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Nantes : le dernier père veut rester dans sa grue même sans vivres
NDLR : Un « irréductible », et non un « forcené » ? Qu'est-ce qui les distingue, le soutien d'une association ?
Nantes: le dernier père veut rester dans sa grue même sans vivres
Mis en ligne le 16 février 2013 à 22h47, mis à jour le 16 février 2013 à 23h00, TF1/LCI, l'essentiel
Alors que les batteries de son portable sont désormais quasi à plat, Serge Charnay communique désormais par SMS. Dernière message de l'irréductible perché sur sa grue navale : il entend y rester en dépit de l'épuisement de ses vivres.
"La grève de la faim m'est imposée par le siège des policiers qui interdisent tout ravitaillement", a déclaré Serge Charnay par SMS samedi soir. "Je resterai le temps qu'il faudra pour obtenir quelque chose de significatif", a-t-il ajouté. "La remise en cause de la décision de justice (...) qui a détruit ma famille et nos vies ", a-t-il ajouté. Serge Charnay a perdu le droit de visite de son fils Benoît il y a deux ans suite à sa condamnation pour soustraction d'enfant. Selon des informations recueillies par TF1News, il aurait en l'occurrence enlevé son enfant à deux reprises.
17 commentaires
Un père se retranche 2h sur une grue
AFP Publié le 17/02/2013 à 14:17
Un père d'une trentaine d'années, qui se plaint d'être privé de tout contact avec son fils depuis trois ans, s'est retranché pendant deux heures ce matin en haut d'une grue à Strasbourg, avant de redescendre de lui-même à la suite de l'intervention de la police, a-t-on appris de source policière.
L'homme est monté sur une grue à 40 mètres de hauteur, d'où il a appelé lui-même police-secours pour expliquer son problème familial. Il a déclaré qu'il était prêt à sauter dans le vide, a indiqué à l'AFP Laurence Lairet, commissaire de police à Strasbourg. Il est finalement redescendu de lui-même à la mi-journée après l'intervention des négociateurs de la police.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/17/97001-20130217FILWWW00086-un-pere-se-retranche-2h-sur-une-grue.php
Actualité > Société
Nantes : un homme toujours perché sur une grue
Le Point.fr - Publié le 17/02/2013 à 09:30 - Modifié le 17/02/2013 à 12:35
Le père retranché depuis vendredi matin dans une grue géante a donné rendez-vous aux médias dimanche en début d'après-midi pour une "animation".
Source AFP
Serge Charnay, ce père de famille installé depuis vendredi dans une grue à Nantes pour obtenir le rétablissement du droit de visite auprès de son enfant, a donné rendez-vous aux médias dimanche en début d'après-midi pour une "animation" et précise qu'il n'a pas l'intention de descendre, a-t-on appris dans un communiqué. Serge Charnay "donne rendez-vous aux médias pour une animation en début d'après-midi", indique un communiqué adressé aux rédactions et émanant d'une adresse mail au nom de Nicolas Moreno, l'autre père qui s'était lui aussi retranché pendant quelques heures samedi dans une grue à Nantes.
Il ne descendra pas
Serge Charnay précise qu'il ne descendra pas. "Je ne veux plus qu'un papa soit obligé de faire une grève de la faim pour réclamer son droit à voir ses enfants, parce que, tant que je suis là, quelques papas renonceront à se foutre en l'air de désespoir", dit-il, selon les propos qui lui sont prêtés dans ce courriel. Le communiqué rappelle que Serge Charnay "n'a pas bu depuis hier matin", samedi, "et n'a plus de nourriture, puisque "tout ravitaillement de nourriture et médicament lui est refusé" par les autorités.
Cité dans ce texte, l'homme déclare : "Je ne fais pas une grève de la faim et de la soif, je suis assiégé par les forces de l'ordre." "L'être humain ne pouvant se passer de boire durant plus de trois jours, le risque de déshydratation et de mise en danger s'enclenche, aggravé par le fait qu'il est exposé au froid, soleil et vent", précise le communiqué. "Ces deux jours ont été difficiles à gérer et il envisage un dépôt de plainte pour mise en danger de la vie d'autrui si la situation perdure", indique le texte.
Retranché depuis 48 heures
La situation n'a pas évolué pendant la nuit de samedi à dimanche sur le port de Nantes où un père est retranché depuis vendredi matin dans une grue géante pour obtenir le rétablissement du droit de visite de son fils. "Il n'y a rien de nouveau. Il est toujours dans sa grue. C'est le statu quo", a-t-on affirmé de même source. Interrogé sur des mouvements qui auraient pu se dérouler pendant la nuit ou tôt dimanche matin à proximité de la grue, comme un approvisionnement en vivres ou des discussions, le policier a répondu : "Non, rien du tout. Ça n'a pas bougé."
Serge Charnay a perdu le droit de visite de son fils Benoît il y a deux ans à la suite de sa condamnation pour soustraction d'enfant. "Je resterai le temps qu'il faudra pour obtenir quelque chose de significatif", a dit Serge Charnay. Vendredi soir, la préfecture de Loire-Atlantique lui avait fait présenter la preuve écrite qu'il pouvait bénéficier de l'audience, à compter du 28 mars, d'une requête expresse pour l'examen de son dossier. Après lecture du document, Serge Charnay avait choisi de poursuivre son action. Contacté par SMS dimanche matin par l'AFP, Serge Charnay n'avait toujours pas répondu vers 8 heures.
De source http://www.lepoint.fr/societe/nantes-un-homme-toujours-perche-sur-une-grue-17-02-2013-1628277_23.php
@dbertinotti Quels sont ces moyens #égalité pour se faire entendre? Saisir un juge, puis faire appel? youtube.com/watch?v=uGILKa… #PS #UMP
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
#Nantes la préfecture prête à ravitailler l'homme retranché sur sa grue leparisien.fr/societe/le-per… Ah, @place_beauvaua réfléchi 1/2
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
@place_beauvau Comme si une date d'audience, un 28 mars, constituait une quelconque garantie... leparisien.fr/societe/le-per… …2/2 #avocats
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
Ch. Taubira et D. Bertinotti recevront la semaine prochaine les associations de défense des droits des pères. #nantes #taubira
— BFMTV (@BFMTV) 17 février 2013
#NANTES Nantes. Papa retranché dans la grue : Ayrault intervient liven.ws/12WwIRp (Presse Océan)
— Nantes Live (@NantesLive) 17 février 2013
#Nantes C'est le moment de relire le livre noir de la garde alternée: père diabolisé, mère idyllique. Puis de retourner se faire débouter :)
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
"Oui, et ensuite, vous pourrez même faire appel, mais descendez de la grue!" justice.cloppy.net/index.php/epil… #Nantes puis #avocats etc, etc #LOL
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
Ces fonctionnaires et ces ministres prennent vraiment #lesgens pour des cons. Ils sont surement raison #LOL #Nantes
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
Dans 15jours, les associations féministes et de femmes baffées sont dans la rue: "n'écoutez pas ces associations de pères!" #Nantes #LOL
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
Pour #Nantes ces notes me suffiront justice.cloppy.net/index.php/vict… Rien n'a changé chez les JAF et les JPE, on le lit dans la #presse #LOL
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
Le papa perché refuse eau et vivres
AFP Publié le 17/02/2013 à 15:56
Serge Charnay, ce père de famille installé depuis vendredi dans une grue à Nantes pour obtenir le rétablissement du droit de visite auprès de son enfant, a refusé aujourd'hui en début d'après-midi l'offre de la préfecture de lui livrer eau, vivres et médicaments si nécessaire.
"Vers 14h, nous lui avons proposé de lui faire passer eau, nourriture et médicaments. Il nous a répondu qu'il n'avait besoin de rien", a déclaré à l'AFP le directeur de cabinet du préfet de Loire-Atlantique, Patrick Lapouze. Cette proposition a été faite oralement, par l'intermédiaire du chef d'état-major de la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) à Nantes, le commandant Binet, présent au pied de la grue, a précisé M. Lapouze.
"Les autorités sont dans la recherche d'un contact direct avec M. Charnay qui ne donne pas suite et semble préférer communiquer directement avec les médias", a estimé le directeur de cabinet. M. Lapouze a expliqué pourquoi l'approvisionnement que voulait faire parvenir une personne à M. Charnay avait été confisqué par des policiers aujourd'hui en milieu de journée: "On ne sait pas ce qu'il y avait dans ce sac. Il pouvait tout aussi bien y avoir des éléments dangereux. Si M. Charnay veut quelque chose, qu'il nous le demande."
L'homme retranché dans la grue n'a, selon ses soutiens, plus d'eau depuis hier matin et plus de vivres non plus. Dans un communiqué transmis aux médias ce matin par ces soutiens, M. Charnay déclarait: "Je ne fais pas une grève de la faim et de la soif, je suis assiégé par les forces de l'ordre."
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/17/97001-20130217FILWWW00110-le-papa-perche-refuse-eau-et-vivres.php
@fonseca_pinto @lemondefr @place_beauvau @chtaubira "Requête express"? Et si le juge n'a pas envie d'y répondre? twitter.com/bkant/status/3…
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
@itele Vous avez le droit de diffuser ce genre d'images et discours? Aucun juge ne vous fera chier? #avocats #Nantes twitter.com/bkant/status/3…
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
Père retranché dans une grue: La mère et l'enfant «très éprouvés»
Créé le 17/02/2013 à 19h00 -- Mis à jour le 17/02/2013 à 20h24
NANTES - Selon l'avocate de la mère, Serge Charnay s'est déjà rendu responsable de deux soustractions d'enfant par le passé...
L'avocate de la mère de l'enfant, dont le père est retranché depuis vendredi dans une grue à Nantes, a affirmé dimanche que sa cliente et son fils étaient «très éprouvés» par «les coups de force répétés» du père «depuis trois ans» et qu'une discussion ne pouvait s'engager «hors enceinte judiciaire».
Deux soustractions d'enfant à son actif...
«Benoît et sa mère ont été très éprouvés durant les trois dernières années par les coups de force répétés de Serge Charnay», écrit, dans un communiqué adressé à l'AFP, l'avocate qui n'a pas souhaité que son nom soit publié. «Aucune discussion ne saurait être engagée aujourd'hui en dehors de l'enceinte judiciaire, seule garantie de la sécurité et de l'intérêt supérieur de Benoît, justice que Serge Charnay n'a pas saisie et dont il refuse la médiation comme cela lui a été proposé il y a 48 heures en urgence», affirme l'avocate, qui fait un long rappel des «coups de force» du père.
L'avocate fait ainsi état de deux soustractions d'enfant -l'une de 15 jours en 2010 et une seconde de deux mois et demi en 2011- ainsi que de propos menaçants de Serge Charnay à l'égard de la mère de son fils. Elle rappelle qu'à la suite de ces soustractions, auxquelles les forces de l'ordre avaient mis un terme dans les deux cas, «la cour d'appel de Rennes a suspendu le droit d'accueil du père et accordé à la mère le seul exercice de l'autorité parentale».
«Le 12 septembre 2012, Serge Charnay a été condamné pour des faits de violences suivies d'une incapacité supérieure à huit jours, de soustraction d'enfant, et de menace contre les personnes avec ordre de remplir une condition (...) Il ne s'est pas présenté à l'audience mais a interjeté appel du jugement. La cour d'appel n'a pas encore fixé d'audience», souligne l'avocate.
...et la menace d'une troisième
Donnant des détails sur les deux soustractions d'enfant reprochées à Serge Charnay, l'avocate précise que, lors de la première, «en janvier 2010», l'enfant était «âgé de trois ans et demi» et était resté avec son père «pendant 15 jours, en dehors des vacances scolaires et du droit d'accueil élargi que lui avait accordé» la justice le 17 novembre 2009. «Le père et l'enfant ont été retrouvés à Bordeaux, dans un hôtel», par la police, ajoute-t-elle. Serge Charnay avait ensuite fait appel de cette décision de justice «en sollicitant que la résidence de Benoît soit fixée à son domicile», dit-elle.
«En février 2011, alors que la cour n'avait pas encore statué sur son appel, Serge Charnay a menacé la mère de commettre une nouvelle soustraction si elle n'acceptait pas de mettre en place une résidence alternée», poursuit l'avocate. «Inquiet des propos et menaces tenus par le père, et après l'avoir entendu, le juge des enfants a placé Benoît chez sa mère et autorisé des visites médiatisées[du père] par décision du 3 mars 2011», précise-t-elle.
La deuxième soustraction a eu lieu en juillet 2011: le père a «enlevé Benoît en brutalisant (son) grand-père maternel» et «a disparu avec l'enfant du 11 juillet au 23 septembre 2011», avant d'être retrouvé par les gendarmes «en Ardèche où il se cachait», selon l'avocate.
AFP
De source http://www.20minutes.fr/societe/1102425-pere-retranche-grue-mere-enfant-tres-eprouves
Père dans la grue: pas d'intervention
AFP Publié le 17/02/2013 à 19:13
Le préfet de Loire-Atlantique, Christian Galliard de Lavernée, a affirmé en début de soirée qu'il n'y aurait pas d'intervention des forces de l'ordre pour faire descendre le père de famille installé depuis vendredi dans une grue à Nantes.
"Il n'y aura pas d'intervention des forces de l'ordre" contre ce père, Serge Charnay, a déclaré Christian Galliard de Lavernée, lors d'un point de presse organisé au pied de la grue.
"La justice doit faire son travail sereinement", a affirmé le représentant de l'Etat à propos de M. Charnay qui réclame le rétablissement de son droit de visite à son fils.
Le préfet a proposé que Serge Charnay "dépose demain (lundi) matin une requête expresse (devant la justice) pour réexaminer sa situation".
Un avocat sera mis à sa disposition au tribunal, a-t-il dit.
Serge Charnay "est libre de ses mouvements et peut descendre quand il veut", a ajouté Christian Galliard de Lavernée.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/17/97001-20130217FILWWW00171-pere-dans-la-grue-pas-d-intervention.php
@jeanmarcayrault @dbertinotti @chtaubira Dites, vous allez bien défendre ce père de #Nantes surtout s'il récidive, n'est-ce pas? #PS #UMP
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
On est socialiste jusqu'au bout ou on ne l'est pas #tweetprécédent #LOL #Nantes#PS #UMP
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
@tfsalomon "Etre vu comme un père militant, ce n’est pas foncièrement bien vu." Très mal vu par les juges, par les avocats aussi #Nantes
— Bruno Kant (@bkant) 17 février 2013
Nantes: le père prêt à quitter la grue
AFP Mis à jour le 18/02/2013 à 09:54 | publié le 18/02/2013 à 09:18
Le père divorcé, retranché depuis vendredi dans une grue à Nantes pour réclamer le rétablissement de son droit de visite sur son fils, a annoncé aujourd'hui qu'il allait descendre après la réunion d'associations avec la ministre de la Justice prévue cette semaine.
"Je vais descendre après la réunion de Mme Taubira avec les associations" de défense des droits des pères, a affirmé Serge Charnay, 42 ans, "sauf si vraiment il y avait des imprévus pour d'autres raisons".
Je vais revenir dans un processus normal", a également assuré Serge Charnay, après une troisième nuit passée dans une grue située dans le secteur des anciens chantiers navals de la ville.
Il a indiqué qu'il souhaitait "prendre contact" avec son avocat, "étudier les propositions de logement et aussi juridiques qui m'ont été faites", tout en soulignant qu'il se méfiait du fonctionnement de l'institution judiciaire.
Les policiers "m'ont monté de l'eau à boire hier et je vais tester leurs intentions en leur demandant à manger aujourd'hui". "Je ne regrette absolument pas" d'avoir emmené mon fils "l'année dernière deux mois en Ardèche, car sinon je ne l'aurais pas vu", a-t-il encore expliqué.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/18/97001-20130218FILWWW00398-nantes-le-pere-pret-a-quitter-la-grue.php
Franchement @le_figaro doit présenter ses excuses. RT @bkant: @sos_les_mamans Comment interpréter ça? #Nantes twitter.com/bkant/status/3… #pabô
— Tolérance Zéro (@abandon2famille) 18 février 2013
Père nantais: chantage médiatique (FN)
AFP Publié le 19/02/2013 à 08:59
Florian Philippot, vice-président du FN, a critiqué aujourd'hui un "chantage médiatique" du père séparé de son enfant qui a manifesté sur une grue à Nantes et une "précipitation hasardeuse" du gouvernement dans ce dossier.
Le gouvernement a-t-il eu raison de recevoir les associations de pères divorcés dans la foulée de cette initiative, a demandé i>TELE au responsable du Front national ? "Non, je ne crois pas. Cette opération grue est tout de même curieuse", a-t-il répondu. "Ca ressemble à une sorte de chantage médiatique, je n'aime pas beaucoup ça".
La présidente du FN Marine Le Pen "n'a pas été reçue par Jean-Marc Ayrault sur la guerre au Mali, pas reçue par Manuel Valls sur la réforme des élections", a observé M. Philippot. "Peut-être faudrait-il qu'elle monte dans une grue pour être écoutée, entendue, reçue"... "Il y a une précipitation du gouvernement qui me semble hasardeuse et pas conforme à nos principes républicains. On ne fait pas de chantage comme ça sur le gouvernement", selon l'élu frontiste.
Pour lui, les pères divorcés "se sont trouvés un bien mauvais ambassadeur". La législation actuelle lui paraît "assez équilibrée", "les problèmes des familles sont souvent ailleurs" et "il faut privilégier pour les couples divorcés les résolutions à l'amiable" qui, à ses yeux, ne passent pas par la garde alternée.
Serge Charnay, un père séparé retranché depuis vendredi sur une grue de Nantes pour réclamer le droit de voir son fils, en est descendu hier après une réunion à Paris entre la ministre de la Justice Christiane Taubira et des associations de défense des droits des pères.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/19/97001-20130219FILWWW00332-pere-nantais-chantage-mediatique-fn.php