« Sieg Versailles ! | De l'identité Nationale à l'identité Juive, que de débats » |
J'y retourne, Versailles a débroussaillé une voie
En septembre dernier, le juge pour enfant de Nanterre a reçu quelques correspondances. Depuis, lui-même m'a répondu deux fois, par de simples correspondances dont j'aurais souhaité pouvoir faire appel en décembre dernier, ce que la chambre des créatures inférieures n'a pas accepté. A Versailles, je souhaitais pouvoir débattre de l'intégralité des éléments qui figuraient dans le dossier du juge pour enfant, il contient un rapport de l'ARSEA du 27 novembre 2009.
En septembre dernier, ma compagne et moi écrivions à Nanterre. J'aurais souhaité qu'il y ait rapidement une audience chez le juge pour enfant, pour exposer alors la nouvelle situation de ma fille Justine. Mais selon le juge pour enfant de Nanterre, il n'y avait pas d'éléments « nouveaux » à son dossier, il me suggérait d'attendre très sagement que la cour d'appel de Versailles délibère, ce que j'ai fait. Or, lorsque je lis l'ultime arrêt rendu par Versailles, ce 15 janvier 2010, il se pourrait que le juge Thierry Baranger ne sache pas vraiment ce qu'est un élément « nouveau », Versailles semble en voir où ce juge pourtant expérimenté n'en aura vu aucun.
Versailles souhaitait des démonstrations, je vais aller en discuter avec un vrai juge, s'il veut bien convoquer une audience. S'il convoque très prochainement, je serais curieux de lire sa décision ; renoncera-t-il à son cadre pour suivre le pasteur « qui n'en peut plus », son mari le médecin généraliste, ma fille Justine et les travailleurs sociaux de l'ARSEA Alsace ?
En cas d'audience, je profiterais de l'opportunité pour rappeler d'abord au juge pour enfant de Nanterre que Justine semble avoir des problèmes de santé, ce qui n'émeut toujours pas la Dass, un peu comme par le passé. A l'époque, en 2005, plutôt que de reconnaitre que Justine pouvait avoir besoin d'un médecin et non simplement d'un pasteur et de travailleurs sociaux, les professionnels de la Dass avaient préféré me faire convoquer plus tard, chez un « expert psychiatre ». Depuis, les savoirs contemporains, notamment la médecine et plus particulièrement cette pseudo science qu'est la psychiatrie, ne servent plus qu'à proroger le « placement » de Justine.
De l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010,
par la cour d'appel de Versailles