« Le mois de juin pourrait être animé | Report au 28 mai » |
Délibéré le 30 juin
Justine était présente à l'audience de ce 28 mai, elle demande elle-même à me parler. Pourquoi la famille maternelle ou les travailleurs sociaux n'ont-ils pas pris contact avec moi ou saisi le juge ?
Il m'a été reproché de ne pas témoigner d'affect pour Justine (en audience, en présence du Procureur de la République, du juge, de toute une assemblée). J'ai répondu que le lieu et les circonstances n'étaient pas propices. Aujourd'hui, je pleure.
En audience, peu après avoir affirmé qu'elle préservait mon image, tata Isabelle a émis ce que j'estime être un jugement de valeur. J'ai répondu.
Si je n'avais pas sommé le juge de juger le dossier restait encore en l'état, avec ittérative interdiction au père de troubler la tranquilité de sa fille et des « tiers dignes de confiance ».
La médiatisation de l'affaire a fait l'objet de discussions. Je rappelle aujourd'hui les paroles de Michèle Créoff à l'occasion du colloque « Penser (panser) la protection de l'enfance » du 18 janvier 2008 :