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200 enfants qui crispent, on se demande pourquoi autant #Syrie
Nous n'avons plus de trouvailleurs ni de magistrats et d'avocats à Nanterre pour s'occuper convenablement de ceux là ? Le problème pourrait être le passage obligé par Bobigny. On peut les faire atterrir dans le Val-d'Oise, à Taverny ? En tous cas, je suis certain qu'il existe des solutions toutes simples et dont personne n'aurait rien à foutre, même à l'ONU. Puis on en dirait qu'on a tout fait « dans l'intérêt des enfants », il existerait même des voies de recours, et adviennent que pourra. Advienne que pourra ou Inch'Allah الله et on y croirait tous, « les enfants se portent à merveille, sont idéalement intégrés. »
Edit... Sur Twitter et avec le préfet de police Lallement, j'apprends que c'est un bon moment pour une citation. Facile. L'un de mes billets qui est évidemment pour ma rubrique Victimes, d'autant plus que le sujet touche, jusqu'à l'ONU. Oh purée, les enfants, 200, c'est sacré, pour tous, dira-t-on, et si on discute de leur mamans, ainsi que d'attachement, on va même arracher des larmes et des signatures #petition #honte à nos essentialistes et aux pasteurs les plus primaires.
Un billet qui n'est finalement rien qu'un peu de diffamation publique encore. Les intéressés ou ciblés apprécieront.
La société en recevant l'enfant se met à la place de la famille ; elle en accepte les devoirs (...) elle doit faire pour l'enfant ce que ferait la famille elle-même, supposé qu'elle connût ses devoirs et qu'elle eût la volonté et le pouvoir de les remplir (...) elle doit veiller au développement des facultés morales de l'enfant trouvé • Paris, 1838
Avant de rejeter la responsabilité sur les socialistes, rappelant que l'ancien Premier ministre Lionel Jospin avait signé la circulaire autorisant cette pratique: "Autrement dit, ce sont des socialistes qui ont pensé qu'il était plus sain pour les familles et les enfants d'adapter comme ça les chambres dans les centres de rétention", a-t-il raillé. Les parents sont "libres de choisir d'amener ou pas leurs enfants dans un centre de rétention ou de les confier à l'extérieur", a précisé Eric Besson, en guise de justification. • Le JDD, le 3 septembre 2009, Sans-papiers: Besson déterminé • A son tour, le NPA a évoqué une décision qui résulte "d'une politique gouvernementale inhumaine et barbare exécutée par une justice zélée qui piétine les conventions internationales sur les droits de l'enfant et le droit à la vie familiale"
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3 commentaires
"Un juge de la jeunesse décidera ensuite s’il peut en effet être confié à la garde de son père" https://t.co/XMFEK3jan8 #loterie
— Bruno Kant (@bkant) December 31, 2020
Tout étant là, quoi que vous lirez autre part: " comme dans les autres dossiers concernant des mineurs, aucun commentaire ne sera fait concernant les mesures de protections concrètes décidées ".
— Bruno Kant (@bkant) December 31, 2020
Un voile de pudeur - au premier degré.
— Bruno Kant (@bkant) December 31, 2020