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Oulala... Choisy-le-Roi et Paul-Guiraud ?
14.02.10 02:53, 1355 vues Je me dis souvent qu'un jour, ça pourrait quand même barder. Là, c'est une femme, c'est différent, c'est plus haut que trois pommes. Notre gouvernement nous avait annoncé qu'en 2010, nous ferions tout pour les sauver.
Val-de-Marne
Choisy-le-Roi : un patient de l'hôpital psy tue son épouse
Le Parisien | 13.02.2010, 15h00 | Mise à jour : 17h13
Ce samedi matin, un homme s'est présenté à l'hôpital psychiatrique Paul-Guiraud à Villejuif (Val-de-Marne) où il est régulièrement suivi, pour avouer le meurtre de son épouse. En sortie d'essai, l'homme avait réintégré le domicile familial de Choisy mais est revenu à l'hôpital, confiant au médecin qui l'a accueilli avoir tué sa femme.
Prévenu, le commissariat de Choisy a immédiatement envoyé des policiers sur place qui, accompagnés de sapeurs-pompiers n'ont pu que constater le décès de son épouse. Un décès qui pouvait remonter à quelques heures. D'après les premières constatations, l'homme l'aurait poignardée à l'aide d'une paire de ciseaux. L'enquête a été confiée au Service Départemental de la Police judiciaire du Val-de-Marne tandis que l'homme devait être examiné par des psychiatres dans la journée.
De ma rubrique Sorties
7 commentaires
Commentaire de: bk [Membre] 
Radio Citron, pour une autre image de la maladie mentale
LE MONDE | 14.02.10 | 08h07 • Mis à jour le 14.02.10 | 08h07, extrait
Avant sa chronique, en vers, sur Radio Citron, Charly se présente d'une voix gouailleuse : "Moi, c'est Charly GCD, qui signifie Gros Cerveau Déglingué. Parce que trente ans de psychiatrie, ça compte." C'est dit ! Habile utilisateur de la langue française, il lit des contes et des poèmes dont il est l'auteur, propose un horoscope aussi peu fiable que les autres, mais franchement drôle, et composé en vers, toujours.
Ses interventions s'inscrivent dans l'émission que produit chaque mois l'association L'élan retrouvé, qui regroupe des structures sanitaires et médico-sociales de réadaptation et de réinsertion de malades psychiques. Constituée aussi d'autres chroniques, d'une revue de presse, d'intermèdes musicaux ou encore d'un débat philosophique animé par Cyrille Deloro, l'émission est diffusée sur le site de Radio Citron.
"SORTIR LES PATIENTS DE LEUR ALIÉNATION"
Cette Web-radio, créée en septembre 2009, est animée par des patients, des usagers d'institutions psychothérapeutiques, et les soignants qui les accompagnent. "La maladie mentale fait peur." ...
LE MONDE | 14.02.10 | 08h07 • Mis à jour le 14.02.10 | 08h07, extrait
Avant sa chronique, en vers, sur Radio Citron, Charly se présente d'une voix gouailleuse : "Moi, c'est Charly GCD, qui signifie Gros Cerveau Déglingué. Parce que trente ans de psychiatrie, ça compte." C'est dit ! Habile utilisateur de la langue française, il lit des contes et des poèmes dont il est l'auteur, propose un horoscope aussi peu fiable que les autres, mais franchement drôle, et composé en vers, toujours.
Ses interventions s'inscrivent dans l'émission que produit chaque mois l'association L'élan retrouvé, qui regroupe des structures sanitaires et médico-sociales de réadaptation et de réinsertion de malades psychiques. Constituée aussi d'autres chroniques, d'une revue de presse, d'intermèdes musicaux ou encore d'un débat philosophique animé par Cyrille Deloro, l'émission est diffusée sur le site de Radio Citron.
"SORTIR LES PATIENTS DE LEUR ALIÉNATION"
Cette Web-radio, créée en septembre 2009, est animée par des patients, des usagers d'institutions psychothérapeutiques, et les soignants qui les accompagnent. "La maladie mentale fait peur." ...
14.02.10 @ 09:26
Commentaire de: bk [Membre]
Serait-ce encore plus sensible qu'un enfant jeté par la fenêtre?
Une enseignante américaine tue trois personnes
Le Figaro, 13/02/2010 | Mise à jour : 09:26, extrait
Après avoir appris qu'elle ne serait pas titularisée, cette femme a ouvert le feu vendredi dans l'université de l'Alabama.
Les établissements scolaires américains sont frappés par un nouveau drame. Vendredi, une enseignante a ouvert le feu dans l'université de l'Alabama à Huntsville, tuant trois personnes et en blessant trois autres. Cette femme, Amy Bishop, a été interpellée et inculpée de meurtre. Elle risque la peine de mort. Son mari aurait également été arrêté par la police et soumis à un interrogatoire.
Selon la chaîne de télévision locale WAFF, qui se réfère à un responsable de la police, l'auteur de la fusillade a commencé à tirer peu après avoir appris, lors d'une réunion dans le département de biologie, qu'elle n'obtiendrait pas sa titularisation. Neurobiologiste de Harvard, jugée «instable émotionnellement» par le mari d'une des victimes, elle avait rejoint l'université d'Alabama en 2003. Les trois personnes tuées dans la fusillade étaient des employés de l'université. Il s'agit du président du département, Gopi Podila, ainsi que deux professeurs, Maria Davis et Adriel Johnson.
Une enseignante américaine tue trois personnes
Le Figaro, 13/02/2010 | Mise à jour : 09:26, extrait
Après avoir appris qu'elle ne serait pas titularisée, cette femme a ouvert le feu vendredi dans l'université de l'Alabama.
Les établissements scolaires américains sont frappés par un nouveau drame. Vendredi, une enseignante a ouvert le feu dans l'université de l'Alabama à Huntsville, tuant trois personnes et en blessant trois autres. Cette femme, Amy Bishop, a été interpellée et inculpée de meurtre. Elle risque la peine de mort. Son mari aurait également été arrêté par la police et soumis à un interrogatoire.
Selon la chaîne de télévision locale WAFF, qui se réfère à un responsable de la police, l'auteur de la fusillade a commencé à tirer peu après avoir appris, lors d'une réunion dans le département de biologie, qu'elle n'obtiendrait pas sa titularisation. Neurobiologiste de Harvard, jugée «instable émotionnellement» par le mari d'une des victimes, elle avait rejoint l'université d'Alabama en 2003. Les trois personnes tuées dans la fusillade étaient des employés de l'université. Il s'agit du président du département, Gopi Podila, ainsi que deux professeurs, Maria Davis et Adriel Johnson.
14.02.10 @ 09:30
Commentaire de: bk [Membre]
JO : "une erreur ne devrait être fatale"
AFP, 14/02/2010 | Mise à jour : 07:46
Le président géorgien, Mikheïl Saakachvili, présent à Vancouver pour les jeux Olympiques, a estimé hier qu'une erreur humaine ne devait pas "être fatale" dans le sport, après la mort accidentelle du lugeur Nodar Kumaritashvili.
"Les enquêteurs disent que ce qui s'est passé est dû à une erreur humaine. Je ne suis pas un expert [...] mais je pense qu'aucune erreur dans le sport ne devrait conduire à la mort. Une erreur ne devrait pas être fatale", a déclaré le président lors d'une conférence de presse.
"Il faut écouter les sportifs, il faut écouter les entraîneurs. On peut perdre l'équilibre, faire une faute, mais il faut toujours plus de barrières de sécurité pour éviter le pire", a-t-il ajouté, insistant sur l'immense élan de solidarité que la Géorgie a reçu de la famille olympique.
Pour le patineur géorgien Omar Japaridze, engagé en danse, ce décès "est le point le plus bas mais aussi le plus haut de notre carrière, compte tenu de la solidarité et du soutien que nous recevons".
Balayant les soupçons sur le niveau d'expérience de Kumaritashvili, Saakachvili a rappelé que le jeune homme, originaire de Bakuriani, station de ski du centre du pays, venait d'une famille de lugeurs. Son père pratiquait la luge et son oncle a été entraîneur en France, a assuré le président.
AFP, 14/02/2010 | Mise à jour : 07:46
Le président géorgien, Mikheïl Saakachvili, présent à Vancouver pour les jeux Olympiques, a estimé hier qu'une erreur humaine ne devait pas "être fatale" dans le sport, après la mort accidentelle du lugeur Nodar Kumaritashvili.
"Les enquêteurs disent que ce qui s'est passé est dû à une erreur humaine. Je ne suis pas un expert [...] mais je pense qu'aucune erreur dans le sport ne devrait conduire à la mort. Une erreur ne devrait pas être fatale", a déclaré le président lors d'une conférence de presse.
"Il faut écouter les sportifs, il faut écouter les entraîneurs. On peut perdre l'équilibre, faire une faute, mais il faut toujours plus de barrières de sécurité pour éviter le pire", a-t-il ajouté, insistant sur l'immense élan de solidarité que la Géorgie a reçu de la famille olympique.
Pour le patineur géorgien Omar Japaridze, engagé en danse, ce décès "est le point le plus bas mais aussi le plus haut de notre carrière, compte tenu de la solidarité et du soutien que nous recevons".
Balayant les soupçons sur le niveau d'expérience de Kumaritashvili, Saakachvili a rappelé que le jeune homme, originaire de Bakuriani, station de ski du centre du pays, venait d'une famille de lugeurs. Son père pratiquait la luge et son oncle a été entraîneur en France, a assuré le président.
14.02.10 @ 09:47
Commentaire de: bk [Membre]
J'ai pu mal lire. Selon le Parisien du jour, il ne s'est rien passé du tout.
14.02.10 @ 12:18
Commentaire de: bk [Membre]
Un déséquilibré suspecté de meurtre
AFP, 14/02/2010 | Mise à jour : 13:04
Le patient de l'hôpital psychiatrique de Villejuif, dans le Val-de-Marne, qui s'était présenté hier matin à l'établissement pour avouer le meurtre de sa femme, avait déjà été poursuivi pour homicide dans une autre affaire et jugé irresponsable, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire.
L'homme, qui bénéficiait d'une permission de sortie, s'était rendu peu avant 9 heures hier à l'hôpital Paul-Guiraud dans un "état d'agitation très important", disant avoir tué sa femme, selon cette source.
Le corps sans vie de sa femme, 54 ans, couchée sur son lit "dans un bain de sang", avait été retrouvé dans leur appartement de Choisy-le-roi. Selon les premiers élements de l'enquête, elle a reçu des coups de ciseaux dans la carotide.
Le déséquilibré, âgé de 54 ans et originaire de Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe, avait été poursuivi pour un homicide commis à Saint-Laurent du Maroni, en Guyane, en 1994, a-t-on précisé de source judiciaire. Il avait été jugé irresponsable et bénéficié d'un non-lieu en 1998.
L'homme avait ensuite rejoint la métropole où il avait été placé sous le régime de l'hospitalisation d'office, à l'hôpital Paul-Guiraud. Il bénéficiait de permissions de sortie régulières depuis octobre 2009. Son état étant jugé "incompatible" avec un placement en garde à vue, le déséquilibré a été interné d'office samedi à l'hôpital Paul-Guiraud.
AFP, 14/02/2010 | Mise à jour : 13:04
Le patient de l'hôpital psychiatrique de Villejuif, dans le Val-de-Marne, qui s'était présenté hier matin à l'établissement pour avouer le meurtre de sa femme, avait déjà été poursuivi pour homicide dans une autre affaire et jugé irresponsable, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire.
L'homme, qui bénéficiait d'une permission de sortie, s'était rendu peu avant 9 heures hier à l'hôpital Paul-Guiraud dans un "état d'agitation très important", disant avoir tué sa femme, selon cette source.
Le corps sans vie de sa femme, 54 ans, couchée sur son lit "dans un bain de sang", avait été retrouvé dans leur appartement de Choisy-le-roi. Selon les premiers élements de l'enquête, elle a reçu des coups de ciseaux dans la carotide.
Le déséquilibré, âgé de 54 ans et originaire de Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe, avait été poursuivi pour un homicide commis à Saint-Laurent du Maroni, en Guyane, en 1994, a-t-on précisé de source judiciaire. Il avait été jugé irresponsable et bénéficié d'un non-lieu en 1998.
L'homme avait ensuite rejoint la métropole où il avait été placé sous le régime de l'hospitalisation d'office, à l'hôpital Paul-Guiraud. Il bénéficiait de permissions de sortie régulières depuis octobre 2009. Son état étant jugé "incompatible" avec un placement en garde à vue, le déséquilibré a été interné d'office samedi à l'hôpital Paul-Guiraud.
14.02.10 @ 13:42
Commentaire de: bk [Membre]
C'est assez clair, j'ai mal lu l'édition papier du jour. On oublie l'enfant passé par la fenêtre?
Val-de-Marne
Choisy-le-Roi : le meurtrier présumé avait déjà été impliqué dans un homicide
Le Parisien avec AFP | 14.02.2010, 13h31 | Mise à jour : 13h47, extraits
Le patient de l'hôpital psychiatrique de Villejuif (Val-de-Marne), qui a avoué, samedi, le meurtre de sa femme avait déjà été mêlé à une affaire criminelle. Cet homme avait bénéficié d'une permission de sortie au cours de laquelle il avait rejoint son domicile. Il était revenu, samedi matin, vers 9 heures à l'hôpital Paul-Guiraud, en expliquant au médecin qu'il avait tué sa femme.
[...] Ce drame pose une nouvelle fois le problème du suivi sanitaire, légal et sécuritaire des malades mentaux dangereux, ainsi que du manque de moyens de la psychiatrie.
En janvier, un homme suivi pour des troubles psychiatriques avait poignardé trois personnes, dont une mortellement, dans un immeuble de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes) dont il avait déjà agressé le gardien quelques années auparavant.
Val-de-Marne
Choisy-le-Roi : le meurtrier présumé avait déjà été impliqué dans un homicide
Le Parisien avec AFP | 14.02.2010, 13h31 | Mise à jour : 13h47, extraits
Le patient de l'hôpital psychiatrique de Villejuif (Val-de-Marne), qui a avoué, samedi, le meurtre de sa femme avait déjà été mêlé à une affaire criminelle. Cet homme avait bénéficié d'une permission de sortie au cours de laquelle il avait rejoint son domicile. Il était revenu, samedi matin, vers 9 heures à l'hôpital Paul-Guiraud, en expliquant au médecin qu'il avait tué sa femme.
[...] Ce drame pose une nouvelle fois le problème du suivi sanitaire, légal et sécuritaire des malades mentaux dangereux, ainsi que du manque de moyens de la psychiatrie.
En janvier, un homme suivi pour des troubles psychiatriques avait poignardé trois personnes, dont une mortellement, dans un immeuble de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes) dont il avait déjà agressé le gardien quelques années auparavant.
14.02.10 @ 13:56
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