« Ce matin, quelque chose m'a choqué | Demain, audience » |
La Poste est en panne ?
Je me disais bien qu'il y avait un truc anormal avec la Poste. D'après son site Internet, les services de la chancellerie étaient absents ce 2 février, personne n'était là pour recevoir un colis.
Ce matin, il n'y avait pas grand monde. Le pasteur n'était pas là, comme d'habitude, et Maître Roughol s'est fait porter pâle, elle n'a pas pu être présente (voir sa correspondance à la suite). Un autre avocat était là pour négocier un ultime renvoi, il m'a montré une correspondance de Maître Rougol qui aurait du me parvenir par la poste...
J'aurai souhaité plaider. Les renvois et ces illusoires voies de recours, ça suffit et je l'ai bien fait comprendre à la Cour. J'ai encore mis en doute la prestation de Maître Roughol. J'ai sommairement expliqué tout ce qui s'est déjà passé.
Les juges ont dit que la situation semblait évoluer, que Justine demande même à me rencontrer. J'ai souligné que, pour le moment, je n'ai aucune autorisation ni garantie pour cette rencontre du 11 février, que tout dépend encore de Nanterre et que ce dossier n'a évolué que suite à des procédures et après des actions en justice tout à fait extraordinaires.
Le ministère public a donné son avis. Je l'ai coupé et je lui ai demandé pourquoi il défendait Maître Roughol. Cet avocat sait que ce dossier est sensible et aurait pu faire l'effort.
Les juges souhaitent entendre Justine. J'ai expliqué que je ne demande pas mieux, son avocat me semble bizarre. A mon avis, j'aurai pu plaider et la République pouvait se débrouiller pour que Justine soit entendue en milieu neutre, en cours de délibéré. Mais les juges - ce sont eux qui décident - ont préféré renvoyer, au 13 mars. Il semblerait qu'ils vont exiger que Justine soit présente à l'audience, il serait bien qu'elle soit là.
L'audience du 13 mars ne sera pas collégiale ; c'était accepter cela ou reporter aux calendes grecques. J'ai cru comprendre que le juge qui siègera rapportera au collège... mais après tout, peu m'importent tous ces détails, l'ensemble de l'affaire évolue effectivement plutôt bien. Même Maître Roughol fini par admettre auprès de la Cour que Justine souhaite renouer avec moi.
L'avocat qui s'est déplacé pour Maître Roughol a pu être surpris par les débats mais ceux-ci se sont plutôt bien déroulés, en public. Ce 13 mars, en chambre du conseil, les débats pourraient être relativement sereins ?
4 commentaires
De deux choses, ou on lui a dit que vous étiez un père violent et que vous alliez lui taper dessus, ou elle n’est pas informée et ils parlent à sa place.
Ex : Dans un foyer ou la maman était venue chercher sa fille suite à une ordonnance du juge, le directeur de ce même foyer à refuser de donner l’enfant à la mère ! Ils ont appelé les gendarmes pour faire pression chez la mère, mais devant l’ordonnance qu’elle a présentée, les gendarmes ont suggéré à la maman de porter plainte contre le foyer pour non représentation d’enfant ! Devant l’attroupement qui s’était formé dans le hall du foyer, l’enfant concerné est allée voir sa mère et lui a dit devant les forces de l’ordre !
- Le vieux(en désignant le directeur) ne veut pas que j’aille chez toi, car il parait que tu vas me taper !
Voici un exemple de ce qui se passe réellement !
Mensonge tout cela ! On sait très bien que c'est eux qui parlent et agissent à la place de Justine. J'espère que Justine demandera réparation auprès de tous les gens qui lui auront détruit sa vie de petite fille et maintenant de jeune fille.
Simplement pour vous dire Bruno , que sur plus de la centaine d'enfants qui nous ont parlé après le placement, ils nous ont tous dit à l'unanimité, qu'ils n'avaient jamais leur mot à dire, qu'ils ne voyaient jamais leur avocat et ne les connaissaient pas ! Que les professionnels reportaient soit disant leurs paroles, alors qu'ils n'étaient même jamais informé!
8o% des professionnels supposés protéger l’enfant sont menteurs ! Leur but étant de maintenir un placement coûte que coûte et tant pis pour le devenir de l'enfant !
Nous espérons vivement un médiateur de la famille afin d’éviter toutes ces dérives et la cassure de l'enfant qui ne s'en remettra jamais !
D'après ce que Justine m'a dit en décembre dernier, elle n'a même pas le numéro de téléphone de son avocat. Elle souhaite renouer mais cette "justice" s'y oppose et fait trainer les procédures... "dans l'intérêt de l'enfant"?
> Nous espérons vivement un médiateur de la famille
J'ai eu beau chercher un médiateur, au fil des années toutes les portes se sont refermées comme des huitres. La justice préfère les conflits, les attiser, puis trancher comme bon lui plaira.
Ca me fait rire tous ces croyants ! "Venez à moi mes frères et je vous monterais comment mentir et faire le mal gratuitement" "Attention je suis le porte parole de la voix divine"
Elle est peut être simplement retenue dans le joli pré des travailleurs sociaux de l'ARSEA.