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Un enfant peut-il être « manipulé », « influencé » par des adultes ?
Le 20 novembre 2006 au soir, au JT de France 2, des extraits de la campagne de la FNSF montrait à quel point un enfant pourrait parfois être influencé par des adultes. Dans certaines situations, l'enfant irait même jusqu'à mettre un coup de pied à sa propre mère ? Les images dressaient déjà un portait très négatif du conjoint, de l'homme ou du père, et même du petit garçon. Enfants s'abstenir... mais diffusé à une heure de grande audience.
Dans le cadre de l'assistance « éducative », certaines approximations et critiques de tiers ou de professionnels à l'encontre des parents ou de la famille, à l'encontre de leurs valeurs, de choix de vie ou éducatifs, seraient-ils sans incidence sur le psychisme des enfants, leur bien-être, les relations parents-enfants, les parents eux-même ?
Lorsque la situation d'un enfant ou d'une famille est « inquiétante », doit on considérer que la délation, la diffamation et la discrimination sont alors d'« utilité publique », surtout lorsque la justice est saisie ?
Combien d'acteurs assureront que leurs paroles, décisions et actions, même les plus « contraignantes », sont toutes « neutres » et sans la moindre incidence négative sur les relations familiales et la socialisation des enfants ?
Présentation de la campagne
« violence conjugale » 2006
Mais comment aboutir, par la volonté d'un tiers ou de professionnels, voire par la force et la contrainte « éducative », à la rupture de relations parents-enfant motivée, notamment par la parole de l'enfant ? Comment parvenir à évincer les parents ou à faire en sorte que l'enfant paraisse lui même les rejeter ? Mystère. Un extrait de Internats et séparation, cet ouvrage d'un professionnel décliné en différentes versions n'en dit pas beaucoup plus :
Nous pouvons dire en résumant certaines recherches éthologiques et psychanalytique :
• que la recherche du contact entre la mère et son petit est un facteur essentiel du développement affectif, cognitif et social de ce dernier ;
• que la privation de la mère ou de son substitut entraîne des perturbations qui peuvent être irréversibles. Elle peut être néanmoins prévenue en grande partie par le contact avec des congénères ;
• ce n’est pas la mère en tant que telle qui est indispensable mais une qualité environnementale, support physique et psychique, source de contact, de chaleur ;
• l’agrippement est à la base à la fois de l’attachement et de la séparation. Une fois établie la confiance de l’enfant, la séparation définitive de la mère a lieu soit du fait de la mère soit du fait de l’enfant.