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La boite aux lettres du juge des tutelles était-elle en panne ?
Je viens de brasser du foin papier. Il faut que j'aille consulter le dossier actuellement à la cour d'appel, auprès du greffe de la 2ième chambre civile. Il se pourrait qu'une correspondance du 5 juin 2006 de l'étude de Maître Halter n'y figure pas. Je croyais que le juge des tutelles m'en avait fait parvenir une copie, mais cette correspondance m'avait été adressée par Maître Halter, en personne. Depuis cette période, j'attends qu'on me présente un nouvel inventaire de cette succession.
Signer n'était manifestement pas si urgent que cela. Entre mars 2007 et mars 2010, l'admin ad'hoc, un assistant de Maître Halter, n'a pas pu ou n'a pas signé non plus. Depuis mars dernier, un nouvel admin ad'hoc a été désigné, mais il ne signe pas non plus. Même Maître Halter ne souhaite aujourd'hui plus faire avancer les choses, en tous cas, pas beaucoup plus avant la fin novembre prochain. Pourquoi aurai-je du signer, en 2006 ou même, vers la fin 2005, alors que je découvrais puis savais que cet inventaire était erroné ? Pourquoi aurais-je du signer, en avril dernier, alors que j'attendais encore un nouvel inventaire, depuis 2006 ? Dans l'intérêt ou pour faire plaisir à ma fille Justine ? Comment aurais-je même pu signer, en avril dernier, alors que le juge des tutelles venait encore de désigner un admin ad'hoc, et que l'appel que je venais de faire n'était probablement pas suspensif ? Le juge des tutelles avait assortit ses décisions de mars 2007 et de mars 2010 de l'exécution provisoire... Fin juin dernier, la Cour finissait par convier le pasteur d'Uhrwiller
J'ai aussi pu remettre enfin la main sur des arrêts pondus par Versailles, en 2006, à peu près à la même période, j'en recherchais depuis des mois. Quelles perles ! « Que dans un rapport d'étape daté du 28 octobre 2005, cet organisme spécialisé dans l'observation des mineurs - ces fameux professionnels, clair voyants ou sauveteurs de l'OSE France -, indiquait que grâce à son placement Justine révélait, de manière générale, un fort potentiel d'épanouissement personnel et scolaire pour peu qu'elle soit suffisament à distance de son père... » Cinq années plus tard, nous en sommes donc rendu là : toujours pas d'inventaire décent et Justine, plutôt que poissonnière devant la Cour ou théatre en église, fera donc maintenant horticulture, dans le pré carré des gorets du social de l'ARSEA Alsace, leurs services d'Ostwald.
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