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Le colloque de cloture du centenaire de l'OSE, avec François Hollande ?
NDLR : Je me demande encore pourquoi j'ai été enfermé si longtemps, après ce 8 mars dernier, alors que je venais d'escalader le centre Pompidou, le musée national d'art moderne. J'avais pourtant été très bien reçu par Monsieur Christophe Girard, maire de Paris 4ième ; il n'y avait pas eu le moindre incident, ce jour là. Je me demande également encore comment l'AFP puis toute la presse ont alors pu être à ce point enfumés par une source policière ; aurais-je du grimper aussi sur une grue pour pouvoir parler effectivement avec des journalistes ? En visitant le site du CRIF, je viens de remarquer que le colloque du centenaire de l'OSE a pu être placé sous le haut patronage de Monsieur François Hollande, Président de la République ! J'ai toujours pour projet d'escalader la bibliothèque nationale de France, ce sera fait. « L'heure de s'engager... »
Une source policière aurait-elle enfumé l'AFP ?
Je viens de trouver un tweet du 11 mars, publié par la mère de ma cadette : « bon et bien c'est officiel, mon ex est fou. et probablement interné depuis vendredi. http://www.lexpress.fr/actualite/soci... ». Mon ex ne manque pas d'humour. J'ai ensuite encore beaucoup rit en suivant son lien et en découvrant un article publié sur l'Express, ce 8 mars, une brève rédigée avec des informations communiquées par l'AFP et illustrée par une vidéo BFMTV, de Serge Charnay, l'une des figures - controversée - du collectif des grues jaunes. Je garde une copie écran de l'Express, page 2, pour mes archives personnelles. Avant de me lancer dans mes actions, en février et mars dernier, j'avais bien informé mon ex, lui assurant que je ne réclamais pas la garde de la petite, et qu'elle ne devrait pas faire grand cas de ce qui allait paraitre dans les journaux ; la brève du 8 mars, sur l'Express, a pu la surprendre. Je grimpais bien pour parler surtout de protection de l'enfance, de justice aussi, ou de toute « l'aide » dont aurait bénéficié ma fille ainée, au cours des années passées, jusqu'à sa majorité ; lire Un ultime résumé, billet tel qu'il était en ligne, ce 8 mars 2013.
Je grimpais seul, début mars, à l'occasion de la journée de la femme ; il n'y avait d'ailleurs aucune association ni le moindre communiquant des grues jaunes au pied de Beaubourg. Je grimpais sur le centre Pompidou pour y étendre une banderole sur laquelle était écrit « je veux parler », ce n'était pas pour que des médias offrent à cette occcasion une ultime tribune à Serge Charnay, ni pour que mon action soit alors ainsi confondue dans des médias avec celles du collectif des grues jaunes... et je pense avoir été suffisamment explicite dans mon billet du 4 courant, le collectif des grues jaunes ne s'est pas gêné pour récupérer très vite mon action, sur Beaubourg, pour communiquer, et pour la faire figurer à son propre agenda, laissant ainsi facilement supposer que cette escalade avait été réalisée avec eux, voire même par eux !
Entre février et mars, j'avais pu discuter avec quelques journalistes du Parisien. Ce journal est sectorisé. Comme mes actions se sont réparties sur les Yvelines, le Val de Marme, puis Paris, à chaque fois, j'ai été en relation avec un autre journaliste, et les échanges n'ont toujours été qu'assez limités, pour des articles très courts. Philippe Baverel devait me retrouver pour Beaubourg, il était informé que j'allais grimper ; lui et moi n'avions pu discuter que quelques instants, dans le véhicule de police qui m'ammenait de Beaubourg à la mairie de Paris 4ième ; après mon entretien avec le maire, Christophe Girard, je devais reprendre contact avec le Parisien, pour poursuivre un interview, mais l'administration m'avait donc retenu, me privant radicalement et trop longtemps de tous moyens de communication. Un journaliste RMC aurait également souhaité m'interviewer ; mais j'étais déjà encadré par la police de Paris ; RMC n'a pu noter d'avantage que mon numéro de téléphone. Quelles ont alors été les sources de l'AFP, pour mon passage sur Beaubourg, uniquement la police ? Selon la brève publiée par l'Express, ce 8 mars, la source de l'AFP a pu rester très sybilline : « Ce vendredi vers 11h00 [NDLR : le 8 mars 2013], un père de famille a escaladé le centre Georges-Pompidou à Paris et s'est installé sur une poutre de la structure au 5ème étage. Une façon de médiatiser son combat pour récupérer la garde d'une de ses filles, a-t-on appris de source policière. » De telles déclarations, par la police, pourraient expliquer que l'AFP liait rapidement mon action à celles du collectif des grues jaunes, ou de pères. En tous cas, avec ces déclarations de la police, de l'enfumage, avec mes moyens de communication coupés par la préfecture de police de Paris, ainsi qu'avec mon action si vite récupérée par le collectif des grues jaunes, je n'avais aucune chance de pouvoir parler des sujets qui m'avaient poussés à grimper. Cependant, dans un article du 9 mars, le Parisien avait un peu mieux présenté mes motivations.
J'ai recontacté Philippe Baverele, mais il n'a plus de temps à consacrer à ces histoires, d'avantage que des histoires de garde d'enfants. Ce dimanche, le collectif des grues jaunes organise un rassemblement et une manifestation, à Paris. Si je m'y rendais, j'aurais peut-être l'opportunité d'échanger encore avec la presse ? D'ici là, je vais essayer de contacter l'Express et l'AFP, et tenter de leurs présenter ce qui motivait réellement mon action, ce 8 mars dernier, à Paris.
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Enfermé, depuis ce 8 mars 2013
Ce 6 mars 2013, mon ainée était au Sénat, elle y était reçue, médaillée, meilleure apprentie de France. Puis ce 8 mars 2013, j'étais sur Beaubourg, le musée national d'art moderne, pour me plaindre de nombreux dysfonctionnements judiciaires dont nous avons eu à pâtir, entre 2002 et 2012 ; j'avais alors été bien reçu par Monsieur Christophe Girard, maire de Paris 4ième.
J'attirais l'attention des journalistes, sur des décisions de justice profondément iniques, ça a déplu ; depuis, je suis enfermé à Paul Giraud, où des spécialistes de la « santé mentale » , encore de vrais soviets, m'intiment de cesser de militer comme il me chante... J'en publierais plus dans les jours qui suivent, lorsque je retrouverais enfin un PC. En attendant, je vais continuer à tweeter, comme depuis trois semaines déjà, comme un Chinois ou un révolté, avec mon smartphone, bien moins confortable qu'un vrai clavier.
Oui, je LT depuis un service psy, en utilisant de plus en plus le hashtag #soviets... par le passé, mon ainée était « placée » , et aujourd'hui, après 10 à 15 ans d'études approfondies de ces systèmes et milieux, de combats dans des tribunaux aussi, est venu mon tour d'être bien mal traité par de vrais « professionnels » ! Mes prochaines publications à ces divers sujets seront encore gratinées
Ce 9 avril, après m'avoir admonesté car je me défendais, « procédurier », m'a-t-il lancé, un juge des libertés et de la détention confirmait mon enfermement. S'emparant de ce jugement très contestable (je souhaite faire appel) ainsi que d'un avis rendu ce 8 avril par le Docteur Anne-Sylvie Caillat, le préfet du Val-de-Marne prolongeait lui-même mon enfermement, une SDRE (mesure de soin à la demande d'un représentant de l'Etat). Ce jour, un nouvel arrêté préfectoral m'a été remis. On me retient maintenant jusqu'en juillet prochain ? Enfermé ici, je coûte environ 30 000€/mois à la collectivité ; une broutille en période d'austérité e'économies de bouts de chandelles... Et tandis que je reste enfermé là, de vrais déficients, parfois de brutaux ou perturbateurs, entrent et sortent, je les vois défiler !
Plusieurs psychiatres m'ont repproché de critiquer l'Administration, la justice et même la psychiatrie, de parler de trop de dysfonctionnements avérés et de vrais naufrages judiciaires, ce qui devient donc à nouveau un motif d'enfermement ; par le passé, le juge pour enfant me repprochait surtout de critiquer la protection de l'enfance... Ces psychiatres là, je les raillerais dans un prochain billet. Les avis du Docteur Caillat sont un peu différents, elle semble se vouloir bienfaisante, bienveillante ; dans ce que je lui ai raconté, elle a perçu de la « souffrance » qu'elle semble absolument vouloir « soigner », « soins » qu'elle m'impose en rapportant, puis avec le concours de l'autorité du préfet.
Que le Docteur Caillat « soigne » donc ce qu'il provoque lui-même aujourd'hui, ou qu'il « répare » maintenant ce que d'autres fonctionnaires, illuminés et imbéciles ont provoquée avant elle, il y a du boulot ! Une Administration défaillante, obstinée, acharnée, engendrant de la « souffrance » puis s'entêtant par la suite, pour tout « réparer » à grands renforts de privations de libertés, encore, et de cachets, de substances et d'arrêtés préfectoraux ! #soviets Les cachets et substances, on m'en a imposé, depuis ce 8 mars, mais je finissais par les refuser, les recracher, puis par être enfin à nouveau moi-même ; le Docteur Caillat constatait aussi que je me portais mieux avec des prescriptions plus légères
Depuis ce 8 mars 2013, et malgré mes droits de visite accordés par un JAF, du fait de ces « soins », ma fille de 10 ans et moi, nous ne pouvons plus nous revoir. Je n'ai plus mes loisirs. Chez moi, mes plantes vertes sont mortes. Ici, je côtoie de vrais déficients et des gens souvent assommés par leurs propres traitements, on s'y fait agresser, perturber ou déranger toutes les 30 minutes, un mal « bienfaisant, nécessaire » soutiendront l'Administration et ses fonctionnaires... ce n'est pas du tout le genre de faune que je fréquente habituellement.
Je ne suis ni suicidaire, ni dangereux, pas dépréssif et sans troubles du comportement, les fonctionnaires, les psychiatres ou ces #soviets en conviennent tous, mais je reste enfermé ; « dans mon intérêt », reprendront certainement le Docteur Caillat et la chef de service, le Docteur Anne Rauzy. Pffff... En attendant de pouvoir disposer à nouveau d'un PC, j'ai publié l'essentiel des jugements, arrêts et avis qui m'ont été communiqués sur mes comptes Facebook et Twitter ; ces « pros » travaillent comme les gorets de la Dass, en vous déniant toute liberté d'expression et d'opinion. « Anciennes », toutes mes procédures ? Celle auprès du JLD n'en est qu'à ses préliminaires, quand aux autres, selon les textes de juillet 1881, je peux en parler durant 10 bonnes année encore ! Ah, ces psys et fonctionnaires, toute une éducation à refaire....
Ce avec un casier judiciaire parfaitement propre !
Oui, c'est bien cela, après des années de luttes, beaucoup dans des tribunaux, d'études et d'aprentissages, je suis autodidacte, ingénieur, avec plus de 20 ans d'ancienneté, avec un enfant de 10 ans qui me réclame, avec des collègues et des amis qui m'attendent, avec un casier vierge, sans aucun trouble du comportement, ni de problèmes de santé ou de dangerosité, avec des loisirs, des projets, des activités, un logement, une vie, les psys, le JLD et le préfet du Val-de-Marne, ces #soviets, me maintiennent enfermé, car je souhaite encore parler !
Je vais aussi bien que n'importe quel éléphant de 45 ans parfaitement sain - clin d'oeil à Baby et Nepal, ces deux éléphants de Lyon ou Pinder, qui ont échappé à une euthanasie prefectorale, fin décembre dernier. Voudrait-on que je me taise, ou surtout, que je cesse de militer ? Mais j'ai la langue pendue et la révolte dans la peau !