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Fillette disparue en 2011 : un corps retrouvé en forêt
NDLR : Encore une affaire qui fera bavarder Eric Mouzin, je n'en doute pas.
Affaire Élodie Kulik : le combat d'un père
Le Point.fr - Publié le 16/01/2013 à 15:37 - Modifié le 16/01/2013 à 17:15
Sept individus sont en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'Élodie Kulik. Son père, Jacky, n'a jamais renoncé.
Par Jean-Michel Décugis
Jacky Kulik, le père d'Élodie, n'a jamais renoncé à connaître la vérité sur le meurtre de sa fille. Joint par Le Point.fr alors que sept hommes ont été placés en garde à vue, il confie qu'il a "bon espoir de voir l'affaire du meurtre de (s)a fille enfin résolue, onze ans après les faits". "Depuis un an, et l'identification du suspect numéro un, j'ai le sentiment que l'affaire peut aboutir du jour au lendemain et que ce n'est plus qu'une affaire de temps, précise-t-il. Les gendarmes ont fait un travail remarquable. Depuis le début, ils sont persuadés, comme moi, que les assassins étaient du coin."
Voilà onze ans que Jacky, défendu par Me Didier Robiquet, refait l'enquête. Le retraité sexagénaire à l'allure sportive a souvent donné du fil à retordre aux enquêteurs et à la première juge d'instruction, qui supportaient mal son obsession de retrouver les tueurs de sa fille. Une obstination qui a conduit Nicolas Sarkozy à le recevoir par deux fois lorsqu'il était ministre de l'Intérieur. "Il m'a juré qu'il me donnerait les assassins de ma fille. Donner ? lui ai-je dit. Il a aussitôt rectifié : Je vous les retrouverai."
Il y a quelques années, Jacky n'en avait fait qu'à sa tête. Contre l'avis de tous, il avait écouté ces 26 interminables secondes durant lesquelles sa fille, calfeutrée dans sa voiture, hurlait de peur en voyant s'approcher les "barbares". Des tueurs qui allaient l'extraire de sa 106 rouge, retirer la batterie de son téléphone pour aller la violer six kilomètres plus loin. La bande-son d'un film d'horreur qui a marqué à vie la jeune femme officier qui a décrypté la bande. Un enregistrement que les enquêteurs ont longtemps essayé de faire parler. Derrière les cris d'Élodie, mêlés à la voix de l'opératrice du 18 - qui répète en boucle "Allô, Codis [centre], j'écoute" -, on distingue deux, peut-être trois voix d'hommes. Avec ce qui semble une pointe d'accent ch'ti. Peut-être les gendarmes vont-ils pouvoir enfin comparer ces voix à celles des individus en garde à vue...
7 commentaires
#MariagePourTous Le marketing a pensé à tout. La 1ère fête de la déprime, c'est maintenant #PS poke @_lerefuge twitter.com/bkant/status/2…
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
LE FLASH > Actualité
Un garçonnet enlevé par sa mère
AFP Publié le 24/01/2013 à 17:50
Un petit garçon de 5 ans a été enlevé par sa mère, qui n'en a pas la garde, ce matin dans une école maternelle de Montbéliard (Doubs), mais la police a récupéré l'enfant sain et sauf et a interpellé sa mère.
Agée de 25 ans, elle s'était introduite dans l'établissement scolaire vers 08H30 et avait emmené l'enfant, avant de s'enfuir en voiture avec deux complices, a indiqué à l'AFP la procureure de la République de Montbéliard, Thérèse Brunisso. Un personnel de l'école a tenté de s'interposer, en vain, et la direction de l'école a alerté la police.
Vers 13H00, la police a repéré et arrêté le véhicule près de Dijon, où réside la mère, alors que les autorités étaient sur le point de déclencher l'alerte enlèvement. Le petit garçon et sa soeur de 6 ans, qui se trouvait dans le même établissement scolaire, sont domiciliés à Montbéliard chez leur père, qui en a la garde provisoire.
Le couple est séparé depuis plusieurs années et les deux enfants sont suivis par le juge des enfants et les services sociaux depuis plusieurs mois, a précisé la magistrate. La PJ a "travaillé très vite et très bien, ce qui a permis de récupérer le petit garçon en quelques heures", a déclaré la procureure.
La mère de l'enfant et les deux hommes ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils devaient être entendus jeudi après-midi. Une enquête criminelle pour enlèvement a été ouverte et confiée à l'antenne bisontine de la police judiciaire de Dijon.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/24/97001-20130124FILWWW00650-un-garconnet-enleve-par-sa-mere.php
@menilmuche Quand un juge pour enfant s'oppose, si t'es pas Rom, l'enlèvement de ton enfant, tu éviteras lefigaro.fr/flash-actu/201… #JoyeuxDivorce
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Tu sais s'ils l'ont retrouvé, l'enfant et/ou la famille Rom? S'ils sont malins, ils ne sont plus là :-) #tweetprécédent
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Un cas Rom, disparu/retrouvé: L’enfant rom disparu avait été placé dans un foyer bit.ly/T5ONbR Ts ces cas sont différents
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Vraiment très particuliers, chaque cas "Rom" :-) / Aude: l'ado disparu retrouvé grâce à une famille de Roms leparisien.fr/faits-divers/l…
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche C'est ce cas Rom là dont j'ai pas vu de nouvelles / Marseille: un bébé de 5 mois enlevé à l'hôpital laprovence.com/article/faits-…
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
Un maire PS relègue les élèves roms dans un gymnase: Le maire PS de Ris-Orangis dans l'Essonne refuse d'inscrire... bit.ly/W47Zu7
— Flash Presse (@FlashPresse) 25 janvier 2013
Un hôpital psychiatrique condamné pour avoir interdit les rapports sexuels dans une unité actusoins.com/12707/hopital-… Relire Goffman, Asiles :-)
— Bruno Kant (@bkant) 24 janvier 2013
@bkant c'est toi qui (ici twitter.com/bkant/status/2…) a collé le mot divorce.
— Fabien (@Menilmuche) 25 janvier 2013
@menilmuche #JoyeuxDivorce -> bordel/cas particulier après une quelconque forme de séparation, voire une annonce de séparation.
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Satirique, pas pire qu'un Charlie hebdo après un crime affreux (voir tweet + l'image) twitter.com/bkant/statuses… twitter.com/bkant/status/2…
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013