impaire
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Posté le
09-08-2005 à 12:07
Je crois que vous
aurez besoin du mode d'emploi qui suit pour aborder ce qui figure au http://justice.cloppy.net/signalement
Je peux écrire ce que je veux car d'une part, il s'agit d'un cas de
signalement d'un enfant - d'un enfant au moins mais je suis persuadé qu'il y
en a de nombreux autres - en danger et parce que j'ai maintenant de
nombreuses preuves qui étayent ce que j'écris.
Tout en niant les faits, me disant et m'écrivant à chaque fois n'importe
quoi, le Référent Familial me demande régulièrement de **faire confiance**.
C'est leur métier et ils sont expérimentés.
Leurs oeuvres et leurs services ont une réputation. Ils ont également une
immunité car leur Code et leurs contrats les prie de se taire et de se
soumettre à leur hiérarchie.
je suis cohérent et dans la réalité des faits, preuves, preuves de mes
intentions et actes à l'appui.
Je prends d'ailleurs un nouvel acte. Par la même occasion, je défie le Juge
des Enfants de me retirer tous droits concernant ma première fille. S'il est
cohérent il le fera car je mets l'établissement de Taverny en difficultés et
parce que je n'accepte pas leur décision qui impose la rupture de la relation
père-enfant avec transfert de l'enfant à la famille
maternelle.
Tout est fait par eux pour mettre les miens en difficultés:
http://justice.cloppy.net/signalement/sorties.jpg
Le Directeur de l'établissement de Taverny ne souhaite pas que je puisse
héberger ma première fille dans la régularité d'un week-end sur trois et ne
souhaite pas non plus que je puisse héberger ma première fille au cour du
week-end de son anniversaire.
Le Directeur de l'établissement de Taverny souhaiterait plutôt imposer
régulièrement des périodes de 5 à 6 semaines sans que je ne puisse
communiquer avec elle.
Le Directeur de l'établissement de Taverny est généreux et me propose de
recevoir ma fille le week-end du 17 et 18 décembre 2005 pour que nous
percevions bien son absence le 24 décembre au soir.
Le Juge des Enfants cautionne.
Le Juge des Enfants justifie ses décisions avec ce qu'apporte l'établissement
de Taverny.
Monsieur le Procureur de la République donne aussi son avis. Je suppose qu'il
donne son avis en fonction des éléments apportés par l'établissement de
Taverny et plus globalement en fonction de ce qui figure au Dossier du Juge
des Enfants.
Les autres partis (famille maternelle, intervenants de ASE, intervenants et
établissement gardien de OSE) sont dans leur monde et étayent leurs discours
avec le fruit de leur imaginaire. Un acte de violence volontaire devient **se
fait** frapper.
Un jour et après de premières investigations menées par l'ASE,
Madame Joserfsberg qui était en charge de la
mission d'investigation demandée à l'OSE par le
Juge des Enfants s'est installée dans mon séjour.
Elle était intimement persuadée qu'elle s'était installée dans le séjour d'un
F2 et que nos deux enfants partageaient la même chambre.
Elle n'a pas pu aller vers la seconde chambre, un peu comme si je lui
indiquais la direction d'un mur ou la porte d'un placard.
La chambre que je lui indiquais était celle de ma seconde fille. Elle s'est à
peine levée mais ne s'est pas approchée de la porte de la chambre, comme
ancrée dans ses croyances.
Madame Joserfsberg est restée 20 minutes assise
chez nous.
Personne ne s'est jamais adressé ni à nos proches et encore moins à nos
voisins.
Personne n'a jamais cherché à contacter la thérapeute de ma première fille.
Personne n'a jamais cherché à contacter la nourrice de ma première fille,
celle qui m'a aidée de ses 6 ans (décès de la maman) aux 9 ans de ma fille.
Je n'ai pas vu les rapports. Je ne sais même pas si ce "détail" et
description de notre lieu de vie fait par la famille maternelle a été
rectifié au dossier.
Le jour où j'aurais enfin eu la possibilité d'accéder au dossier du Juge des
Enfants je vais rire.
J'ai bien fait deux ou trois demandes mais on m'a dit que je n'aurais pas
employé la bonne procédure (la forme et X exemplaires).
Le Juge des Enfants m'a dit un jour: "vous avez bien vu votre
dossier".
Seul mes avocats ont pu aller le consulter. Avec le recul que j'ai pu
prendre, ce qu'ils m'ont rapporté du contenu m'a pas mal éclairé.
La lecture du dossier tel que faite le 10 février dernier auprès de la Cour
d'Appel ne fait que me conforter dans la compréhension de la situation
actuelle de ma fille et des miens.
De mon point de vue de père, les méthodes employées en réponse à ce qu'était
situation réelle de ma fille sont à l'égal de ce qui se pratiquait à l'époque
de l'inquisition.
Il en va de même pour ce qui est de la réponse à sa situation actuelle.
Il n'en a jamais été autrement.
Nous sommes en août 2005 et le Juge des Enfants n'a pas reconnu que sa
précédente ordonnance n'était pas fondée.
Le Juge des Enfants m'a juste prié de me taire car de toutes façons, sa
décision ferme avait été prise la veille.
Sur ce dossier il y a plusieurs problèmes imbriqués:
- ceux que posent la famille maternelle
- ceux que posent l'ASE et l'OSE
- celui que pose le Juge des Enfants
La famille maternelle a de nombreuses motivations et j'en connais des moins
bonnes. Je n’ai pas le droit de me faire Justice moi-même et je vais taire
ces détails – pour le moment.
Je sais pourquoi les intervenants de l'ASE et ceux
de l'OSE ont eu ces attitudes.
Je sais aussi que ce Juge des Enfants est un accoutumé de telles mesures,
enlever à A et donner à B ou "placer" l'enfant dans une impasse.
Nous avions une vie tranquille et des projets et la famille maternelle a
décidée de venir nous arracher une mome.
Comme il n'était pas question pour moi (puis pour ma compagne et moi) de
renoncer à notre famille et à l'un de nos enfants, la famille maternelle a
décidée d'employer l'outil socio-judiciaire.
L’une des tantes est assistante sociale à l'ASE(57)
et sait parfaitement comment cet outil fonctionne.
Récemment cette tante a reçu une lettre suivie de ma part. Elle devrait donc
être informée de la situation de l'enfant telle que perçue par le père.
Malgré cela, la famille maternelle persiste.
L'enfant leur importe peu, ils veulent se le partager tout comme ils se sont
partagés les biens de sa maman.
Je ne sais pas où est passé l'argent qu'avait ma fille et l'argent qu'avait
sa maman, la Caisse d'Epargne de Lorraine n'a pas souhaité me répondre.
J’ai cependant sauvé les bijoux, une veste en cuir et deux paires de
chaussures.
Sur le fond, c'est aussi un conflit de cultures, de philosophies, de
croyances. Nous sommes en 2005 ou je serais déjà passé au bûcher.
Lorsque j'entre en audience, ils me font endosser une personnalité qui n'est
pas la mienne et me jugent. Pendant longtemps j'y ai cru et je pensais que
j'étais mauvais. Je me suis d'ailleurs effondré deux fois: une fois devant le
Juge des Enfants (qui a alors placé ma fille) et une fois devant la Cour
d'Appel (quoi que la Cour d'Appel a bien entendu le père).
Aujourd'hui je n'ai plus du tout honte et je ne craquerais plus.
J'ai craqué mais je suis resté droit et j'ai continué à veiller sur ma
première fille et à collecter des actes.
Je ne sais pas comment luter tout seul contre tout cela.
L'une de mes grandes difficultés est d'arriver à prendre assez de recul alors
que les miens subissent cette situation.
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