Archives pour: Mars 2010, 10
Posté
Mes deux RAR sont partis :
• 1A 041 162 8437 8 pour le juge pour enfant, il pourrait arriver aujourd'hui,
• 1A 041 563 3467 5 pour son parquet de Paris, posté ce matin
Je n'avais plus de CDROM, je n'utilise plus cette ancienne technologie, j'ai du en trouver d'abord avant de pouvoir écrire à Paris. Je m'en fous de ce qui va maintenant se dire, se passer ou non. Je sais depuis très longtemps que ces professionnels là ne seront que capables encore du pire, « faute de moyens », et je n'ai jamais cru aux miracles. J'ai déjà le Parisien du 9-2 ; ce soir je vais peut-être télécharger celui du 7-7, pour son cahier local. Pauv' justice.
Ce matin, j'ai surtout ramassé un Libé. Selon ce que j'ai entendu sur France Info, les français - les plus jeunes - ne maitriseraient pas vraiment l'informatique, le net et les réseaux. Cela ne me surprend pas trop. Je lirais ce tract ce soir, dans le RER. Je vais à Paris, je saisis une opportunité pour aller rencontrer des bidouilleurs et un proche ou un membre de la Quadrature du Net. Je pense qu'on va bien rire.
Nanterre
La dame au chapeau poursuivie pour insultes
Le Parisien | 10.03.2010, 07h00, extraits
Geneviève de Fontenay était de nouveau convoquée hier devant le tribunal de Nanterre. Motif : avoir traité de « méchante » et de « menteuse » l’ex-miss 1961. [...] Verres fumés sur le nez, Luce Auger s’avance tranquillement à la barre. Sur le banc des prévenus, point de dame au chapeau, qui n’a « pas pu venir pour des raisons indépendantes de sa volonté », justifie son avocat, Jean-Philippe Destremeau.
Seine-et-Marne
Ras-le-bol au tribunal
Le Parisien | 10.03.2010, 07h00, extrait
« La juridiction manque de moyens, il n’y a plus de crédits pour les vacataires, les contrats des assistants de justice ne sont pas renouvelés, constate un magistrat. Par ailleurs, ils nous manque deux postes au siège et un au parquet, qui devraient être remplacés en septembre. Mais c’est surtout au greffe qu’il y a des problèmes : il n’y a pas les effectifs nécessaires, ils travaillent à flux tendu. » Ce que confirment ces derniers. « Nous faisons de l’abattage au détriment de la qualité. On nous en demande trop par rapport aux effectifs, se désespèrent des greffières. Nous dépassons nos plafonds d’heures sup, et nous ne sommes pas payées. Le week-end, pour des permanences de 24 heures, nous touchons 30 € brut. Quant aux journées, il n’est pas rare qu’elles fassent 14 heures. Avec la multiplication des lois, les procédures sont de plus en plus lourdes, et il faut mettre tous les jugements à jour de ces nouvelles lois. Psychologiquement et physiquement, on n’y arrive plus, nous sommes usées. C’est vrai dans tous les services. On donne, on donne, on donne, mais à un moment on ne pourra plus. »