« Plume de presse, relaxé ? | S'passera rien » |
Pardon ?
Je viens de voir la une du Canard de demain. Il faut « garder le sens de l'humour », nous a-t-il un jour dit.
9 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
Un Point ou "comment gagner (sans se fatiguer)" et Marianne, spécial chat... et un peu Israël aussi.
10.02.10 @ 00:18
Commentaire de: bk [Membre]
Je pense que Klarsfeld (le fils) a raison, il y a d'autres choses tellement plus passionnantes ou émouvantes que les humains. Je suis d'ailleurs moi-même depuis quelques temps sous le charme de ces sociétés de rats-taupes nus.
De source http://www.lematin.ch/dossiers/actu/avocats-animaux
De source http://www.lematin.ch/dossiers/actu/avocats-animaux
10.02.10 @ 00:31
Commentaire de: bk [Membre]
Tribune, 07/07/2006 à 21h53, Libé, extrait
Klarsfeld et «le chat perché»
Pour le moment, l'opération a partiellement réussi. L'indignation de principe des éditorialistes contre les expulsions d'enfants n'a pas désarmé, mais elle épargne Klarsfeld et ses gaffes. Quand l'avocat, au micro de Sud Radio, le 30 juin, décrit comme le non régularisable-type «quelqu'un qui arrive avec un enfant de quinze ans, l'inscrit tout de suite au lycée, et qui fait chat perché, vous ne pouvez plus me toucher», cette scandaleuse boutade n'est dénoncée par aucun grand média. On n'ose imaginer l'indignation des éditorialistes si Le Pen avait prononcé la même phrase.
Nul, à part lui-même, ne sait si toutes ces images s'entrechoquent dans le cerveau d'Arno Klarsfeld. Nul n'est en état de dire s'il y a, derrière ce «coup» de Sarkozy, le calcul, voire le désir de ces télescopages. Nul ne peut dire si quelqu'un a mesuré ces risques, voire les a recherchés.
Nul ne sait exactement quelles seront leurs conséquences, une fois dissipée l'anesthésie footballistique.
Mais cette convocation des spectres conjugués de la déportation des Juifs et du conflit du Proche-Orient, dans la politique française d'immigration, est, dans le meilleur des cas, une stupidité.
De source http://www.liberation.fr/tribune/010154314-klarsfeld-et-le-chat-perche
Klarsfeld et «le chat perché»
Pour le moment, l'opération a partiellement réussi. L'indignation de principe des éditorialistes contre les expulsions d'enfants n'a pas désarmé, mais elle épargne Klarsfeld et ses gaffes. Quand l'avocat, au micro de Sud Radio, le 30 juin, décrit comme le non régularisable-type «quelqu'un qui arrive avec un enfant de quinze ans, l'inscrit tout de suite au lycée, et qui fait chat perché, vous ne pouvez plus me toucher», cette scandaleuse boutade n'est dénoncée par aucun grand média. On n'ose imaginer l'indignation des éditorialistes si Le Pen avait prononcé la même phrase.
Nul, à part lui-même, ne sait si toutes ces images s'entrechoquent dans le cerveau d'Arno Klarsfeld. Nul n'est en état de dire s'il y a, derrière ce «coup» de Sarkozy, le calcul, voire le désir de ces télescopages. Nul ne peut dire si quelqu'un a mesuré ces risques, voire les a recherchés.
Nul ne sait exactement quelles seront leurs conséquences, une fois dissipée l'anesthésie footballistique.
Mais cette convocation des spectres conjugués de la déportation des Juifs et du conflit du Proche-Orient, dans la politique française d'immigration, est, dans le meilleur des cas, une stupidité.
De source http://www.liberation.fr/tribune/010154314-klarsfeld-et-le-chat-perche
10.02.10 @ 11:54
Commentaire de: bk [Membre]
Maître Burand défend Peggy, la "cochonne" d'Inde - Le Matin Video
Si l'initiative passe la rampe début mars, les animaux pourront être défendus par un avocat devant un tribunal. Yves Burnand a joué le jeu avec Le Matin, en imaginant une plaidoirie pour la défense de Peggy, une "cochonne" d'Inde détenue seule dans une cage, au mépris de la loi fédérale sur la protection des animaux.
Si l'initiative passe la rampe début mars, les animaux pourront être défendus par un avocat devant un tribunal. Yves Burnand a joué le jeu avec Le Matin, en imaginant une plaidoirie pour la défense de Peggy, une "cochonne" d'Inde détenue seule dans une cage, au mépris de la loi fédérale sur la protection des animaux.
Video de matinonline
14.02.10 @ 22:55
Commentaire de: bk [Membre]
Bruxelles à la rescousse des poules
AFP, 22/02/2010 | Mise à jour : 13:27, extrait
Le nouveau commissaire à la Santé John Dalli s'est déclaré opposé à tout report de l'interdiction des batteries de ponte dans l'UE, obligatoire dans deux ans, lors d'une rencontre aujourd'hui avec les ministres européens de l'Agriculture.
La Pologne remet notamment en cause la date butoir du 1er janvier 2012, selon une source proche du dossier.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/02/22/01011-20100222FILWWW00587-bruxelles-a-la-rescousse-des-poules.php
AFP, 22/02/2010 | Mise à jour : 13:27, extrait
Le nouveau commissaire à la Santé John Dalli s'est déclaré opposé à tout report de l'interdiction des batteries de ponte dans l'UE, obligatoire dans deux ans, lors d'une rencontre aujourd'hui avec les ministres européens de l'Agriculture.
La Pologne remet notamment en cause la date butoir du 1er janvier 2012, selon une source proche du dossier.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/02/22/01011-20100222FILWWW00587-bruxelles-a-la-rescousse-des-poules.php
22.02.10 @ 14:06
Commentaire de: bk [Membre]
Opinions, mercredi 3 mars 2010
De l’animal-objet à l’être souffrant
Eric Baratay, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Lyon 3, situe la votation sur les avocats des animaux dans le contexte d’une évolution des sensibilités à partir du XVIIe siècle.
Un avocat pour défendre les intérêts des animaux maltraités! La proposition peut paraître étonnante si elle n’est pas replacée dans son contexte historique, marqué par de fortes évolutions des sentiments. D’abord à propos de l’animal, longtemps considéré comme un vivant sans importance, d’une nature grossière, d’une faible sensibilité, mené par un instinct aveugle. Cette conception est exacerbée à certaines époques.
Par exemple au XVIIe siècle, lorsque dans le cadre de la révolution scientifique, où l’homme se promeut en sujet observant une nature transformée en objet, Descartes vulgarise l’idée de l’animal-machine sans jugement, sentiment et douleur. Ou encore au milieu du XXe siècle, dans un contexte de maîtrise affirmée de la nature, des grands barrages au nucléaire, lorsque l’animal est décrit, de Pavlov à Heidegger, comme un être pulsionnel ou conditionné, prisonnier d’un monde qu’il ne peut modifier par absence de réflexion, de conscience de soi, et comme un simple objet de configuration par l’homme qui peut en user, en abuser.
Contre ces conceptions réductrices, un mouvement de revalorisation de l’animal s’est développé à partir du XVIIIe siècle dans le sillage de philosophes des Lumières, tel Rousseau, insistant au contraire sur son aptitude à sentir et à souffrir, puis de naturalistes, comme Darwin, soulignant les capacités intellectuelles de beaucoup d’espèces.
La suite: http://letemps.ch/Page/Uuid/3b22a53a-2643-11df-91f4-699248378213/De_lanimal-objet_à_lêtre_souffrant
De l’animal-objet à l’être souffrant
Eric Baratay, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Lyon 3, situe la votation sur les avocats des animaux dans le contexte d’une évolution des sensibilités à partir du XVIIe siècle.
Un avocat pour défendre les intérêts des animaux maltraités! La proposition peut paraître étonnante si elle n’est pas replacée dans son contexte historique, marqué par de fortes évolutions des sentiments. D’abord à propos de l’animal, longtemps considéré comme un vivant sans importance, d’une nature grossière, d’une faible sensibilité, mené par un instinct aveugle. Cette conception est exacerbée à certaines époques.
Par exemple au XVIIe siècle, lorsque dans le cadre de la révolution scientifique, où l’homme se promeut en sujet observant une nature transformée en objet, Descartes vulgarise l’idée de l’animal-machine sans jugement, sentiment et douleur. Ou encore au milieu du XXe siècle, dans un contexte de maîtrise affirmée de la nature, des grands barrages au nucléaire, lorsque l’animal est décrit, de Pavlov à Heidegger, comme un être pulsionnel ou conditionné, prisonnier d’un monde qu’il ne peut modifier par absence de réflexion, de conscience de soi, et comme un simple objet de configuration par l’homme qui peut en user, en abuser.
Contre ces conceptions réductrices, un mouvement de revalorisation de l’animal s’est développé à partir du XVIIIe siècle dans le sillage de philosophes des Lumières, tel Rousseau, insistant au contraire sur son aptitude à sentir et à souffrir, puis de naturalistes, comme Darwin, soulignant les capacités intellectuelles de beaucoup d’espèces.
La suite: http://letemps.ch/Page/Uuid/3b22a53a-2643-11df-91f4-699248378213/De_lanimal-objet_à_lêtre_souffrant
03.03.10 @ 12:41
Commentaire de: bk [Membre]
Vote suisse sur des avocats pour chiens
AFP, 07/03/2010 | Mise à jour : 10:34, extrait
Les Suisses votent aujourd'hui par référendum sur l'établissement dans chacun des 26 cantons helvétiques d'avocats chargés de défendre les animaux maltraités devant les tribunaux.
Le vote a été initié par la Protection suisse des animaux (PSA), souhaitant renforcer l'application de la législation helvétique, l'une des plus protectrices au monde pour les animaux. Un oui obligera tous les cantons à nommer un avocat pour les animaux lors de procédures pénales. Cette fonction existe déjà depuis 1992, mais dans le seul canton de Zurich (nord).
AFP, 07/03/2010 | Mise à jour : 10:34, extrait
Les Suisses votent aujourd'hui par référendum sur l'établissement dans chacun des 26 cantons helvétiques d'avocats chargés de défendre les animaux maltraités devant les tribunaux.
Le vote a été initié par la Protection suisse des animaux (PSA), souhaitant renforcer l'application de la législation helvétique, l'une des plus protectrices au monde pour les animaux. Un oui obligera tous les cantons à nommer un avocat pour les animaux lors de procédures pénales. Cette fonction existe déjà depuis 1992, mais dans le seul canton de Zurich (nord).
07.03.10 @ 12:28
Commentaire de: bk [Membre]
A lire sur http://www.lematin.ch/actu/avocat-animaux-aura-place-tribunaux-247336
07.03.10 @ 22:22