« « Une presse aux ordres, une radio domestiquée... » | Cou... coucou... courage, Courroye, viens voir ! » |
Tiens, voilà que ressurgit ce Maxi
Ils font encore du zèle et ils étaient déjà à genoux ? Les pauvres, ils se refarcissent une nouvelle patate chaude, « l'affaire Bruno Kant », par SEFCA Puteaux, qui « manque de moyens » ou qui fait « pas très sérieux ». Bravo, Madame Moreau, bravo, Monsieur Lorentz, le parquet et la cour d'appel du coin vous en seront très reconnaissants
Le Metro du 20 septembre, « pour dénoncer le manque de moyens »
7 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
Super, le proc' peut aisément demander des "fadettes". Nous saurons donc, peut être, bientôt, qui téléphone à qui, la nuit, dérangeant Madame Moreau, pendant que je dors.
De source http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Tous-ces-dossiers-doivent-quitter-Nanterre-228766/
De source http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Tous-ces-dossiers-doivent-quitter-Nanterre-228766/
22.10.10 @ 23:02
Commentaire de: bk [Membre]
C'est intéressant. Avec de la chance, le TGI de Nanterre, pas très loin de Puteaux, sera effectivement saisi. J'en avais un peu assez d'être accusé, jugé, expertisé, osculté, classifié et reclassifié, régulièrement condamné par SEFCA Puteaux aussi, pour des faits imaginaires.
M. Courroye a mené une enquête contre la juge Prévost-Desprez sur la base de relevés téléphoniques de journalistes du "Monde"
LEMONDE pour Le Monde.fr | 22.10.10 | 10h46 • Mis à jour le 22.10.10 | 22h57, extrait
Le procureur de Nanterre a ensuite saisi le procureur général de Versailles d'une procédure pour "violation du secret professionnel", qui vise explicitement sa collègue, sur le fondement de l'article 43 du code de procédure pénale. "Lorsque le procureur de la République est saisi de faits mettant en cause, comme auteur ou comme victime, un magistrat (…), le procureur général peut, d'office, (…) transmettre la procédure au procureur de la République auprès du tribunal de grande instance le plus proche du ressort de la cour d'appel."
De source http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/10/22/m-courroye-a-mene-une-enquete-contre-la-juge-prevost-desprez-sur-la-base-de-releves-telephoniques-de-journalistes-du-monde_1429648_823448.html
M. Courroye a mené une enquête contre la juge Prévost-Desprez sur la base de relevés téléphoniques de journalistes du "Monde"
LEMONDE pour Le Monde.fr | 22.10.10 | 10h46 • Mis à jour le 22.10.10 | 22h57, extrait
Le procureur de Nanterre a ensuite saisi le procureur général de Versailles d'une procédure pour "violation du secret professionnel", qui vise explicitement sa collègue, sur le fondement de l'article 43 du code de procédure pénale. "Lorsque le procureur de la République est saisi de faits mettant en cause, comme auteur ou comme victime, un magistrat (…), le procureur général peut, d'office, (…) transmettre la procédure au procureur de la République auprès du tribunal de grande instance le plus proche du ressort de la cour d'appel."
De source http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/10/22/m-courroye-a-mene-une-enquete-contre-la-juge-prevost-desprez-sur-la-base-de-releves-telephoniques-de-journalistes-du-monde_1429648_823448.html
23.10.10 @ 00:40
Commentaire de: bk [Membre]
Je lisais, ici et là, ainsi que dans mon blog. Dimanche dernier, à Blois, on aurait voulu me vendre des Manière de voir. J'ai répondu que ça ne m'intérressait pas, j'ai les mêmes à la maison; j'ai eu du mal à me faire comprendre...
Page 8 du Monde diplo d'août 2007
Page 8 du Monde diplo d'août 2007
23.10.10 @ 01:50
Commentaire de: bk [Membre]
Bettencourt: appel au calme au TGI
AFP, 25/10/2010 | Mise à jour : 11:46, extrait
Le président du Tribunal de grande Instance de Nanterre, Jean-Michel Hayat, doit recevoir aujourd'hui les bâtonniers de Paris et de Nanterre pour lancer "un appel au calme" dans le dossier Bettencourt, dans lequel avocats et magistrats s'écharpent publiquement. La réunion entre Jean-Michel Hayat, le bâtonnier de Paris, Jean Castelain, et le bâtonnier de Nanterre, Philippe-Henri Dutheil, se tiendra dans l'après-midi.
AFP, 25/10/2010 | Mise à jour : 11:46, extrait
Le président du Tribunal de grande Instance de Nanterre, Jean-Michel Hayat, doit recevoir aujourd'hui les bâtonniers de Paris et de Nanterre pour lancer "un appel au calme" dans le dossier Bettencourt, dans lequel avocats et magistrats s'écharpent publiquement. La réunion entre Jean-Michel Hayat, le bâtonnier de Paris, Jean Castelain, et le bâtonnier de Nanterre, Philippe-Henri Dutheil, se tiendra dans l'après-midi.
25.10.10 @ 13:57
Commentaire de: bk [Membre]
Je prends note de la réponse du CNRS. Le contenu supposé de ce rapport interne n'en est pas moins intéressant.
Paris, 27 octobre 2010
Communiqué du CNRS
Le président du CNRS a reçu, à leur demande, MM. Igor et Grichka Bogdanoff lundi 25 octobre 2010. La conversation a porté sur le rapport interne demandé aux experts du Comité national de la recherche scientifique (CoNRS), par l'Université de Bourgogne et le CNRS il y a bientôt huit ans.
Le président du CNRS a précisé à MM. Bogdanoff que ce document était un rapport interne, portant sur des travaux qui avaient fait l'objet de nombreux commentaires en 2002.
Le président du CNRS a rappelé que rien n'interdisait au CNRS et à l'Université de Bourgogne de solliciter, pour avis, un rapport interne sur des travaux par ailleurs en libre accès sur internet. Bien entendu, le CoNRS n'a pas compétence pour juger si la procédure administrative d'attribution d'un doctorat a été ou non correctement appliquée. De même, conformément aux textes qui régissent son activité, il n'a jamais été demandé au CoNRS de remettre en cause la délibération d'un jury de thèse, qui reste souverain.
Le président du CNRS a souligné que le CNRS n'a jamais fait état de ce rapport ; à ce titre, il est regrettable que des éléments en aient été diffusés. En effet, ce rapport n'avait pas vocation à être rendu public; il pourrait toutefois l'être, suite à des demandes officielles, et seulement si la CADA rend un avis favorable, conformément à la loi.
Enfin, le président du CNRS s'est déclaré heurté par l'allégation de « Stasi scientifique » portée publiquement par MM. Bogdanoff à l'endroit du CNRS qui est un établissement totalement dévoué au service public de la recherche et qui, par conséquent, ne souhaite entretenir aucune polémique médiatique avec qui que ce soit.
De source http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2012.htm
Paris, 27 octobre 2010
Communiqué du CNRS
Le président du CNRS a reçu, à leur demande, MM. Igor et Grichka Bogdanoff lundi 25 octobre 2010. La conversation a porté sur le rapport interne demandé aux experts du Comité national de la recherche scientifique (CoNRS), par l'Université de Bourgogne et le CNRS il y a bientôt huit ans.
Le président du CNRS a précisé à MM. Bogdanoff que ce document était un rapport interne, portant sur des travaux qui avaient fait l'objet de nombreux commentaires en 2002.
Le président du CNRS a rappelé que rien n'interdisait au CNRS et à l'Université de Bourgogne de solliciter, pour avis, un rapport interne sur des travaux par ailleurs en libre accès sur internet. Bien entendu, le CoNRS n'a pas compétence pour juger si la procédure administrative d'attribution d'un doctorat a été ou non correctement appliquée. De même, conformément aux textes qui régissent son activité, il n'a jamais été demandé au CoNRS de remettre en cause la délibération d'un jury de thèse, qui reste souverain.
Le président du CNRS a souligné que le CNRS n'a jamais fait état de ce rapport ; à ce titre, il est regrettable que des éléments en aient été diffusés. En effet, ce rapport n'avait pas vocation à être rendu public; il pourrait toutefois l'être, suite à des demandes officielles, et seulement si la CADA rend un avis favorable, conformément à la loi.
Enfin, le président du CNRS s'est déclaré heurté par l'allégation de « Stasi scientifique » portée publiquement par MM. Bogdanoff à l'endroit du CNRS qui est un établissement totalement dévoué au service public de la recherche et qui, par conséquent, ne souhaite entretenir aucune polémique médiatique avec qui que ce soit.
De source http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2012.htm
28.10.10 @ 16:24
Commentaire de: bk [Membre]
Je note aussi la réponse du proc'.
Affaire Bettencourt : le procureur Courroye s'explique
Mots clés : Abus de faiblesse, écoutes, Bettencourt, Prévost-Desprez, Woerth, Kiejman, Metzner Courroye, L'Oréal
Par Stéphane Durand-Souffland
28/10/2010 | Mise à jour : 20:37
INTERVIEW - « L'enquête du parquet de Nanterre est un modèle du genre », assure le chef du parquet de Nanterre, qui revient sur les attaques dont il fait l'objet.
LE FIGARO. - Le procureur général de Versailles, votre supérieur hiérarchique, vient de vous ordonner de demander l'ouverture d'informations judiciaires sur les dossiers Woerth-Bettencourt, ce que vous vous êtes toujours refusé à faire : comment ressentez-vous ce désaveu ?
Philippe COURROYE. - Il ne s'agit en aucun cas d'un désaveu des enquêtes du parquet de Nanterre. Pourquoi le procureur général demande-t-il l'ouverture d'une information judiciaire ? Pour pouvoir saisir la Cour de cassation en vue d'un dépaysement de toutes les enquêtes. Il s'agit donc d'un moyen procédural destiné aujourd'hui à assurer un traitement serein de la justice, troublée par certains comportements en lien avec l'enquête pour abus de faiblesse (supplément d'information conduit par la juge Isabelle Prévost-Desprez, NDLR).
Aviez-vous encore beaucoup à faire ?
Non, les quatre enquêtes du parquet sont quasiment terminées. ...
La suite: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/10/28/01016-20101028ARTFIG00702-affaire-bettencourt-le-procureur-courroye-s-explique.php
Affaire Bettencourt : le procureur Courroye s'explique
Mots clés : Abus de faiblesse, écoutes, Bettencourt, Prévost-Desprez, Woerth, Kiejman, Metzner Courroye, L'Oréal
Par Stéphane Durand-Souffland
28/10/2010 | Mise à jour : 20:37
INTERVIEW - « L'enquête du parquet de Nanterre est un modèle du genre », assure le chef du parquet de Nanterre, qui revient sur les attaques dont il fait l'objet.
LE FIGARO. - Le procureur général de Versailles, votre supérieur hiérarchique, vient de vous ordonner de demander l'ouverture d'informations judiciaires sur les dossiers Woerth-Bettencourt, ce que vous vous êtes toujours refusé à faire : comment ressentez-vous ce désaveu ?
Philippe COURROYE. - Il ne s'agit en aucun cas d'un désaveu des enquêtes du parquet de Nanterre. Pourquoi le procureur général demande-t-il l'ouverture d'une information judiciaire ? Pour pouvoir saisir la Cour de cassation en vue d'un dépaysement de toutes les enquêtes. Il s'agit donc d'un moyen procédural destiné aujourd'hui à assurer un traitement serein de la justice, troublée par certains comportements en lien avec l'enquête pour abus de faiblesse (supplément d'information conduit par la juge Isabelle Prévost-Desprez, NDLR).
Aviez-vous encore beaucoup à faire ?
Non, les quatre enquêtes du parquet sont quasiment terminées. ...
La suite: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/10/28/01016-20101028ARTFIG00702-affaire-bettencourt-le-procureur-courroye-s-explique.php
28.10.10 @ 21:33
Commentaire de: bk [Membre]
Marianne, satirique? C'est possible?
De source http://www.marianne2.fr/La-propagande-Bogdanoff-continue_a199219.html?preaction=nl&id=2933862&idnl=26121&
Là bas, la chute est croustillante: Ce flinguant rapport existe. Il avait une vocation interne. En le commandant, ni le CNRS ni l’Université de Bourgogne ne souhaitaient « remettre en cause la délibération d’un jury de thèse qui reste souverain ». Une petite phrase qui, passée à la « bogda-moulinette », a valeur « de soutien ». Et tient lieu de réhabilitation. Sur ce coup là encore, les jumeaux font preuve d’une rigueur que les mathématiques réprouvent.
De source http://www.marianne2.fr/La-propagande-Bogdanoff-continue_a199219.html?preaction=nl&id=2933862&idnl=26121&
Là bas, la chute est croustillante: Ce flinguant rapport existe. Il avait une vocation interne. En le commandant, ni le CNRS ni l’Université de Bourgogne ne souhaitaient « remettre en cause la délibération d’un jury de thèse qui reste souverain ». Une petite phrase qui, passée à la « bogda-moulinette », a valeur « de soutien ». Et tient lieu de réhabilitation. Sur ce coup là encore, les jumeaux font preuve d’une rigueur que les mathématiques réprouvent.
01.11.10 @ 11:13