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Ghetto urbain : Ségrégation, violence, pauvreté en France aujourd'hui
Jeudi 3 décembre 2009 à 19H30
Ghetto urbain : Ségrégation, violence, pauvreté en France aujourd'hui
avec Didier Lapeyronnie, Professeur de sociologie à l'université Paris IV et membre associé au CADIS
Jeudi 14 janvier 2010 à 19H30 :
Éthique de la recherche et des soins dans les pays en développement
avec Didier Sicard, Président d'honneur du Comité consultatif national d'éthique
et Professeur émérite de médecine interne à l'université Paris-Descartes
Jeudi 8 avril 2010 à 19H30
La République raciale. Paradigme racial et idéologie républicaine (1860-1930)
avec Carole Reynaud-Paligot, chercheur associée en histoire à l’Université de Franche-Comté
Les rendez-vous du groupe de l'ACAT Paris V
pour l'année universitaire 2009-2010
Les Jeudis de l'ACAT Paris V
Plus d'infos sur acatparis5.free.fr
6 commentaires
Jacques Chirac peut-il dire ce qu'il veut?
Créé le 24.11.09 à 18h56
Mis à jour le 24.11.09 à 20h02, 20 minutes, extrait
Finalement, ceux qui risquent le plus, ce sont ceux qui commentent la vidéo. «Le piège de ce type d'intervention, c'est qu'elle oblige les hommes politiques en fonction à réagir», souligne Christian Delporte. Selon lui, l'embarras d'Alain Juppé sur la vidéo est visible et l'actuel maire UMP de Bordeaux essaie de s'en sortir par une pirouette. Mis à part Dominique Paillé, le porte-parole de l'UMP, qui a publiquement qualifié ce dérapage d'«humour», les élus de la majorité contactés par 20minutes.fr ont d'ailleurs refusé de commenter ces propos.
AFP, 02/12/2009 | Mise à jour : 10:55
Le maire UMP de Gussainville (Meuse) André Valentin a dérapé verballement devant les caméras de France 2, lors d'un débat sur l'identité nationale organisé par Eric Besson.
Interrogé sur l'opportunité d'organiser ces débats, il a répondu que c'est "indispensable". "Il est temps qu'on réagisse, on va se faire bouffer". Un journaliste lui demande alors : "Par qui?" Valentin lui répond en référence aux immigrés : "y'en a déjà 10 millions (...) 10 millions payés à rien foutre".
Ces propos ont été diffusés hier soir au JT de 20h de France 2, lors d'un reportage sur les débats organisés à l'initiative d'Eric Besson, ministre de l'Immigration.
AFP, 03/12/2009 | Mise à jour : 15:00
Le maire (UMP) de Gussainville (Meuse), André Valentin, s'est défendu aujourd'hui d'avoir tenu lundi à Verdun (Meuse) des propos "xénophobes" en marge du premier débat en région sur l'identité nationale.
"Je ne suis ni raciste ni xénophobe, a-t-il déclaré au téléphone. Lorsque j'ai parlé de "dix millions que l'on paye à rien foutre", je faisais référence aux chômeurs, aux Rmistes et aux retraités qui, pour certains, vivent avec moins de 500 euros par mois",
"Faire venir d'autres immigrés de Roumanie, de Turquie, de Pologne et des pays noirs alors qu'on est pas capable de leur donner du boulot ou un logement, c'est honteux", a encore dit le maire de Gussainville, commune de 40 habitants, ajoutant qu'il était "chrétien" et qu'il avait "de nombreux amis algériens et marocains".
AFP, 03/12/2009 | Mise à jour : 19:12
Le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, a estimé que le maire de Gussainville (Meuse), André Valentin, avait exprimé "l'inquiétude" de la France par ses propos controversés sur l'immigration, regrettant la manière dont "tout le monde lui tombe dessus". "Je ne partage pas les propos qu'il a tenus, mais en même temps, ce que je veux dire, c'est qu'il est maire d'une commune de 40 habitants. Il y a beaucoup de petits villages comme ça qui font la France. Il y a une inquiétude en France", a-t-il déclaré sur LCI.
"Ce que je n'aime pas, c'est la manière dont tout le monde lui tombe dessus", a poursuivi M. Lefebvre, reprochant à ses détracteurs de ne pas vouloir "aborder cette inquiétude". Selon le porte-parole de l'UMP, "il ne faut pas faire comme si cette inquiétude là n'existait pas, notamment dans la France profonde. C'est une réalité".
M. Lefebvre s'est démarqué ainsi de la position de Gérard Longuet, patron des sénateurs UMP et président de la fédération UMP de la Meuse, et Bernard Pancher, député UMP du département, qui ont réclamé jeudi la suspension du parti présidentiel du maire.
AFP, 30/09/2010 | Mise à jour : 08:43
Une majorité d'Allemands (55%) considèrent les immigrés musulmans comme un fardeau pour l'Allemagne, selon un sondage publié aujourd'hui par le quotidien Financial Times Deutschland (FTD).
55% des personnes interrogées estiment ainsi que les musulmans ont "coûté financièrement et socialement beaucoup plus qu'ils n'ont rapporté économiquement" à l'Allemagne, selon cette étude de l'Institut Allensbach.
Seul un cinquième des personnes interrogées tirent un bilan positif.
La publication de ce sondage intervient alors que l'Allemagne a été secouée ces dernières semaines par une violente polémique sur l'immigration suscitée par un ancien responsable de la banque centrale allemande, Thilo Sarrazin.
Dans un livre paru fin août, l'ancien banquier central, poussé par la suite à la démission, a stigmatisé les immigrés musulmans affirmant notamment que le pays s'abrutissait à cause de leur faible niveau d'éducation et de leur manque d'intégration.
Ces thèses au vitriol, rejetées par nombre de responsables politiques, avaient trouvé un écho dans la population.
Selon ce sondage du FTD, 60% des personnes interrogées lui donnent ainsi raison.
En Allemagne vivent entre 3,8 et 4,3 millions de musulmans, soit entre 4,6% et 5,2% de la population, selon les chiffres du gouvernement.