« Le corbeau et ses magouilles | Un « détail » très choquant » |
« Quand aux lentes mortes, elles s'en iront naturellement »
La société en recevant l'enfant se met à la place de la famille ; elle en accepte les devoirs (...) elle doit faire pour l'enfant ce que ferait la famille elle-même, supposé qu'elle connût ses devoirs et qu'elle eût la volonté et le pouvoir de les remplir (...) elle doit veiller au développement des facultés morales de l'enfant trouvé. • Paris, 1838
Quoi de plus humiliant pour une jeune fille que d'avoir les cheveux régulièrement parasités et non entretenus ? Rien de bien surprenant dans un établissement où règne la chienlit (point 2, pas de formulaires, pas de règlement intérieur ; point 6, conflits habituels avec les autres enfants).
Point 1, le référent familial de l'OSE France n'a que faire non plus de l'autorité parentale et de décisions pourtant importantes dans le cadre de la scolarité d'un enfant.
Point 3, Justine était régulièrement malade, c'est moi qui devait veiller à ce qu'elle soit examinée et soignée, les travailleurs sociaux de l'OSE France ne s'en occupaient pas, reportant la responsabilité sur l'enfant malade.
Point 6, usuel : à défaut d'un réel encadrement, les travailleurs sociaux de l'OSE France misent sur les capacités de récupération de l'enfant.
Je ne suis absolument pas surpris par ce qu'a été l'état de santé et le moral de Sébastien.