« Voilà que ces humoristes rivalisent entre eux ? | Un petit verrou » |
Une liste au père noël
L’année dernière, le 17 décembre, c’était noël avant l’heure, je le découvrais un peu plus tard. Cette année-ci, tout est encore une fois différent. Il s’est passé et tramé beaucoup de choses au cours de cette année 2009. Justine a même pu passer l’été avec nous, en famille, dans de très bonnes conditions, ce qui était tout simplement et pendant très longtemps inespéré, cela ne s’était plus produit depuis 2004.
Cette année-ci a encore une fois été très houleuse dans des prétoires du secteur, ceux de Nanterre et de la cour d’appel de Versailles. L’année à suivre devrait à nouveau démarrer sur les chapeaux de roues. En effet, sous peu, Versailles doit rendre un délibéré et le parquet de Paris me convoque, dès début janvier. D’autre part, ces temps-ci, j’avais une plainte à déposer. J’ai préféré écrire à Paris, me doutant un peu du traitement que pourraient lui réserver Nanterre et la cour d’appel de Versailles, ces cours écriraient que la terre est plate et que les étoiles sont suspendues à la voute, par ici, tous les moyens sont bons pour débouter M. KANT... Début janvier, j’aurais donc fourré trois pétards dans autant de prétoires différents. Au cours de l’année à suivre, certains partis qui s’opposent à moi depuis plusieurs années déjà pourraient bientôt avoir très mal aux yeux, surtout si la lumière se faisait très soudainement éclatante.
Par le passé, début 2003, un pédo-psy m’avait dit que je ne pouvais plus choisir car le juge pour enfant était saisi, que j’allais devoir composer avec des décisions de justice. J’ai le sentiment que depuis quelques temps déjà, tout va mieux, que j’arrive quand même a faire des choix, et que j’ai finalement appris à exploiter ce dont se servent plus habituellement des méchants. Je n’aime pas tout ce qu’a produit Woody Allen, par contre certaines choses qu’il a dites m’ont très souvent fait rire…
Ce 11 décembre, le rapporteur de la chambre des créatures inférieures me reprochait d’utiliser certains mots. Je me dis que les juges en ont entendu d’autres, je l’ai d’ailleurs écrit dans mes conclusions, déposées ce 11 décembre. Ils en feront ce qu’ils voudront. L’avocate de ma fille ne comprenait pas non plus pourquoi j’utilise un vocabulaire et des références que d’autres qualifieront d’excessifs. Souvent, je n’hésite pas à publier aussi des images que certains trouveront scandaleuses. Parfois, je fais aussi des trucs « bizarres ». Et alors ? Ce sont des choix « éditoriaux », des « stratégies » aussi, je les ai déjà un peu décrits dans de précédents billets.
J’ai le très net sentiment que les uns vont se fier à ce qu’ils croient, pensent ou souhaiteraient lire tandis que je me distrais en dépeignant une réalité, écrivant depuis quelques temps tranquillement une histoire tout en provoquant, ici et là, des changements, avec des outils et des théories que je valide et teste. Ca marche, c’est selon moi l’essentiel. Je trouve que ça marche même assez bien vu les effets de mes écrits et discours dans un monde tiraillé par des courants souvent des plus haineux ou virulents, des courants qui s’expriment également dans le secteur de la protection de l’enfance.
Par le passé et récemment encore, j’ai beaucoup critiqué le travail des « professionnels de l’OSE ». J’ai un moment été « dénoncé » à la LICRA, mais pour certaines de mes publications qui concernent des « maghrébins ». J’ai critiqué des « cathos » aussi, des « laïques » également. Je pense que j’ai critiqué un peu tout le monde et je n’ai pu que sourire en découvrant le dernier « rapport » des barbouzes de l’ARSEA : « M. KANT critique les travailleurs sociaux, on ne veut plus travailler avec lui ». Je suis toujours vivant, et ceux que j’ai critiqué aussi, malgré toutes mes publications, je crois que c’est un très bon signe, et peu m'importe ce qu'en conclueront des juges de mon secteur.
Ces derniers temps, j’ai beaucoup utilisé ma carotte et des tampons taillés dans une patate pour me défendre à Nanterre ainsi qu'à Versailles. Pour Noël, je commande une plume, je pense qu’elle me servira sous peu, à Paris. Là bas, la justice pourrait être un peu différente, plus sérieuse. Je l’avais déjà perçu, dès décembre 2008, à la cour de cassation, je le percevais encore ce 21 novembre dernier, lorsque la police m'a interpellé dans Paris.
Je crois qu'une bonne plume me servira aussi, sous peu, pour répondre encore à Versailles.
Pourvu que le père noël m'entende.
Courrier n° 1A03545046410 (Lettre recommandée AR) : Arrivé au bureau distributeur de PARIS (75013) le 24/12/2009.
Le destinataire n'habite pas ou n'habite plus à l'adresse indiquée sur le courrier.
Je crois que j'aurais du vérifier mieux et ne pas me contenter de ce qu'affichait Google, le tribunal de grande instance du 13ième a pu mettre la clef sous la porte. J'ai renvoyé cette plainte, à une autre adresse. Ca va, je ne suis pas trop pressé. Ma correspondance pourrait alors arriver ce lundi, au 4 boulevard du Palais, sur l'île de la Cité.
17 commentaires
Besson comparé à des "collabos"
AFP, 23/12/2009 | Mise à jour : 21:14, extrait
Le ministre français de l'Immigration Eric Besson est, depuis plusieurs jours, la cible d'attaques virulentes de ses ex-camarades socialistes qui critiquent le débat sur l'identité nationale qu'il a lancé et le comparent à des figures de la Collaboration avec les nazis. Le président socialiste de la région Ile-de-France a déclaré aujourd'hui que M. Besson était "en train de devenir un nouveau (Adrien) Marquet, un nouveau (Marcel) Déat", allusion à deux socialistes devenus ministres du maréchal Pétain, fondateur du régime de Vichy qui a collaboré avec l’Allemagne nazie. "On exacerbe les nationalismes avec cette histoire" de débat national, a ajouté M. Huchon, estimant que "c'est un signal désastreux que l'on donne à l'étranger". Le débat sur l'identité nationale qu'Eric Besson a lancé fin octobre est de plus en plus critiqué et les appels à le suspendre se multiplient après une série de dérapages et de controverses sur la place de l'islam dans la société.
Courroye: sept avocats en appellent au président
23 Décembre 2009, sur Mediapart, un extrait
Dans une lettre ouverte au président de la République, sept avocats dénoncent «une volonté de prise en main de l'autorité judiciaire» dans un dossier qui les oppose à Nicolas Sarkozy et au procureur de Nanterre, Philippe Courroye. Ce dernier vient en effet de demander des poursuites disciplinaires contre la magistrate qui a jugé l'affaire dite des «comptes piratés» de M. Sarkozy. Soulignant les liens amicaux unissant le chef de l'Etat et M. Courroye, ainsi que le tour extravagant donné à ce dossier particulier, les avocats demandent au chef de l'Etat de prendre position.
PARIS le 10/12/2009 (Actualisé le 10/12/2009 à 18h00) - AFP, extrait
Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a donné jeudi un avis favorable à la nomination de Laurent Le Mesle, procureur général de Paris, au poste de premier avocat général à la Cour de cassation, a-t-on appris jeudi de sources judiciaires.
M. Le Mesle, 58 ans, est procureur général à la cour d'appel de Paris, une des plus hautes fonctions de la magistrature, depuis octobre 2006.
Le nom de Jean-Claude Marin, procureur de la République de Paris, est cité comme son probable successeur, et celui de Philippe Courroye, ancien juge d'instruction et actuel procureur de Nanterre (Hauts-de-Seine), parmi les successeurs possibles de M. Marin.
Besson comparé à des collabos par ses ex-camarades du PS
lefigaro.fr avec AFP, 24/12/2009 | Mise à jour : 10:57, extrait
Interrogé sur ces comparaisons, le député socialiste Jean Glavany a d'abord esquissé un sourire, jeudi matin sur RTL : «Ça peut paraître excessif». Puis l'ex-ministre de Jospin a tenté de justifier les mots de ses collègues : «Il faut comprendre la réaction de certains socialistes qui en ont assez de voir ce ministre qui était théoriquement des leurs pendant de longues années, et qui est probablement celui qui a dit le plus de mal de M. Sarkozy (..), devenir celui qui tape le plus fort sur le PS». «Ça crée un sentiment de colère». Pour Glavany, qui appelle au calme, Besson est «le premier responsable».
«Si vous l'osez, poursuivez-nous M. le ministre !»
La droite s'emploie de son côté à défendre le ministre de l'Immigration. Le porte-parole adjoint de l'UMP, Dominique Paillé, a jugé mercredi les propos d'Huchon «indignes et irresponsables», estimant qu'il faisait «un amalgame scandaleux et infondé avec le régime de Vichy, insultant par la même notre République et les valeurs qu'elle porte». Adversaire de Huchon aux régionales, la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, s'est «indignée que Monsieur Huchon se soit laissé emporter jusqu'à la calomnie et l'injure à l'égard d'Eric Besson». Le secrétaire d'Etat Alain Joyandet a renchéri en fin de journée, jugeant le PS «outrancier» et fustigeant un «écran de fumée» répandu selon lui par les leaders socialistes «pour cacher les propres turpitudes du PS».
Quant au principal intéressé, Eric Besson, il veut déposer plainte contre Cambadélis et «entend, à l'avenir, poursuivre systématiquement en justice tout propos similaire». Pour lui, les critiques faites contre son débat évoquent «un procès en sorcellerie» qui «rappelle les méthodes des procès de Moscou». Allusion également historique à 1936-38, lorsque Staline organisait des procès truqués pour discréditer puis éliminer ses adversaires.
Une avocate enlevée en plein Paris
Créé le 24/12/09 - Dernière mise à jour à 12h29 - Europe 1
Me Saint-Arroman Petroff a été séquestrée pendant plusieurs heures avant de réussir à s’échapper. Deux femmes ont été interpellées.
Me Pascaline Saint-Arroman Petroff pensait avoir rendez-vous avec des journalistes de la télévision belge quand elle s’est présentée lundi soir devant une célèbre brasserie parisienne, dans le quartier de Port-Royal. Mais c’est là que cette avocate spécialisée dans le droit de la famille a été abordée par deux femmes puis poussée dans une voiture. Séquestrée dans la nuit de lundi à mardi, elle n’a réussi à échapper à ses ravisseurs que dans la nuit de mardi à mercredi.
Les circonstances exactes de cet enlèvement restent floues. L’avocate aurait été ligotée à un arbre et maltraitée. Peu de détails également sur la façon dont l’avocate a réussi à s’échapper. Elle a finalement réussi à trouver refuge chez des particuliers établis dans l'Oise, précise le journal Le Figaro.
L’enquête semble cependant progresser rapidement. Deux femmes ont été interpellées dans la nuit de mercredi à jeudi en Ile-de-France. Elles ont été placées en garde à vue. Elles sont qualifiées par les enquêteurs de "très perturbées". La brigade criminelle a été chargée de cette enquête considérée comme sensible.
Me Saint-Arroman Petroff est une avocate connue dans le domaine du droit de la famille. Elle est en charge notamment de dossiers pour les associations Justice parité parentale ou SOS Papa. C’est elle également qui a défendu Xavier Fortin, le père accusé d'avoir caché pendant onze ans en Ariège ses deux fils dont leur mère avait la garde. Reste à déterminer si l’enlèvement de l’avocate est lié à l’une de ces affaires. Les enquêteurs cibleraient plutôt un dossier ancien, qui pourrait remonter à plusieurs années.
Boycott sur internet
Karine Duchochois - 14:00 - France Info, un son
Robert est en colère à cause d’un site internet car nous sommes le 24 décembre et il n’a toujours pas reçu les cadeaux qu’il avait commandés chez eux il y a plus de deux semaines...
Bockel apporte son soutien à Besson
AFP, 24/12/2009 | Mise à jour : 19:15
Le secrétaire d'Etat à la Justice, Jean-Marie Bockel, a assuré de son soutien le ministre de l'Immigration, Eric Besson, comparé par des responsables socialistes à des personnalités de la collaboration, comme Marcel Déat ou Pierre Laval.
"Je tiens d'ores et déjà à manifester mon indignation devant la gravité des insultes que certains socialistes adressent à Eric Besson, allant jusqu'à le traiter de collabo, de Déat ou de Laval", écrit dans un communiqué M. Bockel. "C'est inadmissible. J'assure Eric Besson de ma solidarité et de toute mon amitié".
Selon le secrétaire d'Etat, "la vivacité, la violence même, du débat sur l'identité nationale démontre combien il est aujourd'hui nécessaire". Son parti, la Gauche Moderne, "fera le moment venu, quand le débat sera plus avancé, des propositions sur les mesures qui nous paraissent essentielles", annonce-t-il.
Pour Nicolas Sarkozy, "si certains n'aiment pas la France, qu'ils ne se gênent pas pour la quitter"
LEMONDE.FR Avec AFP | 23.04.06 | 09h03 • Mis à jour le 23.04.06 | 13h25, extraits
"On en a plus qu'assez d'avoir en permanence le sentiment de s'excuser d'être français. On ne peut pas changer ses lois, ses coutumes parce qu'elles ne plaisent pas à une infime minorité", a dit M. Sarkozy, très applaudi par les quelque 2 500 personnes venues l'écouter. "Si certains n'aiment pas la France, qu'ils ne se gênent pas pour la quitter", a-t-il lancé. Cette phrase rappelle le slogan de Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (MPF) : "La France, tu l'aimes ou tu la quittes".
[...] "Je veux aussi m'adresser à la gauche populaire, à tous ceux qui ont cru au Parti communiste. J'ai plus de respect pour les anciens ouvriers qui ont travaillé toute leur vie en usine que pour les mondains qui n'ont pas vu les crimes de Staline", a-t-il affirmé.
[...] Il a d'ailleurs profité de cette douzième réunion de nouveaux adhérents de son parti pour continuer de s'en prendre à "une gauche qui n'a pas de leçons de morale" à lui donner, "une gauche responsable de la montée du Front national".
"CIRCULEZ, Y'A RIEN À VOIR"
Quant à Ségolène Royal, la candidate à la candidature socialiste pour 2007 qui, selon deux sondages, le battrait à la présidentielle si le deuxième tour avait lieu maintenant, M. Sarkozy lui a reproché son absence d'idées. "Ségolène Royal, elle a trouvé le raisonnement : j'ai vos idées, dit-elle. C'est 'circulez, y'a rien à voir'", a ironisé le président de l'UMP.
Benoît XVI agressé avant la messe
Une jeune femme «apparemment déséquilibrée» et, semble-t-il, de nationalité suisse, a sauté par-dessus la barrière de sécurité et a jeté le pape à terre. Le souverain pontife n’a pas été blessé, et son programme de Noël est resté inchangé. La forcenée a été hospitalisée. [...] Selon le porte-parole du pape Frederico Lombardi, la forcenée est une Italo-Suisse âgée de 25 ans, «apparemment déséquilibrée», du nom de Susanna Maiolo. Après avoir été interrogée par les services de sécurité du Vatican, elle a été hospitalisée, a indiqué le père Lombardi. Des images télévisées montrent clairement une femme qui saute la barrière de sécurité, prend le pape par le col et le tire vers elle, le faisant tomber à terre, alors qu’il s’avançait dans la basilique accompagné d’une trentaine de cardinaux. Elle aurait déjà tenté de s’approcher du chef de l’Eglise catholique l’an dernier lors de la messe de minuit. «C’était une agression mais pas dangereuse car elle n’était pas armée», a assuré le porte-parole du pape, le père Federico Lombardi.
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Le Père Noël épié sur Internet en GB
Les curieux ne prennent plus la peine de fouiller les placards de la maison à la recherche de leurs cadeaux de Noël. "Selon une enquête, près de 23 % des internautes britanniques n'hésitent plus à regarder dans l'historique du navigateur de leurs proches pour trouver des indices sur les présents qui seront offerts le 25 décembre au matin", indique samedi le site Numerama. L'étude menée auprès d'un millier d'internautes Britanniques montre cependant que tous ne gâchent pas l'effet de surprise volontairement: "15 % d'entre eux sont tombés par inadvertance sur les achats effectués, tout simplement en surfant sur les mêmes sites commerciaux ou en partageant un PC et un compte communs".
Le tract du 26 et 27 décembre
La police "réprime violemment" une manifestation d'opposants à Téhéran
LEMONDE.FR avec Reuters | 26.12.09 | 09h45 • Mis à jour le 26.12.09 | 09h45, extrait
La police antiémeute réprime durement des manifestations de partisans de l'opposition qui se tiennent, samedi 26 décembre, en divers endroits de Téhéran contre le gouvernement sous le couvert des préparatifs de la fête de l'Achoura, a annoncé le site réformateur Jaras. "Les forces antiémeute sont en train de réprimer violemment les partisans de l'opposition dans divers quartiers de la capitale iranienne (...) Les policiers ont également cassé les pare-brise des voitures circulant dans les parages", explique le site Jaras, proche de l'opposition.
Ces informations n'ont pas pu être confirmées de source indépendante, les autorités interdisant aux médias internationaux de couvrir directement les manifestations de l'opposition. Jaras avait également signalé que des centaines de policiers antiémeute s'étaient déployés dans le centre de la capitale.
Courrier n° 1A01832052212 (Lettre recommandée AR) :
Arrivé au bureau distributeur de PARIS (75001) le 31/12/2009.
Le courrier a été remis contre signature du destinataire (ou de son représentant dûment mandaté).