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« Oups ! Une erreur », nous lâche maintenant le Parisien
Je n'ai pour le moment aucune nouvelle de personne après ce qui s'est tramé au cours de cet été ; il m'avait semblé qu'il y en aurait en septembre, qui s'est écoulé. Rien n'a suivi. Le mois d'octobre fini de s'écouler, lui aussi... Une Parisienne s'était manifestée début juillet, intimidante et déterminée, car mon blog « divulguait » alors des informations précises, les mêmes genres d'informations qui étaient pourtant « divulguées » depuis toujours par d'autres sites, dont des sites Internet de journaux Français et Belges. Ensuite, et autour de juillet dernier, le contenu de Internet ou celui proposé à la consultation par Google avait un peu évolué... voir ou revoir mes derniers billets de blog, la plupart à ces sujets précis.
Depuis peu, ce qui peut être consulté, sur Internet, a encore un peu changé. Pour la recherche via Google avec les mots clefs « Maria Antonietta Bertolini », il apparait toujours quelques liens et des informations en rapport avec mon ancien billet, dont des liens vers le site du journal le Parisien et vers celui du Huffington Post. Mais depuis quelques jours, en cliquant sur le lien Google vers le site du Parisien, ce journal nous lâche « 404, La page que vous demandez n'existe plus. » Que s'est-il passé, là bas, avec ce journal et même avec ses avocats ? Je n'en ai pas la moindre idée.
S'il s'agissait bien d'une opération #ereputation de nettoyage du web, ça me semble avoir été assez mal fait ; j'avais déjà ce même sentiment, cet été, que quelque chose était très mal fait. Mal fait, avec le renfort d'une avocate du cabinet Ader et Jolibois, avec le concours d'une #DMCA Take Down team, ainsi que avec le concours d'une Google team. Aujourd'hui, plus de trois mois après la mise en demeure qui me parvenait, le net est toujours truffé d'informations qui étaient probablement supposées disparaitre discrètement, et vite, comme suite à des envois, suite à coup de sifflet, ou comme suite à quelques jappements au téléphone. Mais je peux me tromper ; personne ne m'a répondu à ces sujets non plus.
J'en profite pour noter que autour de Jean-Marc Morandini, ça chauffe. A iTELE, en pleine crise, une grève est reconduite à 81% des voix. Sur Europe 1 et NRJ12, tout semble plus calme ; Morandini serait suspendu à ces antennes. Des histoires de production, de casting et de cul, dont avec un mineur, nous a-t-on expliqué ; dénouement à suivre.
« Le producteur d'Astérix énerve la justice suisse » ou, aujourd'hui, « Oups ! Une erreur ... »