évolution du droit peut contribuer à renforcer les liens familiaux, notamment autour de la filiation, en réduisant les risques de développement de la maltraitance psychologique et affective.

    Objectif :

    Pour remédier à cette forme de maltraitance, la réforme du droit de la famille s’impose ainsi que des mesures concrètes permettant de mieux inscrire socialement la place de la mère et du père, des actions visant à conforter les parents dans l’exercice de leurs responsabilités (réseaux de parentalité…) et enfin le développement de la médiation familiale afin de permettre aux parents de rétablir un minimum de respect l’un de l’autre autour de leur enfant