« Attention, prudence | Pauv' Paillé » |
Encore un constat ?
Comment faire effacer des informations diffamatoires, calomnieuses et injurieuses, publiées sur Internet ? A quoi ou à qui servirait « la possibilité pour l'internaute de désindexer son nom des moteurs de recherche » ? Quelle idée ! Je n'ai pas spécialement envie ni peut-être intérêt à ce que mon nom disparaisse un jour des contenus indexés par les moteurs de recherche.
Sur Internet, votre vie privée appartient à tous !
Romain Katchadourian, 01/06/10 à 07h10, France Soir, extrait
La secrétaire d’Etat Nathalie Kosciusko-Morizet lance un appel aux grands sites d’Internet (Google, Facebook, Skyblog...) pour qu’ils garantissent mieux la vie privée des internautes. Comment effacer des données personnelles sur Internet ? C’est difficile, voire impossible. Sur le Web, tout est gravé dans le marbre, y compris les propos ou les photos les plus diffamatoires à votre encontre. Aujourd’hui, 74 % des internautes réclament d’urgence ce « droit à l’oubli numérique ». Hasard du calendrier. La clôture de la consultation publique sur le sujet lancé par la secrétaire d’Etat Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM) tombait lundi, alors que débutait le « Quit Facebook Day », fronde internationale contre les dérives du réseau social. Les sites poussés à réagir. NKM demande très officiellement aux plus grands moteurs de recherches ou sites communautaires – Google, Facebook, Microsoft, Skyblog, les Pages Jaunes et autres – d’édicter une charte de bonne conduite sur ce droit à l’oubli et la protection des sources. « En France et en Europe, c’est la loi Informatique et libertés qui gère le respect des données privées sur Internet », indique l’entourage de Nathalie Kosciusko-Morizet. « Or cette loi est difficilement applicable hors de l’Europe. Facebook par exemple est un site dont les serveurs sont implantés aux Etats-Unis. Pour remédier à ces deux problèmes, nous avons lancé une concertation avec les acteurs d’Internet pour voir comment, à l’amiable, on peut régler un certain nombre de problèmes. » Aux Etats-Unis, les internautes ont pris directement les choses en main. ...
Facebook "ne gagne pas plus d'argent si ses utilisateurs partagent plus d'informations"
LEMONDE.FR | 01.06.10 | 10h59, extraits
Dans une interview au magazine L'Expansion, la directrice générale de Facebook, Sheryl Sandberg, conteste les accusations qui ont émergé contre le réseau social ces derniers mois. Depuis son lancement, le réseau social a eu tendance à rendre de plus en plus d'informations publiques par défaut ; [...] La directrice générale de Facebook se montre également très critique envers ceux qui demandent au site de proposer des profils très protecteurs de la vie privée par défaut, comme les gendarmes de la vie privée européens ou canadiens. "Les Européens qui demandent plus de confidentialité dans le profil par défaut concernant les informations personnelles ne le pensent pas vraiment, car ils ne comprennent pas comment fonctionne Facebook, juge-t-elle. Si certaines informations, comme votre nom, votre photo ou la liste des vos amis n'étaient pas accessibles par défaut, il serait impossible de vous trouver sur Facebook."
Les jeunes de l'UMP se voient déjà dans la cour des grands
LEMONDE.FR | 01.06.10 | 10h22 • Mis à jour le 01.06.10 | 10h35, extrait
Manœuvres, listes de soutien, relais presse, campagne d'insultes via des blogs anonymes... Depuis quelques semaines, rien ne va plus au sein des Jeunes Populaires. Jusqu'au mois d'août, les militants UMP de moins de trente ans font campagne pour désigner leur président. Et du point de vue de la pratique politicienne, ils n'ont rien à envier à leurs aînés. En 2008, l'élection de Benjamin Lancar avait été marquée par les pressions exercées par l'UMP, voire l'Elysée. Nombre d'adversaires du jeune homme, proche de Xavier Bertrand, avaient été priés de le soutenir sous peine de représailles. Certains évoquaient même des fraudes lors du vote électronique. "Beaucoup de fantasmes", explique aujourd'hui Aurore Bergé, porte-parole du mouvement et elle-même candidate.
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NKM veut mettre en place un nouveau droit à l’oubli
Publiée par Olivier Robillart, le Lundi 31 Mai 2010, extrait
A l'issue de la consultation publique sur le droit à l'oubli numérique, la secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, Nathalie Kosciuzko-Morizet a rendu son rapport. Sur son site, la ministre évoque le « Quit Facebook Day » comme une journée propice pour rendre les conclusions de cette consultation. Sur 464 participants, la plupart se sont prononcés pour l'instauration d'un droit à l'oubli portant sur les informations personnelles. 74% des votants se déclarent ainsi favorables à la mise en place d'un tel droit. Concrètement, ce droit s'articulerait sous la forme d'une possibilité de résilier facilement son compte sur les réseaux sociaux mais également de faire effacer son profil publicitaire. Enfin, la secrétaire d'Etat estime qu'il serait « important d'élaborer une date de péremption pour les données publiées, la possibilité pour l'internaute de désindexer son nom des moteurs de recherche, ou la mise en place d'une protection particulière pour les mineurs ». Des mesures qui vont donc dans le sens d'une meilleure compréhension des internautes sur les données qu'ils mettent en ligne.
5 commentaires
Par moments, j'en ai ras le bol d'entendre tous ces gens rouspéter ou se plaindre autour de moi, m'engueuler et m'injurier aussi, pour parfois pas grand chose et, plus fréquement, rien de concrêt. Je crois que je vais bientôt devoir me résigner et me tourner quand même vers Dieu. Ca pourrait me faire du bien?
Versini dénonce un "déni de démocratie"
AFP, 04/06/2010 | Mise à jour : 12:20, extrait
La Défenseure des Enfants, Dominique Versini, a dénoncé aujourd'hui un "déni de démocratie" après le vote du Sénat jeudi soir incluant sa fonction dans le périmètre du Défenseur des droits.
"Il y a eu hier un déni de démocratie", a-t-elle déclaré sur France Info, en ajoutant: "nous sommes totalement réduits à l'impuissance, il faut que les citoyens le sachent".
Mercredi, infligeant un camouflet au gouvernement, le Sénat avait adopté à une majorité nette deux amendements présentés par Hugues Portelli (UMP) et d'autres sénateurs de la majorité et qui retiraient le Défenseur des enfants du périmètre du Défenseur des droits. Mais l'exécutif a demandé une nouvelle délibération et a fait voter par des amendements du gouvernement la réintégration du Défenseur des enfants.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/06/04/97001-20100604FILWWW00434-versini-denonce-un-deni-de-democratie.php
"Il y a une magistrature qui travaille contre le pays", a déclaré M. Berlusconi reprenant son leitmotiv contre certains "juges politisés de gauche", avant d'entrer en salle d'audience pour le procès Mediaset.
Il a estimé qu'il fallait réformer la justice italienne pour éviter qu'elle "devienne une arme de lutte politique".
Une fois dans la salle, il a dénoncé à propos du Rubygate qui a commencé la semaine dernière des "accusations risibles, infondées et démentielles".
Dans ce procès, le plus périlleux pour lui, M. Berlusconi est accusé de sollicitation de prostituée mineure et abus de pouvoir. Selon lui, il n'a fait "qu'aider Ruby et la jeune fille a toujours nié avoir reçu des avances" de sa part.
Toujours sur le Rubygate, il a estimé que "dans un pays civilisé, on n'utiliserait pas les écoutes téléphoniques car elles peuvent être manipulées".
La suite: http://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/italie-berlusconi-a-nouveau-devant-les-juges-s-en-prend-aux-magistrats_981459.html