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Souvent les gens râlent #MeToo
A la suite, un résumé que j’avais fait vers mi-2014. A quelques approximations près, dont pour faire assez court ; j’ai pas trop relu.
J’avais fait ce résumé pour deux journalistes, alors que suite à ces histoires et difficultés, la grande m’avait assigné à Metz, pour une pension alimentaire (elle a fini déboutée, début 2015).
La grande, je ne l’ai plus revue depuis l’été 2009. Sauf une ou deux fois, ponctuellement, dans des tribunaux, jusqu’en 2010.
Cordiales salutation,
Bruno KANT
- En 1993, j'ai eu un enfant, j'étais en couple depuis plusieurs
années, en région parisienne
- en 1995 nous nous sommes séparés, j'avais du saisir un juge pour des
DVH sur cette enfant; sa mère s'était rapprochée de sa famille, en
Moselle
- en 1999, cette femme est décédée, en milieu hospitalier, abandonnée
sans examens ni soins, en service d'urgence
- j'ai récupéré ma fille, qui est venu vivre avec moi, en région parisienne
- en 2002, un juge d'instruction a rendu un non-lieu à procès, il y
avait eu plainte et suspicions d'homicide involontaire; l'instruction
avait mis en lumière des carences du service d'urgence
- j'ai engagé un recours contre l'Etat, au tribunal administratif; ce
recours n'a jamais pu aboutir: l'été 2008, j’apprenais que la justice
avait perdu ou détruit le dossier médical
- en 2002, le grand père maternel de cette enfant est décédé, sa
succession a été ouverte
- j'avais refait ma vie, ma compagne d'alors était enceinte; nous
avions eu de fortes pressions et des menaces, pour que j'abandonne ma
première fille à l'une de ses tantes maternelles (elle est assistance
sociale de l'ASE, en Moselle)
- ma première fille avait des difficultés suite au décès de sa maman,
et du fait de la naissance imminente d'un autre enfant
- début 2003, ma seconde fille est née; elle est rapidement tombée
gravement malade (bronchiolite à 8 jours) et a du être admise aux
urgences pédiatriques; la grande a eu des difficultés
- nous avons été dénoncé aux services sociaux, de la délation,
notamment par les tantes maternelles de ma fille, d'abord à l'ASE,
puis au juge pour enfant
- nous avons du temporairement faire héberger ma grande dans une
association, coup de pouce, un relais associatif privé, pour familles
en difficultés (maladie, ...); un relais familial qui n'a rien à voir
avec la Dass: http://www.coupdpouce92.fr/
- les tantes de la grande se sont immiscées avec l'ASE, auprès de coup
de pouce, et ont insisté pour que je délaisse la grande, pour qu'elle
soit confiée à ses tantes
- nous avons récupéré la grande, puis poursuivi notre vie, vie de famille
- le juge pour enfant a été saisi, il a désigné des travailleurs
sociaux, de l'OSE France; ceux-là ont été rapidement persuadés par les
tantes de la grande, que nous la maltraitions, et qu'il fallait leurs
confier sa garde; les tantes de la grande vivent à 500 et 600km de
chez nous, ne connaissaient rien de ma famille, calomniaient!
- en octobre 2003, je finissais par déprimer, gravement, sous l'effet
de la diffamation, des pressions, des calomnies, sous l'effet de la
situation et des comportements de la grande aussi, aggravés par les
pressions des travailleurs sociaux aussi, d'appels téléphoniques de
l'une de ses tantes également
- en novembre 2003, je suis allé voir le juge avec la grande, déprimé,
en larmes, pour lui dire que je souhaitais la délaisser, l'abandonner
à ses tantes, si le juge ne voulait pas travailler avec moi, mais
travailler avec ses tantes, contre moi; le juge a placé la grande, car
j'étais déprimé, dans un foyer de la région parisienne; je me suis
vite rétablit de cette dépression, tout début 2004 j'étais sur pieds
- ça s'est très mal passé dans le foyer (voir le "enfants en
souffrance, la honte", ou des témoignages tels que celui de Lyes); la
grande a été régulièrement malmenée par d'autres enfants, de plus
grands, et elle n'était pas soignée par les travailleurs sociaux
(c'est moi qui m'en occupait, les travailleurs sociaux ne la faisaient
ni examiner ni soigner)
- j'ai fait appel, souvent, mais la cour d'appel a toujours confirmé
les décisions de Nanterre
- les travailleurs sociaux ne respectaient pas les jugements de
Nanterre; pour l'équilibre de ma grande, elle devait avoir des
relations avec sa grand mère maternelle (j'y veillais tant qu'elle
n'était pas placée); plutôt que d'organiser des DVH pour sa grand
mère, les travailleurs sociaux ont organisé des disparitions de ma
grande, chez l'une de ses tantes maternelles; par la suite, la grand
mère maternelle de la grande s'est plainte car elle ne la revoyait
plus; ce qu'organisaient les travailleurs sociaux avec les tantes a
été retourné contre moi!
- en 2004 et en 2005, j'ai souvent déposé des plaintes, y compris
contre les travailleurs sociaux; j'avais écrit au conseil général, à
la Dass, puis en septembre 2005, à l'IGAS, réclamant un contrôle du
foyer
- dans la foulée, juste après mes demandes insistantes d'un contrôle,
en octobre 2005, le juge pour enfant a bouclé son dossier, a suspendu
tous mes droits sur la grande, l'a confiée à l'une de ses deux tantes
maternelles
- en 2006, la cour d'appel confirmait placement et suspension de
droits, mais plagiait Kutzner contre Allemagne: la cour d'appel
reconnaissait alors que ma famille offrait un cadre suffisamment
épanouissant pour la grande, notamment du fait de la l'existence d'une
petite soeur (je suis ingénieur, la mère de ma petite est auteur
metteur en scène).
- d'octobre 2005 à juin 2008, nous n'avions plus revu ni eu la moindre
nouvelle de la grande, strictement rien
- en 2008, j'ai du contraindre le juge pour enfant de Nanterre à audiencer
- suite à cela à partir de septembre 2008, nous avions pu renouer avec
la grande, puis passer l'été 2009 en famille, en région parisienne
- passé l'été 2009, les tantes maternelles ne respectaient pas le
jugement de Nanterre, qui m'avait accordé des DVH; le retour de ma
fille dans ma famille avait été envisagé
- fin 2009, je jetais l'éponge, devant l'obstination des travailleurs
sociaux et de la famille maternelle de ma grande.
- puis je remarquais encore qu'il y avait de sérieux problèmes, les
travailleurs sociaux et ces tantes s'occupaient mal de la santé et de
la scolarité de ma grande
- entre début 2010 et 2011, j'ai pu finir de matérialiser l'échec de
la protection de l'enfance, ces services souhaitaient à tous pris
s'occuper de la grande: relations familiales rompues, problèmes de
santé, problèmes de scolarité...
- par ailleurs, en 2005, j'ai été accusé/calomnié aussi auprès du juge
des tutelles
- en 2006, je démontrais qu'après son décès, X était intervenu sur les
comptes bancaires de la mère de ma grande, ce qui pénalisait mes
échanges avec une banque, ne me facilitait pas mon travail
d'administrateur légal
- le juge me reprochait aussi de n'avoir rien fait pour la succession
de la mère de la grande; il s'avérait que la famille maternelle
bloquait tout; j'ai déposé plainte pour recel successoral, plainte qui
a été classée par le parquet; hormis quelques 1400 euro finalement
retrouvés en banque, la succession de la mère s'est vaporisée
- le juge me reprochait aussi de ne pas permettre un traitement
acceptable de la succession du grand père maternel; or il s'est avéré
ensuite que le notaire de la famille maternelle et cette dernière ne
faisait rien pour que ça puisse progresser; le notaire m'a longtemps
demandé de signer un faux, ce que je refusais de faire tout en lui
précisant mes raisons; je l'ai également fait matérialiser par des
décisions de justice; cette étude de notaire a fini blâmée, et deux
juges des tutelles désavoués
J'en passe, de vertes et de pas mures: la grande a été prélevée dans
ce qu'était ma famille, et donnée à ses tantes, je n'ai rien pu faire
pour contrer cela. Aujourd'hui et après avoir renié publiquement sa
filiation, ma fille ainée m'assigne, et me reproche tout ce passé,
calomnie encore, tout en me demande une pension alimentaire; raison
pour laquelle un juge de Metz convoque, le 15 novembre prochain.
Avec la petite, tout va bien, même si depuis, sa mère à elle et moi,
nous nous sommes séparés. La petite n'a jamais été aidée par ces...
"professionnels".
Cdt,
Bruno KANT
Pages: 1 · 2
9 commentaires
Encore un court #Thread sur tout le tout le merveilleux que produit #ASE et #educspé https://t.co/CtnITfIfJk
— Bruno Kant (@bkant) October 7, 2019
A mon avis, c'était en vertu d'un acte jamais enregistré (page 37 du pdf) pic.twitter.com/zcK1uWoKcT
— Bruno Kant (@bkant) October 7, 2019
Mais attention au Pasteur, c'est un érudit qui pourrait vite vous enfumer. Cependant je doute que Isabelle vous reçoive. D'un arrêt de CA de, 2006: pic.twitter.com/T0g4XSO90r
— Bruno Kant (@bkant) October 7, 2019
Dans l'arrêt il y a une coquille. Ma cadette est née début 2003. Juste avant sa naissance, on se tapait les menaces puis le signalement des deux tatas de la grande. "Bienvenue au monde !" https://t.co/kJJklI0nRw
— Bruno Kant (@bkant) October 7, 2019
Des nouvelles de l'OSE. "Les sapeurs-pompiers ont rapidement circonscrit un début d'incendie survenu samedi soir au foyer de l'Œuvre de secours aux enfants à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines)." https://t.co/gcRkNyUFdt
— Bruno Kant (@bkant) October 7, 2019
Les #educspé ne changeront jamais. En 2002, j'ai été menacé, l'une des tantes de ma fille ainée, une AS, voulait des DVH et l'autorité parentale. Elle aurait alors du saisir le JAF. Au lieu de quoi, elle a couru à l'ASE puis a écrit au juge des enfants :-) https://t.co/U97MV8ne31
— Bruno Kant (@bkant) October 7, 2019
"Je préfère voir des familles au Serad que des enfants en foyers, continue Damien. Ceux-là seront en grande difficulté plus tard. Je suis un enfant de foyers. J’aurais aimé bénéficier de ce service plus jeune." https://t.co/qqhjnnsJJ1 @MoselleCD57 @LyesLouffok @CreoffM
— Bruno Kant (@bkant) October 21, 2019
Mais si j'ai bien compris, les Serad de Moselle devraient bientôt mettre la clef sous la porte. https://t.co/Wr9garc1jk
— Bruno Kant (@bkant) October 21, 2019
70 % : C'est le pourcentage des jeunes qui sortent de l'ASE sans diplôme.
Aide sociale à l'enfance, une fabrique de SDF ? cc @LyesLouffok https://t.co/UdrxSO3D3X pic.twitter.com/86dC44I0FR
— Marie Claire (@marieclaire_fr) October 26, 2019
Un siècle plus tard, rien n'a changé. Des associations de la sauvegarde et des dizaines de milliers de travailleurs sociaux travaillent et sont nourris, et les enfants finissent massivement à la rue et sans le moindre diplôme :-) https://t.co/onN2YKkV1q https://t.co/zWvbXGjcFO
— Bruno Kant (@bkant) October 27, 2019