« Nouvelle donne | Y aurait-il comme un contentieux impliquant quelques personnalités ? » |
Place à un poème
En arrivant sur ce blog, des internautes pourraient ne pas saisir de suite de quoi il en retourne car certains développements sont parfois techniques voire délibérément obscures. Je me plains du rapt de ma fille aînée Justine, de corruption judiciaire, de dysfonctionnements graves des services de la protection de l'enfance, et comme Madame Mireille Millet dans son propre blog, à propos de son petit-fils Sébastien, je m'adresse avant tout aux professionnels de la justice et de l'action sociales, à des journalistes également. Ces derniers comprennent très bien de quoi il en retourne.
Madame Mireille Millet est depuis longtemps suivie par les medias traditionnels, dans son propre blog elle a publié plusieurs articles de journaux régionaux et nationaux. Ma propre affaire, le rapt de justine, n'est médiatisée que depuis peu, un article a en effet été publié dans le Maxi n° 1114 du 3 mars dernier : « Reportage, Une décision de justice incompréhensible ». Sur ce blog, j'expose des éléments qui permettent de comprendre ce qui s'est passé, pourquoi ma fille aînée Justine a comme disparue en novembre 2005. Depuis 2005 nous n’avons plus la moindre nouvelle de Justine et je pense que c'est réciproque.
Les internautes et citoyens français qui ont été confronté à une certaine forme de justice dite « civile », rendue par le juge pour enfant ou le juge aux affaires familiales, ou qui ont été confrontés aux services de l'Aide Sociale à l'Enfance, aux « services sociaux », aux dérives et abus de ces services publics, seront plus à même d'approfondir le contenu de ce blog et celui de Madame Mireille Millet.
Certains parents qui ont été spoliés de leurs droits les plus fondamentaux, qui ont parfois été jusqu'à déchus arbitrairement, ou dont les enfants ont été détruits par de telles procédures n'hésitent pas à parler de « pornographie judiciaire ». Je serais plus sobre, je parlerais de parodies de justice, de mascarades où il arrive qu'au moment d'entrer en scène, l'un des partis au procès - la plupart du temps, toujours le même - est affublé d'une personnalité des plus noires par un calomniateur public - des corbeaux, des enquêteurs, des travailleurs sociaux, des arbitres, des avocats, des médiateurs ou des experts, voire même le magistrat qui préside l’audience. Puis le juge tranche. Une justice bassement médiévale, archaïque, qui ne dit pas ni le droit et encore moins la norme. Des parents et des enfants se reconnaitront peut être dans l’une ou l’autre des affaires Sébastien ou Justine.
Je vais relire les arrêts rendus par la cour d’appel de Versailles puis je publierais une synthèse de l’affaire qui concerne Justine, cet article sera aisément compréhensible par le plus grand nombre. En attendant, je fais place à un poème que j’ai trouvé dans la chambre de Justine peu après sa « disparition ».