« Frontenaud : « on a retrouvé un rapport de 2015 qui accable ! » | Frontenaud : quatre mômes arrachés et déplacés, pourquoi? » |
« Je ne comprends pas ce que dit la gendarmerie... », une vidéo #ambiance
Un billet peut être éphémère ou qui finira plus tard enfui dans ma rubrique Affaires...
« On ne fait pas les choses à la légère. Tout est pesé et soupesé. L’intervention vise non pas à maltraiter les enfants mais bien à les protéger. Il n’y a que l’intérêt des jeunes qui nous anime », déclaraient les services sociaux de Saône-et-Loire pour le journal de là bas, son édition du 25 octobre 2019. Puis ce 13 novembre, encore dans le Journal de Saône-et-Loire, ces services de l'ASE ou le conseil départemental du 71 nous rappelaient à nouveau « l'urgence impérieuse de protéger les adolescents placés dans la structure »...
Les jeunes qui ont bien connu ce LVA des Bruyères à Frontenaud ne semblent pas du tout être convaincus, ni par la gendarmerie nationale et pas d’avantage par Alice Bonnet et ses troupes. Ils réagissent à nouveau sur Facebook après la parution du 13 novembre (puis voir aussi à la suite, la vidéo de France 3 datée du 8 novembre) :
Le JSL édition de Bresse, 13 novembre 2019 |
8 novembre 2019 #Frontenaud par @F3Bourgogne
Enquête sur un lieu d'accueil pour ados fermé temporairement
🔍 Voici 6 conseils basiques mais essentiels des équipes @AfpFactuel pour vous prémunir contre les fausses informations qui circulent sur les réseaux sociaux #AFP 1/2 pic.twitter.com/oebRNcAvWH
— AFP Factuel 🔎 (@AfpFactuel) 4 octobre 2019
Ah, j'ai trouvé où ils avaient fourré ça. En première page, un gros titre #Frontenaud pic.twitter.com/cgtu6f684j
— Bruno Kant (@bkant) 13 novembre 2019
3 commentaires
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Va falloir que les gens de @saoneetloire s'accrochent fort, là bas, @Gendarmerie et l'ASE de là bas y sont à la recherche d'un Dutroux pic.twitter.com/qrQrgE2TLQ
— Bruno Kant (@bkant) 12 novembre 2019
Peut-être un rapport avec #Frontenaud et les étrangers de là bas. On ignore encore tout des accusations qui pèsent ni s'ils agissaient en réseau :-) https://t.co/MtVoLUAwIv
— Bruno Kant (@bkant) 14 novembre 2019
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Avec émotion, je vous annonce la parution de « Silence, on cogne. Enquête sur les violences conjugales subies par des femmes de gendarmes et de policiers » le 20 novembre, mon 1er livre co-écrit avec Alizé Bernard,une femme en lutte,qui y livre son récit. Aux @EditionsGrasset. ⤵️ pic.twitter.com/NLT8uEzC7I
— Sophie Boutboul (@SophieBoutboul) November 14, 2019
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Dès 1978, le comportement des prêtres est signalé. Une juge pour enfant se saisit du dossier et rédige un rapport sévère au ministre de la Justice. 40 après, #Riaumont existe encore… #EnvoyeSpecial #violences pic.twitter.com/zDu7RxEVH2
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 14, 2019
"On ne me traite pas comme on doit traiter un enfant, j’ai besoin d’être protégé", se livrait Romain, un enfant placé à #Riaumont. En 2001, un an après son arrivée, le jeune homme met fin à ses jours. #EnvoyeSpecial #violences pic.twitter.com/brGjTBwMfw
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 14, 2019
A #Riaumont, la discipline passait avant tout par le scoutisme. "On passait deux-trois heures attaché à un arbre à attendre que le père décide de nous libérer", affirme Florent, un ancien élève. #EnvoyeSpecial #violences pic.twitter.com/eaaTrkSUlx
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 14, 2019
"Les frères ne sont pas violents", répond le père supérieur de #Riaumont, mis en examen pour #violences. La communauté religieuse invoque un complot et minimise la portée des coups. #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/1wImb3VTLB
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 14, 2019
Certains adultes auraient été témoins de #violences subies par les enfants. C’est le cas de Daniel, professeur de taille de pierre : "C’était un peu une chute de 50 ans en arrière". #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/Dk1sw8D3ai
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 14, 2019
Pour Anthony, resté cinq mois à #Riaumont, à l’âge de 13 ans, les coups qu’il dit avoir reçus servaient à "montrer que l’éducation, ça passait par la #violence". #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/vtGkn354ND
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 14, 2019
"#Riaumont, c’était les pires années de ma vie. Il me manque toute une partie de mon enfance", affirme Joseph, ancien élève de cette école catholique pour garçons à Liévin. Il a déposé plainte contre l’établissement pour #violences sur mineur. #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/9JxK2GCfQB
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 14, 2019
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