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Les cahiers de l'EFPP n° 20... Ethique et travail social
6 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
Pierre Lascoumes: «L’effacement des preuves est une pratique constante des élites délinquantes» http://www.liberation.fr/societe/2015/02/20/l-effacement-des-preuves-est-une-pratique-constante-des-elites-delinquantes_1206699?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter Marrant. On retrouve ce même esprit de caste, d'utilité sociale et d'écriture des règles au sein de la protection de l'enfance...
23.02.15 @ 23:53
Commentaire de: bk [Membre]
Je pense avoir lu et joué avec beaucoup trop de choses :-)
23.02.15 @ 23:57
Commentaire de: bk [Membre]
Magnifique Pierre Lascoumes dans Libé sur le "syndrome Teflon ", ces politiques à qui les affaires n'accrochent pas pic.twitter.com/esXEqrsNrl
— Jean-Baptiste Renaud (@JbRenaud) 21 Février 2015
24.02.15 @ 00:11
Commentaire de: bk [Membre]
Cheval pour tous, sévices compris http://www.lexpress.fr/informations/cheval-pour-tous-sevices-compris_632989.html Un syndrôme ou une immunité dont je jouissent pas seulement les chefs d'Etat :-)
24.02.15 @ 00:29
Commentaire de: bk [Membre]
Titre: Élites délinquantes et résistance au stigmate. Jacques Chirac et le syndrome Teflon. Auteur(s): Lascoumes, Pierre (1948-...) - Centre d'études européennes de Sciences Po (CEE) (Auteur). In: Champ pénal. Date de publication: 2013-03. Volume: X. Pages: 2-18p. DOI: 10.4000/champpenal.8388. Mots-clés: élites, déviance, délinquance en col blanc, Jacques Chirac, stigmate. Résumé: Pour la sociologie de la déviance interactionniste, le processus de stigmatisation passe par des rituels de dégradation. En poursuivant cette perspective, l’auteur considère que les élites délinquantes bénéficient au contraire de rituels de restauration quand elles sont mises en cause. Ils se manifestent de façon parallèle à la procédure judiciaire pour lui enlever une grande partie de ses effets dépréciatifs. A propos du procès dans lequel J. Chirac a été condamné, trois processus sont montrés : une restauration par la procédure, une autre par la minimisation des faits illicites, une troisième par une négation de l’intention transgressive. Ces rituels produisent une situation originale d’un individu à la fois coupable et innocenté. http://spire.sciencespo.fr/hdl:/2441/eo6779thqgm5r489m608igecn
24.02.15 @ 02:22