« Non, je ne vote pas, je ne vote plus | Versailles, cassation encore, pour la même raison ! » |
Commentaire de Laurence BALLET, Directrice juridique Editions DALLOZ
A l'occasion, et comme je viens de le tweeter, je vais réagir à nouveau à un ancien commentaire que me lançaient les éditions Dalloz, et les massacrer avec un petit article. Je pense qu'il y a urgence maintenant, et que cette grande maison va un jour ou l'autre, prochainement, devoir revoir, rectifier, corriger le contenu de leur très onéreux pavé Droit de la famille. Il suffirait de saisir le juge pour enfant, de lui envoyer une requête, puis sinon, de faire appel... c'est si simple ?
Dalloz, Droit de la famille, m'avait été suggéré par le passé, par Maître Eolas, l'illustre #NabillaDesGensDeRobe
Je pense que je vais réagir aussi en quelques mots à un ultime ouvrage paru aux éditions Dunod, en mars 2015.
Quelque chose trompe, les magistrats et les cours d'appel, c'est pour moi évident, Dunod et Dalloz également.
Et contrairement à avril 2008, dans ce billet, je ne supprimerais ni ne changerais le moindre mot.
Un ancien commentaire, de la direction juridique des éditions Dalloz
https://t.co/Vs76qqRWHu @dunod @dalloz #avocats @marinebab Il y un problème avec ce bouquin, ce docteur en droit pic.twitter.com/FGushzhgVx
— Bruno Kant (@bkant) 7 Décembre 2015
2 commentaires
#avocats @marinebab @JMucchielli J'ai fini par écrire moi-même à #Dalloz pic.twitter.com/jYPNnWmYzl
— Bruno Kant (@bkant) 9 Décembre 2015
#Dalloz @marinebab @JMucchielli @Korben #avocats @valbecmeur @gchampeau En pratique, ça donne ça, c'est connu. pic.twitter.com/QIxnoFx8NV
— Bruno Kant (@bkant) 9 Décembre 2015