« La vie, après la Shoah | De dignes légataires des moeurs d'une humanité dépravée ? » |
La Dass : « toutes les décisions du juge pour enfant s'imposent »
Depuis 2003, je me suis beaucoup plaint des agissements des tantes maternelles de Justine, auprès des travailleurs sociaux de l'ASE du secteur, auprès du juge pour enfant ainsi qu'auprès des travailleurs sociaux de l'OSE France. A suivi le placement, il y a peu, Versailles, un peu moins brouillon, confirmait encore : « Par ordonnance du 18 novembre 2003, malgré la résistance du père à l'interférence des tiers dans l'éducation de sa fille, en particulier des institutions judiciaires, Justine, enfermée dans un conflit de loyauté qu'elle ne pouvait maitriser seule, était placée à la Maison d'enfants du château de Vaucelles à Taverny, placement qui était renouvelé à compter du 14 avril 2004. » En 2006, auprès de la chambre des créatures inférieures, le pasteur d'Uhrwiller a bien reconnu qu'elle avait agit avec sa soeur, assistante sociale de l'ASE, en Moselle. Bien évidemment, les tantes maternelles de ma fille ont toujours tout fait pour « sauver » leur nièce, dans l'intérêt de cette dernière, afin de « concourir à son bien-être », et dans le parfait respect de l'intimité de la vie privée et familiale.