« Des collectifs appellent à la fraternité, à la paix, à l'équité | Bref passage à Nanterre » |
Au 14 de l'avenue Duquesne
Je me suis rendu au ministère de la famille, en arrivant il y avait foulle devant le bâtiment : un exercice ou une alerte au feu, tout le personnel était dehors. J'étais plutôt dérouté, c'était à ces gens que je souhaitais distribuer des chewing gums et des tracts. J'ai rapidement été pris par une discussion avec l'un des fonctionnaires puis ceux-ci sont retournés dans le bâtiment du ministère.
Ma lettre à Philippe Bas est restée morte. Je suis passé par le service courrier où j'en ai déposé une copie ainsi que des chewing gums à son attention.
Peu après cinq heure j'ai du rentrer pour récupérer ma deuxième fille à son école.
A l'angle avenue de Segur il y a un piquet de médecins étrangers qui manifestent, les fonctionnaires de ce ministère pourraient être sollicités plus que d'autres.
L'une des personnes du ministère avec qui j'ai discuté a été particulièrement indignée par les détails de mon affaire :
- Isabelle a construit sur un terrain que ses parents lui ont donné,
- la maman de ma fille Justine est décédée,
- le grand-père de Justine est décédé,
- Carole et Isabelle, ses tantes maternelles, m'ont accusé de maltraiter Justine tout en réclamant sa garde,
- la garde de Justine qui hérite, entre autres, de terrains a été confiée à Isabelle.
Le lumineux portail Internet de la
Direction Solidarité du conseil général de la Moselle
Enfance en danger, APA, personnes agées
Je n'ai rien pu faire, je n'ai pas pu me défendre, Carole est assistante sociale en Moselle, affectée par le préfet à la direction de la solidarité. Les juges et les travailleurs sociaux se sont même très franchement attachés à couvrir puis à servir Carole (dans le texte, "Monsieur Josefsberg doit lui dire quand"). Carole m'avait encore menacé fin 2002, elle et sa soeur voulaient Justine et elle l'ont eu.
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Jean de La Fontaine, aux environs de 1664