« Problèmes épineux | Ca valait le détour » |
C'est quoi le web 2.0 ?
C'est encore cet extrait qui m'interpelle le plus parmi tout ce que vient de publier Madame Millet.
La presse ou des historiens ont au moins le mérite d'initier des débats, voire des polémiques, et de laisser souvent de la place à la contradiction. Ce n'est pas forcément le cas de la justice, surtout lorsqu'un juge pour enfant est saisi.
Jacques Commaille compterait parmi les nombreuses personnes qui ne partageront pas l'opinion de de Gaulle.
Au poste pour avoir grignoté une noix au supermarché
France Info - 16 janvier 2009, extrait
Un supermarché Auchan de Périgueux (Dodogne), a déployé les grands moyens pour réprimer le grignotage d’une noix de cajou par un client dans ses rayons, en novembre dernier. Suite à une plainte, l’homme d’une cinquantaine d’année a été convoqué au poste, avant que le Parquet ne classe l’affaire sans suite. Montant du préjudice : 88 centimes d’euros.
L'Express, vendredi 20 octobre 2006
"La fin du mythe communiste", par François Fejtö, extrait
Le fax et les moyens techniques nouveaux ont permis de contrer la propagande soviétique, très puissante en particulier dans la presse, l'opinion et les milieux intellectuels français.
"C'est quoi le web 2.0?" : après Frédéric Lefebvre, Benoît Hamon piégé
Créé le 13/01/09 - Dernière mise à jour à 21h27 - Europe 1, extraits
Vous avez aimé "Frédéric Lefebvre et le web 2.0", cette séquence vidéo dans laquelle le porte-parole de l'UMP, alors pressenti pour occuper le portefeuille de secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, se montrait incapable d'expliquer ce qu'est le "web communautaire" ? Vous adorerez Benoît Hamon dans le même rôle...
[...] Comme on l'entend, Benoît Hamon essaye de se défendre en disant qu'il "utilise" le web 2.0, à défaut de savoir le définir. Il cite notamment la plate-forme de micro-blogging "Twitter", où, effectivement, il dispose d'un compte. Sa déconvenue lui a visiblement donné envie de retrouver le chemin du site : alors que sa dernière mise à jour datait du 11 décembre, il s'est de nouveau mis au clavier pour indiquer qu'il était "en session à Strasbourg", lundi.