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Fillette disparue en 2011 : un corps retrouvé en forêt
NDLR : Mieux vaudra donc placer les enfants, dès le premier et moindre soupçon. Comme l'épouse de Gilles Patron n'a très certainement plus d'agrément, Nous nous épargnerons de nombreux procès et scandales inutiles.
Actualité > Faits divers
Les bourreaux de Typhaine, enfant martyr, aux assises
Le Parisien | PASCALE ÉGRÉ | Publié le 21.01.2013, 08h11
La mère et le beau-père de la fillette, décédée en 2009 à 5 ans d’une avalanche de coups, sont jugés à partir d’aujourd’hui devant les assises du Nord. Ils avaient pendant des mois caché la mort de l’enfant.
Ce 13 juin 2009, dans la salle des fêtes d’une petite commune du Nord, Anne-Sophie Faucheur et son nouveau conjoint, Nicolas Willot, fêtent en famille le baptême de leur nourrisson. Typhaine, 5 ans, n’est pas là. La petite fille, née d’une précédente union, serait « restée chez son père biologique », François Taton, explique la mère à son entourage.
Cinq jours plus tard, la jeune femme, alors âgée de 23 ans, pousse la porte du commissariat de Maubeuge. Sa fille Typhaine a échappé à sa surveillance et a disparu dans le centre-ville, assure-t-elle avec un singulier sang-froid. De colossaux moyens de recherche sont alors mis en œuvre. Le signalement de la fillette, censée être vêtue d’un tee-shirt à l’effigie de Dora, son personnage préféré, circule sur tout le territoire et jusqu’en Belgique…
Punie parce qu’elle avait mangé des bonbons
Six mois plus tard, dans un bois proche de Charleroi, en Belgique, les enquêteurs retrouvent le corps de l’enfant, enterrée nue, à même la terre. Elle a subi de multiples violences, dont plusieurs fractures, avant sa mort. Le jour du baptême, Typhaine était déjà morte, et sa dépouille reposait encore dans la cave du domicile familial d’Aulnoye-Aymeries, cachée sous une serviette et un sac-poubelle, ont fini par avouer Anne-Sophie Faucheur et Nicolas Willot après des mois de mensonges.
Victime de maltraitances répétées, la fillette a succombé à une nouvelle séquence de coups et à une énième douche froide, reconnaissent-ils. Une punition infligée par sa mère parce qu’elle aurait pris des bonbons dans l’armoire de la cuisine, décrit son conjoint. Ni elle, qui tente une dernière esquive en livrant la version d’un décès accidentel, ni lui, qui en tant que pompier volontaire ne pouvait ignorer la portée de ces violences, n’ont pourtant jamais eu l’intention de la tuer, ont-ils maintenu durant l’instruction.
A partir de ce matin, et durant cinq jours, la cour d’assises de Douai va se pencher sur la tragique histoire de cette petite fille dont le sort a tant ému que sa tombe est toujours fleurie de la main d’anonymes. Jugés pour « homicide volontaire, violences aggravées et dénonciation mensongère », sa mère et son beau-père, aujourd’hui âgés de 26 et 27 ans, encourent la réclusion criminelle à perpétuité. Anne-Sophie Faucheur « reconnaît les faits, elle ne se pardonne pas, elle ne se pardonnera jamais, elle ne comprend pas elle-même ce qui l’a poussée à agir comme ça », avance son avocate, Me Blandine Lejeune. Nicolas Willot, lui, est « tout à fait traumatisé encore aujourd’hui par les actes qu’il a pu commettre », assure son défenseur, Me Emmanuel Riglaire, qui décrit l’accusé comme « pressé de s’expliquer ».
« Savoir le pourquoi… Jusqu’à maintenant, elle a toujours menti et je ne sais pas pourquoi ma fille est morte. Pour moi, c’est cela qui importe », explique avant le procès le père de Typhaine, qui s’est constitué partie civile. D’emblée mobilisé pour rechercher sa fillette soi-disant disparue, François Taton n’avait « jamais imaginé ce que l’on a su après », souligne son avocat, Me Raphaël Théry. « La mise en scène de l’enlèvement, les maltraitances, les mensonges… Cette enfant souffre-douleur a été la victime d’une sorte d’entreprise de destruction. »
Après la séparation de ses parents, fin 2005, Typhaine avait été confiée à sa grand-mère paternelle. C’est en janvier 2009 qu’Anne-Sophie Faucheur, qui pourtant ne venait que très peu lui rendre visite, était venue s’en emparer à la sortie de l’école. Nul ne sait quand les coups ont ensuite commencé.
Le verdict est attendu vendredi.
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7 commentaires
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— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
LE FLASH > Actualité
Un garçonnet enlevé par sa mère
AFP Publié le 24/01/2013 à 17:50
Un petit garçon de 5 ans a été enlevé par sa mère, qui n'en a pas la garde, ce matin dans une école maternelle de Montbéliard (Doubs), mais la police a récupéré l'enfant sain et sauf et a interpellé sa mère.
Agée de 25 ans, elle s'était introduite dans l'établissement scolaire vers 08H30 et avait emmené l'enfant, avant de s'enfuir en voiture avec deux complices, a indiqué à l'AFP la procureure de la République de Montbéliard, Thérèse Brunisso. Un personnel de l'école a tenté de s'interposer, en vain, et la direction de l'école a alerté la police.
Vers 13H00, la police a repéré et arrêté le véhicule près de Dijon, où réside la mère, alors que les autorités étaient sur le point de déclencher l'alerte enlèvement. Le petit garçon et sa soeur de 6 ans, qui se trouvait dans le même établissement scolaire, sont domiciliés à Montbéliard chez leur père, qui en a la garde provisoire.
Le couple est séparé depuis plusieurs années et les deux enfants sont suivis par le juge des enfants et les services sociaux depuis plusieurs mois, a précisé la magistrate. La PJ a "travaillé très vite et très bien, ce qui a permis de récupérer le petit garçon en quelques heures", a déclaré la procureure.
La mère de l'enfant et les deux hommes ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils devaient être entendus jeudi après-midi. Une enquête criminelle pour enlèvement a été ouverte et confiée à l'antenne bisontine de la police judiciaire de Dijon.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/24/97001-20130124FILWWW00650-un-garconnet-enleve-par-sa-mere.php
@menilmuche Quand un juge pour enfant s'oppose, si t'es pas Rom, l'enlèvement de ton enfant, tu éviteras lefigaro.fr/flash-actu/201… #JoyeuxDivorce
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Tu sais s'ils l'ont retrouvé, l'enfant et/ou la famille Rom? S'ils sont malins, ils ne sont plus là :-) #tweetprécédent
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Un cas Rom, disparu/retrouvé: L’enfant rom disparu avait été placé dans un foyer bit.ly/T5ONbR Ts ces cas sont différents
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Vraiment très particuliers, chaque cas "Rom" :-) / Aude: l'ado disparu retrouvé grâce à une famille de Roms leparisien.fr/faits-divers/l…
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche C'est ce cas Rom là dont j'ai pas vu de nouvelles / Marseille: un bébé de 5 mois enlevé à l'hôpital laprovence.com/article/faits-…
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
Un maire PS relègue les élèves roms dans un gymnase: Le maire PS de Ris-Orangis dans l'Essonne refuse d'inscrire... bit.ly/W47Zu7
— Flash Presse (@FlashPresse) 25 janvier 2013
Un hôpital psychiatrique condamné pour avoir interdit les rapports sexuels dans une unité actusoins.com/12707/hopital-… Relire Goffman, Asiles :-)
— Bruno Kant (@bkant) 24 janvier 2013
@bkant c'est toi qui (ici twitter.com/bkant/status/2…) a collé le mot divorce.
— Fabien (@Menilmuche) 25 janvier 2013
@menilmuche #JoyeuxDivorce -> bordel/cas particulier après une quelconque forme de séparation, voire une annonce de séparation.
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013
@menilmuche Satirique, pas pire qu'un Charlie hebdo après un crime affreux (voir tweet + l'image) twitter.com/bkant/statuses… twitter.com/bkant/status/2…
— Bruno Kant (@bkant) 25 janvier 2013