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A la barre
«Papa a mis Bastien dans la machine à laver»
Par Ondine Millot — 8 septembre 2015 à 21:28 (mis à jour à 21:28)

Christophe Champenois est jugé à Melun pour meurtre aggravé après avoir tué son fils. La mère, Charlène Cotte, comparaît pour complicité.

«Il y a un gros gros problème avec Bastien. Donc si vous faites rien du tout, moi je vous le dis tout de suite, je le balance du deuxième étage. Même si je prends 15 ans de prison, je le balance.» Le message, laissé sur le répondeur des services sociaux de Seine-et-Marne, date du 24 novembre 2011. Le lendemain son auteur, Christophe Champenois, enferme son fils Bastien, 3 ans, dans son lave linge, le met en route, et le tue.

Des messages comme celui-ci, des signaux d’alerte et même des signalements officiels, il y en a de très nombreux dans la courte vie de Bastien, mort le 25 novembre 2011 à Germigny-Levêque (Seine-et-Marne). Le petit garçon lui-même, une grosse bosse sur le front, avait expliqué à une assistante sociale : «Papa a fait boum». Réaction immédiate de la travailleuse, poser la question aux parents. Qui nient, de manière assez peu surprenante.

A l’école, Bastien, qui présentait un important retard de langage, grimpait partout, se mettait sans cesse en danger. Les enseignants s’en plaignaient aux parents, qui le punissaient. La veille de sa mort, Bastien a pris le dessin d’une de ses camarades et l’a jeté dans les toilettes. Conséquence, de retour à la maison : enfermé dans le placard, les mains scotchées.

Il est impossible d’écrire tout ce que Bastien a souffert, et tout ce que les adultes ont ignoré, tant les signes de sa détresse, dans la procédure qui mène aujourd’hui ses deux parents devant la cour d’assises de Melun, semblent incessants. Son père, Christophe Champenois, 36 ans, comparaît pour meurtre aggravé. Sa mère, Charlène Cotte, 29 ans, pour complicité. Les services sociaux qui suivaient la famille depuis 2009 ne sont pas inquiétés.

Des chiffres disent un peu du calvaire de Bastien. Entre 2009 et 2011, trois appels au 119 000, le numéro de l’enfance en danger, sont passés le concernant. Une voisine raconte l’avoir vu accroché au rebord de la fenêtre avec une corde, des travailleurs sociaux témoignent anonymement. Sa grand-mère maternelle l’emmène à la maison des solidarités, à Meaux, et explique que son père le bat. Des enseignants font un signalement. Neuf «informations préoccupantes» sont répertoriés dans son «dossier».

De la part des services sociaux, «un accompagnement, pas un contrôle»

Mercredi et jeudi, les représentants des services sociaux viendront détailler à la barre les principes de leur action auprès de la famille. Christine Boubet, la directrice adjointe aux solidarités pour le conseil général de Seine-et-Marne l’a déjà expliqué à Libération en 2011, et redit depuis dans plusieurs médias : «C’est un accompagnement, pas un contrôle.» Lorsque la famille «coopère», selon le vocabulaire employé, on «travaille avec eux». Dans le cas des Champenois, la «coopération» était constatée. Ils «recevaient» régulièrement les assistantes sociales et puéricultrices, des visites dont ils étaient toujours prévenus à l’avance, et les écoutaient poliment. D’autant qu’ils espéraient faire avancer leur demande de relogement social, pour quitter leur appartement insalubre.

Mardi, une partie de la journée a été consacrée à la «biographie» des parents de Bastien. Lui, grand blond carré, en chemise rouge vif, tremble et pleure dans le box dès les premiers mots. La présidente le rabroue, lui conseille de «rester clair, dans (son) intérêt». Il ravale aussitôt ses sanglots, la voix immédiatement neutre. Charlène Cotte, en liberté provisoire après trois années de détention, est petite, en fort surpoids, habillée de noir, un chignon sur le sommet du crâne. Elle a peu de mots : «Mon enfance ? Heureuse», murmure-t-elle. Elle a grandi entre un père alcoolique et une mère dépassée, sixième de huit enfants, cinq de ses frères et sœurs ont été placés. Elle mène une scolarité floue, orientée dans une filière «entretien» alors qu’elle souhaitait «un CAP petite enfance».

Elle ne travaille pas, se met en couple avec Christophe à 15 ans. Une petite fille, Marie (1), naît en 2006. Pour Bastien, en 2008, Charlène explique qu’elle ne s’est pas «rendu compte» de sa grossesse, «peut-être parce que je savais que Christophe ne voulait pas d’autre enfant». Elle dit s’être sue enceinte au moment des contractions. Son compagnon a d’abord refusé de reconnaître Bastien. S’est ravisé, trois jours après.

Un parcours familial tumultueux

Christophe Champenois lui est enfant unique. Son père, alcoolique, est mort d’un délirium trémens lorsqu’il avait sept ans. Il ne l’a «pas su tout de suite» : sa mère lui a dit que son père était «parti». «Tous les jours je me demandais quand est-ce qu’il allait revenir.» Christophe Champenois souffre d’un méningiome, tumeur au cerveau qui, dit-il le «rend nerveux» et le pousse à calmer ses angoisses dans l’alcool et les stupéfiants (cannabis, amphétamines, ecstasy, cocaïne). Il a arrêté tôt les études, occupé différents emplois de chauffeur ou cariste, puis vécu des allocations.

Leur premier enfant, Marie «était sage, on ne l’entendait pas», raconte Charlène Cotte à la barre. «Elle ne s’est pas occupée toute seule mais... c’est un peu ça. Bastien, lui, était un enfant agité, hyperactif. Il avait peur de son père, qui le frappait. Il a mis du temps à parler, à marcher. Pour se faire comprendre, il se faisait voir. Il faisait une petite bêtise, il ouvrait un placard ou jetait un jouet, pour dire "Coucou, je suis là".»

Le soir de la mort de Bastien, alors que ses parents sont en train de raconter une histoire de chute accidentelle dans l’escalier, Marie, 5 ans, se plante face au voisin qui a accouru : «Papa a mis Bastien dans la machine à laver», dit la petite fille. Christophe Champenois, à côté, lève la main, la menace : «Arrête de dire des conneries !» Mais Marie répète sa phrase. Elle la répétera aux secours, puis aux enquêteurs, avant que l’autopsie et les aveux de Charlène Cotte ne viennent confirmer. A la barre de la cour d’assises de Melun, un gendarme a la voix qui s’étrangle : «Je voudrais dire à Marie que, ce soir-là, elle a eu beaucoup de courage.»

(1) Le prénom a été modifié.
Ondine Millot


De source http://www.liberation.fr/politiques/2015/09/08/papa-a-mis-bastien-dans-la-machine-a-laver_1378472
PermalienPermalien 10.09.15 @ 02:13

En réponse à: La famille d'Aurore Martin accuse Manuel Valls d'avoir menti

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PermalienPermalien 26.11.14 @ 23:54

En réponse à: Journée du soutien des journalistes et des commentateurs opprimés

bk [Membre]

PermalienPermalien 23.10.14 @ 18:51

En réponse à: Dati désigne Desseigne comme étant le père de son enfant

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Dominique Desseigne reconnu comme le père de Zohra Dati par la justice
AFP 7 octobre 2014 à 17:37

Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barriere, en 2006.Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barriere, en 2006. (Photo François Guillot. AFP)

Le tribunal de Versailles a condamné l'homme d'affaires à verser une pension mensuelle de 2 500 euros à l'ancienne garde des Sceaux.

La justice a reconnu mardi l’homme d’affaires Dominique Desseigne comme le père de Zohra, fille de l’ancienne ministre Rachida Dati aujourd’hui âgée de 5 ans et demi, selon une source judiciaire, confirmant une information d’i-Télé.

Le tribunal de grande instance (TGI) de Versailles a également condamné le PDG du groupe Lucien Barrière à verser une pension mensuelle de 2 500 euros, rétroactivement exigible à compter de décembre 2013, a précisé cette source.

«La décision est humainement et juridiquement irréprochable», a réagi l’avocate de Rachida Dati, Me Christine Guillot-Bouhours. Sollicitée par l’AFP, l'ancienne ministre n’a pas souhaité réagir sur une «affaire privée». Les deux avocates de Dominique Desseigne n’étaient pas joignables dans l’immédiat.

Rachida Dati, 48 ans, réélue en mars maire UMP du VIIe arrondissement de Paris, avait réclamé 6 000 euros au cours de cette procédure de reconnaissance en paternité de sa fille.

Dans la plus grande discrétion, une âpre bataille judiciaire avait débuté à l’automne 2012 devant le tribunal civil. Le TGI avait ordonné en décembre 2012 un test génétique pour établir si l’homme d’affaires de 70 ans, ami fidèle de l’ancien président Nicolas Sarkozy qui avait fêté son élection en 2007 chez lui au Fouquet’s, est le père de Zohra, ce qu’il a toujours nié.

Le chef d’entreprise, à la tête de l’empire des casinos et hôtel de luxe Lucien Barrière, avait refusé de s’y soumettre, considérant «que Mme Dati n’avait pas donné des éléments précis sur la période de conception», tels que des échographies, avait affirmé à l’AFP une source proche du dossier en octobre 2013.

Selon une jurisprudence de la Cour de cassation, «l’aveu de paternité peut résulter d’un refus de se soumettre à une expertise génétique, mais le simple refus n’est pas suffisant, il faut d’autres preuves», a commenté une source judiciaire.

Rachida Dati a donné naissance à la petite Zohra le 2 janvier 2009, alors qu’elle était garde des Sceaux. Célibataire et sans compagnon officiel à l’époque, sa grossesse et les rumeurs sur l’identité du père avaient occupé la une de nombreux magazines people.

AFP


De source http://www.liberation.fr/societe/2014/10/07/dominique-desseigne-reconnu-comme-le-pere-de-zohra-dati-par-la-justice_1116825
PermalienPermalien 08.10.14 @ 02:11

En réponse à: Navalny : sa condamnation préoccupe l'UE

bk [Membre]
Pussy Riot: libération anticipée refusée
Par Lefigaro.fr avec AFP
Mis à jour le 26/07/2013 à 10:15
Publié le 26/07/2013 à 10:13

La justice russe a rejeté en appel aujourd'hui la demande de libération anticipée de Nadejda Tolokonnikova, membre du groupe contestataire Pussy Riot, qui purge une peine de deux ans de camp pour une "prière punk" contre Vladimir Poutine.

"Libération refusée pour Tolokonnikova, maintien en détention jusqu'au terme de la peine", a écrit sur Twitter un membre du groupe contestataire Voïna lié aux Pussy Riot. L'agence publique d'informations juridiques Rapsi a confirmé cette information, depuis Saransk (Mordovie, 650 km à l'est de Moscou), où se trouve le tribunal qui examine son cas.


De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/26/97001-20130726FILWWW00274-pussy-riot-liberation-anticipee-refusee.php
PermalienPermalien 26.07.13 @ 11:55

En réponse à: Le premier Salon du mariage gay tourne au fiasco

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Finalement, Vladimir Poutine, après avoir soufflé le chaud et le froid, a indiqué qu'il était disposé à accorder l'asile à Edward Snowden à condition qu'il cesse de divulguer des informations compromettantes pour ses "partenaires américains". "S’il veut rester ici, la condition, c’est qu’il cesse ses activités visant à faire du tort à nos partenaires américains, peu importe que cela puisse paraître étrange venant de ma part", avait alors déclaré Vladimir Poutine début juillet.

Pour Edward Snowden, la solution d'un asile russe est probablement provisoire. L'ex-agent américain a déjà indiqué son souhait de ne pas s'arrêter là dans ses révélations. Récemment, il avait déclaré avoir de nouvelles informations sur le gouvernement américain susceptibles de "causer en une minute plus de dommages qu'aucune autre personne n'a jamais pu le faire dans l'histoire des Etats-Unis".


Extrait de source http://www.latribune.fr/technos-medias/informatique/20130724trib000777283/edward-snowden-peut-desormais-circuler-en-homme-libre-en-russie.html?google_editors_picks=true
PermalienPermalien 25.07.13 @ 01:58

En réponse à: Navalny : sa condamnation préoccupe l'UE

bk [Membre]
Pas de libération conditionnelle pour une Pussy Riot
Mise à jour le mercredi 24 juillet 2013 à 10 h 25 HAE
Radio-Canada avec Agence France-Presse

Un tribunal russe rejette une nouvelle demande de libération conditionnelle déposée par Maria Alekhina, l'une des deux membres du groupe punk Pussy Riot qui restent emprisonnées pour avoir interprété une chanson attaquant le président Vladimir Poutine dans la cathédrale de Moscou.

La décision du tribunal de Perm, dans l'Oural, constitue un deuxième revers pour la jeune femme de 25 ans, qui est mère d'un jeune enfant. En mai, c'est un tribunal de Berezkini, dans le même district fédéral, qui avait rejeté la requête de l'artiste.

À la surprise générale, Maria Alekhina n'était pas présente dans la salle d'audience, malgré le fait qu'elle avait été transférée la veille du camp de travail forcé de Berezniki, à quelque 1600 kilomètres, où elle purge sa peine.

Elle a plaidé sa cause par vidéoconférence, mais plusieurs incidents techniques ont marqué la séance.

« Ce qui se passe aujourd'hui au tribunal chargé de l'affaire d'Alekhina est scandaleux », a commenté sur Twitter le blogueur russe Alexeï Navalny, un opposant de premier plan au président Poutine.

La jeune femme avait également été empêchée d'aller à l'audience tenue en mai à Berezniki, ce qui l'avait poussée à se lancer dans une grève de la faim en guise de protestation. Son jeûne avait finalement duré 11 jours.

Les médias russes rapportent que l'avocate de Mme Alekhina, Irina Khrounova, était cependant présente, tout comme sa mère.

Lundi soir, une centaine d'artistes de renommée internationale, dont Madonna, Adele, Elton John et Bryan Adams, avaient lancé un appel en faveur de la libération de la jeune femme et de l'autre membre de Pussy Riot qui demeure incarcérée, Nadejda Tolokonnikova.

« Tout en comprenant qu'une action de contestation menée dans un lieu de culte puisse choquer, nous demandons aux autorités russes de revoir les sentences très lourdes prononcées, afin que vous puissiez retrouver vos enfants, vos familles et vos vies », ont déclaré ces artistes dans une lettre ouverte.

Nadejda Tolokonnikova, jeune mère de 23 ans, reste incarcérée pour sa part en Mordovie, située à plus de 600 kilomètres de Moscou. Un tribunal a aussi rejeté sa demande de libération conditionnelle en avril. L'appel de ce jugement sera entendu vendredi.

Maria Alekhina et Nadejda Tolokonnikova ont été arrêtées en février 2012 après avoir chanté ce qu'elles ont qualifié de « prière punk » dans la cathédrale de Moscou. Elles y demandaient à la Sainte-Vierge de « chasser Poutine » du pouvoir. Elles ont été reconnues coupables de « hooliganisme » et d'« incitation à la haine religieuse » et condamnées à deux ans de travaux forcés.

Une troisième membre du groupe qui avait aussi été condamnée a été remise en liberté conditionnelle en octobre.

Pussy Riot est devenu depuis un symbole de la protestation contre Vladimir Poutine, qui est revenu au Kremlin en mai 2012 pour un troisième mandat de président, après une coupure de huit ans.


De source http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/07/24/007-pussyriot-liberation-rejetee.shtml
PermalienPermalien 25.07.13 @ 01:38

En réponse à: Incendie dans un centre de formation des Femen

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PermalienPermalien 22.07.13 @ 22:12
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