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« La tromper est acceptable », critiquait Idriss Sihamedi
L'audience du jour m'a fait regarder vite fait ce qu'il subsiste du passé. Idriss n'a jamais envisagé que des femmes aient pu être intriguées par les pubs et campagnes tel que de Gleeden ? Mais c'est bien connu, seul les hommes « fantasment ».
Les tweets de la Confédération Nationale des Associations Familiales Catholiques ont moins la cote que ceux de Idriss ?
Il الله dit : « Et n'approchez point la fornication. En vérité, c'est une turpitude et quel mauvais chemin ! » [S17 V32]
Catéchisme de l'Église Catholique, de source www.vatican.va... Les offenses à la chasteté 2351 « La luxure est un désir désordonné ou une jouissance déréglée du plaisir vénérien. Le plaisir sexuel est moralement désordonnée, quand il est recherché pour lui-même, isolé des finalités de procréation et d’union. »
Septième parole : ''Tu ne commettras pas d'adultère''
Société
Le site qui pousse à l'adultère
Le 30 septembre 2009 à 07h00, le Parisien, extrait...
« L'adultère technologiquement assisté et revendiqué lève l'hypocrisie des sites qui vendent de la romance. Il consacre les pratiques des réseaux sociaux comme Facebook, où les membres se livrent à l'infidélité, observe Pascal Lardellier, sociologue spécialiste du couple. Le site confirme une vie de couple plus flexible. On passe de la monogamie au polygaming... »
Affaire Gleeden : promouvoir l'adultère, est-ce illégal ?
Publié le 19/02/2015 13:53 Mis à jour le 19/02/2015 14:56, FranceTVInfo, extrait
Les AFC ont annoncé, mercredi 18 février, avoir assigné devant le tribunal de grande instance de Paris la société éditrice de Gleeden, Black Divine, pour "contester la légalité du site et de ses communications publicitaires". Le site et la campagne sont-ils vraiment illégaux ?
Lettre experte
La justice déboute les AFC qui poursuivaient Gleeden
Malo Tresca, le 09/02/2017 à 17:26, la Croix, extrait
Devant le tribunal de grande instance de Paris, les plaignants exigent, lors de la première audience le 24 novembre 2016, l’annulation des contrats entre le site et ses clients, ainsi que l’interdiction de la promotion de « la relation extraconjugale » dans ses publicités. « Nous ne mettons pas en cause les époux, mais une société qui tend à inciter l’ensemble des époux à se tromper, et donc violer son obligation de fidélité », justifie alors Me Henri de Beauregard, l’un des deux avocats, avec Me Erwan Le Morhedec, des AFC au début de sa plaidoirie.
Enquête
L'infidélité à la française se porte bien
Libé, 7 août 2019 à 11:18, extrait
« 37 ans en moyenne, cadre supérieure, citadine, mariée depuis plus de cinq ans et mère de deux enfants. » Ceci n’est pas une offre d’emploi ni un profil LinkedIn, mais le portrait-robot de la femme infidèle contemporaine, publié le 13 mars dernier par le site de rencontres extraconjugales Gleeden. L’enquête, menée à partir d’un brassage des données du million de femmes françaises inscrites sur la plateforme, apporte quelques éléments cocasses et inattendus à ce portrait : « De signe Sagittaire, 1,65 mètre avec petites rondeurs, personnalité ambitieuse, active, généreuse, indépendante, brune. » Maris vigilants, vous voilà prévenus !
Jurisprudence
Publicité pour un site internet de rencontres extra-conjugales
Du communiqué de la Cour de Cassation,
extrait, les curieux et les juristes iront en lire plus là bas…
L’article 212 du code civil dispose que « les époux se doivent mutuellement [...] fidélité ». L’obligation de fidélité demeure au titre des obligations du mariage. Elle n’est imposée qu’aux époux, ni aux concubins ni aux partenaires d’un pacte civil de solidarité. […] Cependant, cette faute ne peut plus aujourd’hui être utilement invoquée que par un époux contre l’autre, à l’occasion d’une procédure de divorce. Dès lors, en l’absence de sanction civile de l’adultère en dehors de la sphère des relations entre époux, le devoir de fidélité ne peut justifier une interdiction légale de la publicité pour des rencontres extra-conjugales à des fins commerciales. [...] La Cour de cassation constate qu’en toute hypothèse les publicités litigieuses ne contiennent aucune photo qui pourrait être considérée comme indécente et n’utilisent pas de vocabulaire susceptible de choquer les enfants. Elle estime que, même si les publicités télévisuelles en cause peuvent heurter les convictions religieuses de certains spectateurs, en faisant la promotion de l’adultère au sein de couples mariés, les interdire porterait une atteinte disproportionnée au droit à la liberté d’expression garanti par l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme.
Arrêt n°798 du 16 décembre 2020 (19-19.387) - Cour de cassation - Première chambre civile - Rejet
ECLI:FR:CCAS:2020:C100798
France Télévisions, mis à jour le 20/02/2015 | 01:08
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2 commentaires
Violente charge de Richard Malka contre @LDH_Fr qui dénonce son absence au procès #CharlieHebdo et #Hypercacher « et dans le même temps ils sont aux côtés du #ccif »
— RADIO J (@RadioJFrance) December 20, 2020
➡️ au micro de @frhaz #LesEnfantsDeLaRépublique
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