« De quoi nous parle-t-il ? | « Fiers d'être français » » |
Ils se souviennent
On peut se souvenir de ce qui s'est tramé il y a plus de 20 ans mais on devrait oublier tout un pan du passé récent ?
En une de France Info, ce matin
4 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
C'est contagieux? L'évêque Williamson souhaitait lui aussi qu'on lui apporte des preuves, à étudier. Les juges de Versailles attendent eux aussi quelques preuves...
Sarkozy/Berlin: "dérisoire" (Kouchner)
AFP, 10/11/2009 | Mise à jour : 09:44, extrait
Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a qualifié de "dérisoire", aujourd'hui, la polémique autour des doutes sur la présence de Nicolas Sarkozy à Berlin dès le 9 novembre 1989, dans une interview à la radio France Inter. "Ce n'est pas une polémique intéressante", "par rapport à ce qui s'est passé" au Mur de Berlin, "c'est dérisoire", a-t-il déclaré. "J'ai entendu le président (...) Je crois ce que dit le président, systématiquement", a-t-il ajouté, en remarquant sèchement: "vous ne m'apprenez rien et vous n'apportez aucune preuve".
Nicolas Sarkozy était-il à Berlin il y a vingt ans ?
France Info - Hier, 17:12 - L’analyse de Marie-Eve Malouines (1'04")
Sarkozy/Berlin: "dérisoire" (Kouchner)
AFP, 10/11/2009 | Mise à jour : 09:44, extrait
Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a qualifié de "dérisoire", aujourd'hui, la polémique autour des doutes sur la présence de Nicolas Sarkozy à Berlin dès le 9 novembre 1989, dans une interview à la radio France Inter. "Ce n'est pas une polémique intéressante", "par rapport à ce qui s'est passé" au Mur de Berlin, "c'est dérisoire", a-t-il déclaré. "J'ai entendu le président (...) Je crois ce que dit le président, systématiquement", a-t-il ajouté, en remarquant sèchement: "vous ne m'apprenez rien et vous n'apportez aucune preuve".
Nicolas Sarkozy était-il à Berlin il y a vingt ans ?
France Info - Hier, 17:12 - L’analyse de Marie-Eve Malouines (1'04")
10.11.09 @ 10:10
Commentaire de: bk [Membre]
Hier, sur France Info, au cours d'une émission qui critiquait notre gouvernement actuel, j'ai entendu qu'il n'y a plus que l'indécence qui vaille encore en politique. Ce doit être exact aussi lorsque sa justice est saisie? Un extrait et une belle image de source le Figaro.fr, je crois qu'on distingue même Carla, en arrière plan:
11.11.09 @ 15:39
Commentaire de: bk [Membre]
Politique
Tollé autour du Goncourt : Frédéric Mitterrand refuse de trancher
Le Parisien avec AFP | 11.11.2009, 17h04 | Mise à jour : 12.11.2009, 09h14
«Je n'ai pas à arbitrer entre une personne privée qui dit ce qu'elle veut dire et un parlementaire qui dit ce qu'il a sur le coeur.» Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, refuse de trancher le différend qui oppose Marie Ndiaye et Eric Raoult.
Alors que l'idée du député UMP Eric Raoult de soumettre les lauréats du Goncourt à un «devoir de réserve» a suscité un véritable tollé, Marie Ndiaye, Goncourt 2009, en appelle au ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand pour trancher.
Dans une question écrite au ministre de la Culture, le député UMP avait argué mardi d'un «devoir de réserve» des lauréats du Prix Goncourt, après des propos jugés «insultants» de la part de Marie Ndiaye. Il visait Marie Ndiaye qui, dans une interview aux «Inrockuptibles» cet été, avait jugé la France de Nicolas Sarkozy «monstrueuse».
«Au début, je trouvais ça d'un ridicule, d'un grotesque achevé», a déclaré la romancière mercredi sur France-Info. «J'aimerais beaucoup que Frédéric Mitterrand intervienne dans cette histoire puisque c'est à lui que M. Raoult s'est adressé, et nous donne son avis sur le devoir de réserve des Prix Goncourt et même tout simplement des écrivains... Ce serait bien qu'il (...) mette un point final à cette affaire, qui est quand même assez simple».», a ajouté la lauréate. M. Raoult demandait lui aussi à M. Mitterrand de lui «indiquer sa position».
Mercredi, Bernard Pivot, membre de l'Académie Goncourt était monté au créneau, suivi par de nombreux autres écrivains dont Erik Orsenna. «Le devoir de réserve des Prix Goncourt n'a jamais existé, n'existe pas et n'existera jamais. Ce serait bien mal connaître les écrivains que de croire qu'il existe», a déclaré Bernard Pivot.
Tollé autour du Goncourt : Frédéric Mitterrand refuse de trancher
Le Parisien avec AFP | 11.11.2009, 17h04 | Mise à jour : 12.11.2009, 09h14
«Je n'ai pas à arbitrer entre une personne privée qui dit ce qu'elle veut dire et un parlementaire qui dit ce qu'il a sur le coeur.» Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, refuse de trancher le différend qui oppose Marie Ndiaye et Eric Raoult.
Alors que l'idée du député UMP Eric Raoult de soumettre les lauréats du Goncourt à un «devoir de réserve» a suscité un véritable tollé, Marie Ndiaye, Goncourt 2009, en appelle au ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand pour trancher.
Dans une question écrite au ministre de la Culture, le député UMP avait argué mardi d'un «devoir de réserve» des lauréats du Prix Goncourt, après des propos jugés «insultants» de la part de Marie Ndiaye. Il visait Marie Ndiaye qui, dans une interview aux «Inrockuptibles» cet été, avait jugé la France de Nicolas Sarkozy «monstrueuse».
«Au début, je trouvais ça d'un ridicule, d'un grotesque achevé», a déclaré la romancière mercredi sur France-Info. «J'aimerais beaucoup que Frédéric Mitterrand intervienne dans cette histoire puisque c'est à lui que M. Raoult s'est adressé, et nous donne son avis sur le devoir de réserve des Prix Goncourt et même tout simplement des écrivains... Ce serait bien qu'il (...) mette un point final à cette affaire, qui est quand même assez simple».», a ajouté la lauréate. M. Raoult demandait lui aussi à M. Mitterrand de lui «indiquer sa position».
Mercredi, Bernard Pivot, membre de l'Académie Goncourt était monté au créneau, suivi par de nombreux autres écrivains dont Erik Orsenna. «Le devoir de réserve des Prix Goncourt n'a jamais existé, n'existe pas et n'existera jamais. Ce serait bien mal connaître les écrivains que de croire qu'il existe», a déclaré Bernard Pivot.
12.11.09 @ 09:58
Commentaire de: bk [Membre]
Les menaces de Charles Pasqua, l'encombrant revenant
LE MONDE | 11.11.09 | 14h31 • Mis à jour le 11.11.09 | 14h31, extrait
Il a promis de "faire des révélations", d'"apporter des preuves matérielles", de "rafraîchir la mémoire de Chirac et Villepin". La conférence de presse annoncée par Charles Pasqua dans un entretien au Journal du dimanche, et organisée jeudi 12 novembre, suscite d'ores et déjà beaucoup d'intérêt, tant le personnage tient une place particulière dans l'histoire politique nationale.
Affaires : de l'art de faire des révélations au bon moment
Le Figaro, 12/11/2009 | Mise à jour : 08:09, extrait
Aux yeux de ces quelques mis en examen célèbres, ce ne serait de toute façon jamais le bon moment pour parler puisque, disent-ils généralement, le système judiciaire refuse de les entendre.
«Dans les enquêtes longues et complexes, il est assez rare que des magistrats reviennent sur la logique de leur dossier, observe Jean-Pierre Gastaud, avocat et professeur de droit. Mais si le mis en examen mise sur une révélation et qu'elle se confirme, ce peut être le renversement du dossier !» Cela dit, quand les «bombes» sont annoncées juste après une condamnation lourde, la manœuvre paraît suspecte aux yeux des juges. «Pourquoi ne pas l'avoir dit lors du procès ?», s'étonne un magistrat qui admet cependant que le silence s'impose parfois aux prévenus par des exigences qui les dépassent. En 2005, lors du procès des marchés truqués des lycées d'Ile-de-France où planait l'ombre de Jacques Chirac, un procureur avait observé que le directeur de cabinet de l'ancien chef d'État, principal prévenu, gardait «la bouche cousue» tandis qu'il y avait «dans ce procès des chaises vides». Dans un climat alors vierge de tout coup d'éclat, bien des acteurs de l'affaire rêvaient alors qu'un jour les échéances politiques passées et le procès passé, les langues se déliraient. Au moins pour l'histoire.
LE MONDE | 11.11.09 | 14h31 • Mis à jour le 11.11.09 | 14h31, extrait
Il a promis de "faire des révélations", d'"apporter des preuves matérielles", de "rafraîchir la mémoire de Chirac et Villepin". La conférence de presse annoncée par Charles Pasqua dans un entretien au Journal du dimanche, et organisée jeudi 12 novembre, suscite d'ores et déjà beaucoup d'intérêt, tant le personnage tient une place particulière dans l'histoire politique nationale.
Affaires : de l'art de faire des révélations au bon moment
Le Figaro, 12/11/2009 | Mise à jour : 08:09, extrait
Aux yeux de ces quelques mis en examen célèbres, ce ne serait de toute façon jamais le bon moment pour parler puisque, disent-ils généralement, le système judiciaire refuse de les entendre.
«Dans les enquêtes longues et complexes, il est assez rare que des magistrats reviennent sur la logique de leur dossier, observe Jean-Pierre Gastaud, avocat et professeur de droit. Mais si le mis en examen mise sur une révélation et qu'elle se confirme, ce peut être le renversement du dossier !» Cela dit, quand les «bombes» sont annoncées juste après une condamnation lourde, la manœuvre paraît suspecte aux yeux des juges. «Pourquoi ne pas l'avoir dit lors du procès ?», s'étonne un magistrat qui admet cependant que le silence s'impose parfois aux prévenus par des exigences qui les dépassent. En 2005, lors du procès des marchés truqués des lycées d'Ile-de-France où planait l'ombre de Jacques Chirac, un procureur avait observé que le directeur de cabinet de l'ancien chef d'État, principal prévenu, gardait «la bouche cousue» tandis qu'il y avait «dans ce procès des chaises vides». Dans un climat alors vierge de tout coup d'éclat, bien des acteurs de l'affaire rêvaient alors qu'un jour les échéances politiques passées et le procès passé, les langues se déliraient. Au moins pour l'histoire.
12.11.09 @ 09:59