« D'ici quelques temps, le ciel devrait encore trembler très fort | 2009, 9/9, 9h09... » |
Elle : BB « en guerre »
Intéressant, ce discours guerrier - voire suicidaire ? - de BB, vraiment ; il résonne aujourd'hui dans ce pays où l'on gère maintenant historiquement des stocks et où il faut parfois savoir tordre le bras à la Justice pour que celle-ci daigne s'émouvoir. Peut-être faudrait-il que j'écrive à nouveau au château quand même, m'adressant clairement et très franchement au chantre en personne, dans un langage grossier que lui ou ses plus proches seront susceptibles d'entendre, soit à ras la foufoune à moins qu'au niveau de ces pantalonnettes ou fanfaronnades Elyséennes. En lui enserrant évidemment ses couilles à moins que la Rollex, ce pour être certain que quelque chose bouge enfin dans mes affaires réputées « privées », la suite pourrait être bien burlesque encore.
Franck Louvrier n'est-il plus aujourd'hui que simple « conseiller presse » ou le « tract » s'est il aventuré à le déchoir ? J'avais cru lire qu'il était plutôt une sorte de bras droit ou organe du pouvoir.
ELLE / People / La vie des people, 09/09/2009, extrait
BRIGITTE BARDOT EN GUERRE CONTRE LE MAIRE DE SAINT-TROPEZ !
Qu’est ce qui met en rage BB ? Le maire de Saint-Tropez a autorisé les chasseurs à des battues face à la prolifération des sangliers. De quoi énerver l’icône des années 60 ! « Non ! Non Non ! » s’insurge Brigitte Bardot. « ... une guerre de lâches contre de pauvres animaux… » poursuit la fervente défenseuse des animaux avant de traiter les anciens ministres de l’Agriculture, de l’Ecologie, d’ « incapables », « sans cœur et sans couille. »
Saint-Tropez rêve (un peu) d'échapper au bling-bling
LE MONDE | 14.08.09 | 14h46 • Mis à jour le 14.08.09 | 17h18, extrait
Cet été, à Saint-Tropez, certaines boîtes de nuit vendent toujours des bouteilles de champagne à 10 000 euros. Des vedettes ou des gens qui se considèrent telles paradent toujours à l'arrière des yachts sur le port. Les villas "vue sur mer", à 15 millions d'euros, accueillent toujours les soirées de la jet-set. En apparence, vertu cardinale ici, tout va bien. La crise a évité la station balnéaire du Var. Jean Roch, patron du VIP Room, boîte sélecte qui fête ses 20 ans, se réjouit d'un début de saison tonitruant : "Les gros sont toujours là et ont toujours les moyens de faire la fête." Mais, sur fond de tempête boursière, le débat sur la richesse ostentatoire n'épargne pas ce lieu privilégié. B. B. ou b-b ? Ici, Brigitte Bardot a été remplacée par le bling-bling. Mais, comme Nicolas Sarkozy, le président de la République qu'ils ont élu avec 80 % des suffrages en 2007, les Tropéziens tentent de revenir sur cette image. Ils sont nombreux à regretter l'époque où l'acteur Gérard Philipe circulait en 4 CV, où Gary Cooper déambulait comme le commun des mortels sur le port. Les stars en espadrilles ont été remplacées par des m'as-tu-vu avec chaîne en or.
Brut de Net, les vidéos
Actu, buzz: sélection des vidéos du web
Documents vidéos, 07/09/2009 à 11h39, Libé, extrait
Pas de têtes qui dépassent celle du Président : « Une requête de l'Elysée » [...] Un peu gros. « Saugrenu et grotesque », s'étranglait même ce lundi matin Franck Louvrier, conseiller presse de l'Eysée.
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(AFP) – 17 juil. 2009, extrait
PARIS — Brigitte Bardot demande à Carla Bruni-Sarkozy de convaincre le chef de l'Etat d'interdir les corridas, dans une lettre ouverte dont l'AFP a eu copie vendredi.
"Si vous pouviez convaincre votre mari de refuser les corridas, cet abominable spectacle de mort, en lui disant : +quelqu'un m'a dit que la mort d'un animal torturé ne doit plus être admis en France+", écrit Brigitte Bardot qui, au passage, souhaite une bonne fête, en ce 17 juillet, "à la si belle première dame de France".
Dans cette lettre, l'actrice félicite aussi Carla Bruni-Sarkozy qui s'est récemment prononcée contre le port de la fourrure animale.
"Merci de refuser la fourrure ! Si vous saviez à quel point cette prise de position est importante dans le combat que je mène depuis tant d'années", ajoute Brigitte Bardot.
PEOPLE
Carla Bruni-Sarkozy écrit à BB
publié le 12/10/2009, sur obstyles.nouvelobs.com, extrait
Carla Bruni-Sarkozy, qui s'est prononcée à plusieurs reprises contre le port de la fourrure animale, confie "qu'elle serait heureuse d'être imitée", dans une lettre adressée à Brigitte Bardot et transmise à l'AFP par l'actrice.
"Je n'ai dit que la vérité en indiquant que je ne porte pas de fourrure. J'aurais pu ajouter que ce n'est pas un hasard, mais un choix de ma part (...). Je n'ai pas le tempérament d'une femme politique. Mon comportement parle pour moi. Si je suis imitée, j'en serais heureuse", écrit Carla Bruni-Sarkozy.
"Chacun mène sa vie et ses combats à sa propre manière, pourvu que ce soit honnête", ajoute Carla Bruni-Sarkozy...

AFP, 27/11/2009 | Mise à jour : 19:04
A l’occasion du premier jour de l’Aïd al Adha, la fondation de l'ex-actrice Brigite Bardot a dénoncé "l'immobilisme de l'Etat", reprochant au président Nicolas Sarkozy de ne pas être intervenu pour rendre obligatoire l'étourdissement des moutons avant leur abattage rituel.
Le président français "avait promis de 'trancher' si aucune décision significative rapide n’était prise et pour l’heure, aucun engagement concret de l’Elysée n’est parvenu à la fondation Brigitte Bardot mais de simples nouvelles promesses", indique la fondation dans un communiqué. Dénonçant "l'immobilisme de l'Etat", la fondation critique la "désinvolture des autorités face à la souffrance des bêtes et des infractions constatées".
"En 48h, 200.000 moutons seront abattus pour l’Aïd al Adha, dont plus de 70.000 illégalement selon le ministère de l’Agriculture", affirme l'association de défense des animaux. Selon elle, le Conseil français du Culte Musulman avait déclaré ne voir aucun obstacle à l'application de l'étourdissement par électronarcose (choc électronique) conformément à la réglementation européenne de 1974.

Par D.H. (d'après agences), le 13 février 2010 à 16h07, mis à jour le 13 février 2010 à 19:30
Dans une lettre ouverte à Nicolas Sarkozy, BB lui a demandé vendredi d'en finir avec les chasses présidentielles, alors que l'une d'elles était organisée le jour même à Chambord. Il ne s'agit pas de "chases présidentielles", répond Pierre Charon.
Bataille de mots autour d'une tradition. Brigitte Bardot "demande et supplie" Nicolas Sarkozy de mettre fin aux chasses présidentielles, qu'elle qualifie de "parodie grotesque d'une époque révolue". Dans une lettre ouverte adressée vendredi au chef de l'Etat, l'ex-étoile du cinéma devenue défenseuse des animaux dit son "incompréhension, tristesse et dégoût" face à cette pratique, que Jacques Chirac avait, selon elle, fait tomber en désuétude. "Cette débauche de moyens publics au service de quelques 'privilégiés' invités à flinguer à tout-va est indigne et profondément choquante", écrit BB. "Les saigneurs n'ont pas à bénéficier des largesses de l'Etat pour venir faire couler le sang, que ce soit au domaine national de Chambord ou n'importe où ailleurs", poursuit-elle, alors que l'une d'elles était organisée le même jour à Chambord.
[...] Dans son rapport 2010, la Cour des comptes consacre un chapitre au domaine de Chambord, qui comprend un château Renaissance figurant au patrimoine mondial de l'Unesco et une immense forêt domaniale de 5.315 hectares classée réserve nationale de chasse depuis 1974. A côté des "tirs de sélection" du cerf, planifiés et effectués par ou en compagnie d'agents de l'établissement, six battues de sangliers y sont organisées chaque année pour le compte de la présidence de la République ou avec son autorisation (une dizaine par an), note la Cour des Comptes. Sans remettre en cause la chasse, "qui répond à la nécessité de réguler les espèces", elle regrette que 87% du domaine soient réservés à cette activité, limitant à 700 hectares la partie ouverte au public. Les auteurs du rapport déplorent que divers projets de mise en valeur touristique du domaine "n'ont pas abouti jusqu'à présent du fait notamment de l'opposition des chasseurs".
Extraits de http://lci.tf1.fr/people/2010-02/bardot-en-guerre-contre-les-chasses-presidentielles-5691369.html
Chasses présidentielles: Charon dément
AFP, 13/02/2010 | Mise à jour : 19:26
Un proche conseiller de Nicolas Sarkozy, Pierre Charon, accusé par Brigitte Bardot d'organiser des "chasses présidentielles" à Chambord, a récusé aujourd'hui cette expression, assurant y convoquer des "battues" au seul titre de ses fonctions à la tête de ce domaine national.
Conseiller à la présidence, Pierre Charon est aussi depuis fin 2009 président du conseil d'administration du domaine national de Chambord, l'un des plus célèbres châteaux de la Loire. Il a été présenté ces derniers jours dans plusieurs médias, dont l'hebdomadaire L'Express, comme le relais de Nicolas Sarkozy pour convier à la chasse dans le parc du Château des personnalités dont le chef de l'Etat chercherait à s'accorder les faveurs.
Brigitte Bardot, présidente d'une fondation pour la protection des animaux, a rendu publique hier -le jour même où Pierre Charon avait convié des parlementaires amateurs de chasse à Chambord - une lettre dans laquelle elle se dit "dégoûtée" par l'organisation d'une "chasse présidentielle".
"L'expression 'chasse présidentielle' n'existe plus", lui a répliqué aujourd'hui Pierre Charon. "C'est parce que le domaine est sous la protection du président de la République qu'on parle de chasse présidentielle, mais cela n'a rien du tout de présidentiel", a-t-il affirmé.
Il a affirmé que le Comité des chasses présidentielles avait disparu après la présidence Mitterrand. "Je ne vais pas faire une polémique avec Brigitte Bardot, ça ne m'intéresse pas", a encore déclaré Pierre Charon, en qualifiant les parties de chasse à Chambord de "battues de régulation" du gibier.
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