« Enfants, graines de délinquants ? | La France a peur... et des gens, y compris des enfants, disparaissent » |
Roulements de tambour, quels discours verrons nous émerger ?
Une petite virée sur Internet... un chat proposé sur le site de l'Internaute :
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Dans son ouvrage "Voulons-nous des enfants barbares ?", Maurice Berger dresse le portrait d'enfants violents et tente de prévenir l'apparition de ces jeunes en perdition. Posez-lui toutes vos questions lors d'un chat le mercredi 15 octobre à 16 heures.
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Voulons-nous des enfants barbares ? C'est à cette question que Maurice Berger, chef de service en psychiatrie de l'enfant au CHU de Saint-Etienne, tente de nous sensibiliser. Selon lui, le nombre de ces enfants va continuer à croître si nous ne parvenons pas à modifier notre façon de penser.
Pourtant, les connaissances scientifiques qui permettraient une vraie prévention existent. Seule la France refuse de s'y intéresser. Pourquoi ? Comment repérer ces enfants violents et pourquoi le deviennent-ils ? Y a-t-il un moyen d'enrayer ce phénomène ? Posez toutes vos questions à Maurice Berger en direct le mercredi 15 octobre à 16 heures.
Adolescence - Ces enfants barbares qui ne reculent devant rien
France-Soir, le mercredi 8 octobre 2008 à 04:00
Alors que les agressions perpétrées par des enfants se succèdent, notamment dans les écoles, le pédopsychiatre Maurice Berger, du CHU de Saint-Etienne, publie un livre sur les violences extrêmes.
Un adolescent qui brûle trois voitures à Lyon, le 20 septembre dernier, après avoir joué à un jeu vidéo. Une jeune fille de 15 ans qui se jette sur son enseignante et la frappe violemment avant de lui casser le nez, à Paris, quatre jours plus tard. Un autre élève de 10 ans qui agresse son institutrice dans le Val-D’oise la même semaine. C’est dans ce contexte difficile que vient d’être publié le livre Voulons-nous des enfants barbares ? Cet ouvrage, écrit par Maurice Berger, chef de service en psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne, évoque principalement la violence pathologique extrême « qui concerne environ 14.000 mineurs en France », indique ce dernier.
Maurice Berger aborde ainsi le processus à l’origine de la violence – physique et sexuelle – et les différentes conditions de prise en charge. Il dresse surtout un constat : La quasi-totalité des enfants et préadolescents auteurs de violences pathologiques extrêmes ont été soumis tout-petits – le plus souvent par leurs parents – à des relations particulièrement défectueuses, responsables de traumatismes relationnels précoces.
Ajout du 15/10, un extrait du log...