« Le sketch officiel (et foutraque) de Philippe Poutou | Le père de Merah juge que son fils a eu tort mais attaque le RAID » |
Eva Joly hospitalisée (RTL)
Quand je vois cette imbrication, dans une très brève du Figaro, je me dis qu'au cours des semaines et des mois passés, je me serais parfois bien amusé... Qu'est-ce qu'on doit m'en vouloir pour m'être immiscé un peu partout
De source le Figaro
Pages: 1 · 2
16 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
Pourvu que les docteurs ne fassent pas un signalement pour maltraitance par son entourage, ou ils ne la rendront jamais :-)
LE FLASH > Actualité
Eva Joly: "bénin", "pas d'inquiétude"
AFP Mis à jour le 02/04/2012 à 08:14 | publié le 02/04/2012 à 07:59
À propos de la chute d'Eva Joly, qui l'a amenée hier à être admise à l'hôpital, le président du groupe écologiste au Sénat Jean-Vincent Placé, qui remplaçait ce matin la candidate sur RTL, a dit: "C'est bénin", évoquant une simple "bosse".
La candidate d'EELV à la présidentielle a subi "un choc à la tête" mais "il n'y a pas de raison d'avoir des inquiétudes", a également déclaré lundi Cécile Duflot, la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts. "Elle a fait une chute a priori sans gravité mais il faut être sûr, comme c'est un choc à la tête... Il n'y a pas de raison d'avoir des inquiétudes", a-t-elle dit sur I-Télé.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/02/97001-20120402FILWWW00343-eva-joly-benin-pas-d-inquietude.php
LE FLASH > Actualité
Eva Joly: "bénin", "pas d'inquiétude"
AFP Mis à jour le 02/04/2012 à 08:14 | publié le 02/04/2012 à 07:59
À propos de la chute d'Eva Joly, qui l'a amenée hier à être admise à l'hôpital, le président du groupe écologiste au Sénat Jean-Vincent Placé, qui remplaçait ce matin la candidate sur RTL, a dit: "C'est bénin", évoquant une simple "bosse".
La candidate d'EELV à la présidentielle a subi "un choc à la tête" mais "il n'y a pas de raison d'avoir des inquiétudes", a également déclaré lundi Cécile Duflot, la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts. "Elle a fait une chute a priori sans gravité mais il faut être sûr, comme c'est un choc à la tête... Il n'y a pas de raison d'avoir des inquiétudes", a-t-elle dit sur I-Télé.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/02/97001-20120402FILWWW00343-eva-joly-benin-pas-d-inquietude.php
02.04.12 @ 08:43
Commentaire de: bk [Membre]
Et après Avenir radieux, une fission française, ça continue, je rigole encore... en l'articulant avec ce documentaire, Au pays du nuclaire, ainsi qu'avec un peu de presse du moment et d'un passé récent, par exemple, Marie-Claire d'avril 2012, on découvre une société pas du tout démocratique, volontairement dans le déni, sous le joug de puissants tabous, qui s'autogère comme du bétail #LOL
03.04.12 @ 01:05
Commentaire de: bk [Membre]
Après ceux de Tchernobyl... "les enfants de Fukushima, doivent-ils partir?" Où iraient-ils tout seuls, et de leur propre chef? C'est encore un boulot pour de grandes âmes, des sauveteurs, des exfiltreurs professionnels. Le japon a-t-il des travailleurs sociaux ou faudra-t-il reconstituer l'Arche de Zoé?
03.04.12 @ 01:19
Commentaire de: bk [Membre]
Heureusement que je serais débile, selon les juges du coin, et que rien de tout ceci n'est réel :-)
03.04.12 @ 01:41
Commentaire de: bk [Membre]
Auteure de rares mais brillants documentaires (Les Deux Vies d'Eva, Signé Glaser), Esther Hoffenberg n'avait aucune prédisposition pour réaliser un film sur le nucléaire. Grandie dans une famille d'ingénieurs, où Marie Curie faisait figure d'idole, elle était loin de faire partie des « anti ». Au contraire, elle éprouvait « l’indifférence sympathisante » que partage le grand public pour des entreprises comme EDF. Le déclic se produisit un jour du printemps 2007. « Personne ne vient vous chercher pour travailler sur ce sujet. C’est la décision de Jacques Chirac, prise entre les deux tours de la présidentielle, de construire un EPR à Flamanville qui a attiré mon attention. J'ai trouvé ça étrange… tout comme l'ignorance affichée par Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal lors du débat télévisé de cette élection : les deux candidats ne disaient que des bêtises sur le nucléaire ! »
De source http://television.telerama.fr/television/au-pays-du-nucleaire-ce-soir-sur-france-2-un-film-unique,47193.php
De source http://television.telerama.fr/television/au-pays-du-nucleaire-ce-soir-sur-france-2-un-film-unique,47193.php
03.04.12 @ 01:52
Commentaire de: bk [Membre]
De mes références, je lis de tout... Albert Caraco, de son bréviaire du chaos:
03.04.12 @ 02:02
Commentaire de: bk [Membre]
Il faut que j'arrête d'utiliser mon téléphone pour faire des photo, ça donne des résultats illisibles. Oops... j'ai encore twitté un truc qu'il fallait pas? "La Presqu'île au nucléaire fut accueilli par un grand silence." Françoise Zonabend: "A La Hague, je suis repérée…" http://television.telerama.fr/television/francoise-zonabend-une-ethnologue-dans-un-champ-de-radioactivite,48247.php
03.04.12 @ 02:58
Commentaire de: bk [Membre]
Le plus impressionnant, c'est qu'il n'y avait quasi personne ce soir, à Paris, pour cette projection à l'espace Reuilly, comme pour Aktion T4, au Mémorial de la Shoah http://justice.cloppy.net/index.php/lacuree/2011/05/03/l-c-est-donc-de-faim-qu-il-va-s-agir-r
03.04.12 @ 03:18
Commentaire de: bk [Membre]
LE FLASH > Economie
Japon : relance possible de 2 réacteurs
AFP Publié le 13/04/2012 à 14:09
Le gouvernement japonais a jugé aujourd'hui sans danger et nécessaire le redémarrage de deux réacteurs nucléaires de l'ouest du pays remplissant les conditions posées à toute relance après l'accident de Fukushima, mais il doit encore en convaincre la population.
"Nous allons faire tous les efforts pour obtenir la compréhension des citoyens", a expliqué vendredi le ministre de l'Industrie, Yukio Edano, lors d'une conférence de presse. Cette intervention suivait la décision du gouvernement de Yoshihiko Noda d'approuver le plan de réactivation des unités 3 et 4 de la centrale d'Oi (ou Ohi), dans la préfecture de Fukui.
Ce complexe atomique est exploité par la compagnie Kansai Electric Power qui est actuellement privée de l'ensemble de ses réacteurs nucléaires et affirme qu'elle risque de souffrir d'une insuffisance de courant de 20% cet été au moment des pics de consommation si une partie de ses installations ne sont pas relancées.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/04/13/97002-20120413FILWWW00443-japon-relance-possible-de-2-reacteurs.php
Japon : relance possible de 2 réacteurs
AFP Publié le 13/04/2012 à 14:09
Le gouvernement japonais a jugé aujourd'hui sans danger et nécessaire le redémarrage de deux réacteurs nucléaires de l'ouest du pays remplissant les conditions posées à toute relance après l'accident de Fukushima, mais il doit encore en convaincre la population.
"Nous allons faire tous les efforts pour obtenir la compréhension des citoyens", a expliqué vendredi le ministre de l'Industrie, Yukio Edano, lors d'une conférence de presse. Cette intervention suivait la décision du gouvernement de Yoshihiko Noda d'approuver le plan de réactivation des unités 3 et 4 de la centrale d'Oi (ou Ohi), dans la préfecture de Fukui.
Ce complexe atomique est exploité par la compagnie Kansai Electric Power qui est actuellement privée de l'ensemble de ses réacteurs nucléaires et affirme qu'elle risque de souffrir d'une insuffisance de courant de 20% cet été au moment des pics de consommation si une partie de ses installations ne sont pas relancées.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/04/13/97002-20120413FILWWW00443-japon-relance-possible-de-2-reacteurs.php
13.04.12 @ 14:24
Commentaire de: bk [Membre]
Off/On, les japonais rêve déjà. La France va-t-elle retraiter et entreposer leurs déchets nucléaires? Tout un business...
28.04.12 @ 20:40
Commentaire de: bk [Membre]
LE FLASH > Actualité
Japon: une pétition contre le nucléaire
AFP Publié le 07/06/2012 à 06:39
La pétition "Au revoir l'énergie nucléaire" qui vise à rassembler au moins 10 millions de signatures d'ici à la mi-juillet a annoncé hier soir à Tokyo avoir déjà recueilli 7,23 millions de paraphes.
Cette action, notamment soutenue par l'écrivain nippon prix Nobel Kenzaburo Oe, le compositeur et pianiste Ryuichi Sakamoto ou le journaliste dénonciateur de scandales Satoshi Kamata, argue que 80% de la population japonaise voudrait que l'on se passe d'énergie nucléaire. Même sans centrales atomiques, la production d'électricité peut suffire, d'autant que des économies supplémentaires sont encore possibles, expliquent ces antinucléaires.
Cette initiative, ouverte aux étrangers, découle de l'accident de Fukushima provoqué par le séisme et le tsunami qui ont dévasté le nord-est du Japon le 11 mars 2011. "Depuis cette catastrophe, la nature alentour (champs, forêts, rivières, mers) est polluée et de nombreuses personnes qui vivaient à proximité ont tout perdu", insistent les militants contre l'usage de cette forme d'énergie jugée excessivement dangereuse et difficilement maîtrisable. Et d'ajouter: "de surcroît, les répercussions ne se limitent pas aux environs de la centrale. On ignore les effets que cet accident aura sur diverses régions et personnes, particulièrement les enfants".
Concrètement, la pétition formule diverses exigences: la non-remise en marche suivie du démantèlement des réacteurs arrêtés, la gel des projets de construction, le renoncement aux surrégénérateurs en projet de même qu'à la mise en exploitation d'une usine de retraitement et enfin l'accélération de la transition vers les énergies renouvelables.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/07/97001-20120607FILWWW00386-japon-une-petition-contre-le-nucleaire.php
Japon: une pétition contre le nucléaire
AFP Publié le 07/06/2012 à 06:39
La pétition "Au revoir l'énergie nucléaire" qui vise à rassembler au moins 10 millions de signatures d'ici à la mi-juillet a annoncé hier soir à Tokyo avoir déjà recueilli 7,23 millions de paraphes.
Cette action, notamment soutenue par l'écrivain nippon prix Nobel Kenzaburo Oe, le compositeur et pianiste Ryuichi Sakamoto ou le journaliste dénonciateur de scandales Satoshi Kamata, argue que 80% de la population japonaise voudrait que l'on se passe d'énergie nucléaire. Même sans centrales atomiques, la production d'électricité peut suffire, d'autant que des économies supplémentaires sont encore possibles, expliquent ces antinucléaires.
Cette initiative, ouverte aux étrangers, découle de l'accident de Fukushima provoqué par le séisme et le tsunami qui ont dévasté le nord-est du Japon le 11 mars 2011. "Depuis cette catastrophe, la nature alentour (champs, forêts, rivières, mers) est polluée et de nombreuses personnes qui vivaient à proximité ont tout perdu", insistent les militants contre l'usage de cette forme d'énergie jugée excessivement dangereuse et difficilement maîtrisable. Et d'ajouter: "de surcroît, les répercussions ne se limitent pas aux environs de la centrale. On ignore les effets que cet accident aura sur diverses régions et personnes, particulièrement les enfants".
Concrètement, la pétition formule diverses exigences: la non-remise en marche suivie du démantèlement des réacteurs arrêtés, la gel des projets de construction, le renoncement aux surrégénérateurs en projet de même qu'à la mise en exploitation d'une usine de retraitement et enfin l'accélération de la transition vers les énergies renouvelables.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/07/97001-20120607FILWWW00386-japon-une-petition-contre-le-nucleaire.php
07.06.12 @ 10:25
Commentaire de: bk [Membre]
Japon: redémarrage d'un réacteur nucléaire, pour la première fois depuis Fukushima
Créé le 01-07-2012 à 20h01 - Mis à jour à 20h20
Mots-clés : JAPON, NUCLEAIRE, Monde
TOKYO (AP) — La compagnie Kansai Electric Power a annoncé dimanche le redémarrage du réacteur numéro 3 de sa centrale nucléaire d'Ohi, dans l'ouest du Japon, pour la première fois depuis l'accident de Fukushima en mars 2011.
Le Premier ministre Yoshihiko Noda avait annoncé le 16 juin la décision du gouvernement de remettre en service deux réacteurs de la centrale d'Ohi, affirmant qu'il s'agit d'une nécessité économique. Il a invoqué les risques de pénurie de courant durant l'été, et ses répercussions sur l'économie et la vie de la population.
Première étape de la remise en exploitation, la réaction en chaîne du réacteur 3 a repris dimanche après-midi, a expliqué sur son site Internet Kansai Electric Power, principal fournisseur d'énergie de la région englobant les villes d'Osaka et Kyoto. Le raccordement du réacteur 3 au réseau électrique et la remise en route du réacteur 4 auront lieu ultérieurement.
Avant le tsunami du 11 mars 2011 et l'accident consécutif à la centrale de Fukushima, le plus grave depuis celui de Tchernobyl en 1986, le Japon comptait 50 réacteurs en service. Jusqu'à ce dimanche, tous étaient à l'arrêt pour contrôles de sécurité, maintenance programmée ou mise hors service par le tsunami, comme à Fukushima. Le nucléaire, avant le 11 mars 2011, constituait environ 30% de la production d'électricité au Japon.
Selon les autorités locales d'Ohi, la préfecture de région de Fukui et le gouvernement, les tests de résistance pratiqués à Ohi montrent que les réacteurs peuvent être remis en service en toute sécurité.
Taisuke Kohno, un des quelque 200 manifestants rassemblés dimanche en signe de protestation devant la centrale d'Ohi, n'en est absolument pas convaincu. "C'est un mensonge de dire que l'énergie nucléaire est propre", a estimé ce musicien de 41 ans.
Vendredi soir, une manifestation d'une ampleur rarement vue au Japon a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes devant le siège du gouvernement à Tokyo. "Non aux redémarrages", ont notamment scandé les protestaires, qui ont également réclamé la démission de M. Noda.
L'énergie nucléaire suscite la méfiance croissance de l'opinion, malgré le silence initial des grands médias. Relayées par les réseaux sociaux, les manifestations se sont multipliées dans le pays depuis le 11 mars 2011, avec le soutien de personnalités comme l'écrivain Kenzaburo Oe, prix Nobel de littérature 1994, ou le musicien Ryuichi Sakamoto, qui a composé la musique du film "Le dernier empereur". AP
ll/v0215
De source http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120701.FAP5245/japon-redemarrage-d-un-reacteur-nucleaire-pour-la-premiere-fois-depuis-fukushima.html
Créé le 01-07-2012 à 20h01 - Mis à jour à 20h20
Mots-clés : JAPON, NUCLEAIRE, Monde
TOKYO (AP) — La compagnie Kansai Electric Power a annoncé dimanche le redémarrage du réacteur numéro 3 de sa centrale nucléaire d'Ohi, dans l'ouest du Japon, pour la première fois depuis l'accident de Fukushima en mars 2011.
Le Premier ministre Yoshihiko Noda avait annoncé le 16 juin la décision du gouvernement de remettre en service deux réacteurs de la centrale d'Ohi, affirmant qu'il s'agit d'une nécessité économique. Il a invoqué les risques de pénurie de courant durant l'été, et ses répercussions sur l'économie et la vie de la population.
Première étape de la remise en exploitation, la réaction en chaîne du réacteur 3 a repris dimanche après-midi, a expliqué sur son site Internet Kansai Electric Power, principal fournisseur d'énergie de la région englobant les villes d'Osaka et Kyoto. Le raccordement du réacteur 3 au réseau électrique et la remise en route du réacteur 4 auront lieu ultérieurement.
Avant le tsunami du 11 mars 2011 et l'accident consécutif à la centrale de Fukushima, le plus grave depuis celui de Tchernobyl en 1986, le Japon comptait 50 réacteurs en service. Jusqu'à ce dimanche, tous étaient à l'arrêt pour contrôles de sécurité, maintenance programmée ou mise hors service par le tsunami, comme à Fukushima. Le nucléaire, avant le 11 mars 2011, constituait environ 30% de la production d'électricité au Japon.
Selon les autorités locales d'Ohi, la préfecture de région de Fukui et le gouvernement, les tests de résistance pratiqués à Ohi montrent que les réacteurs peuvent être remis en service en toute sécurité.
Taisuke Kohno, un des quelque 200 manifestants rassemblés dimanche en signe de protestation devant la centrale d'Ohi, n'en est absolument pas convaincu. "C'est un mensonge de dire que l'énergie nucléaire est propre", a estimé ce musicien de 41 ans.
Vendredi soir, une manifestation d'une ampleur rarement vue au Japon a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes devant le siège du gouvernement à Tokyo. "Non aux redémarrages", ont notamment scandé les protestaires, qui ont également réclamé la démission de M. Noda.
L'énergie nucléaire suscite la méfiance croissance de l'opinion, malgré le silence initial des grands médias. Relayées par les réseaux sociaux, les manifestations se sont multipliées dans le pays depuis le 11 mars 2011, avec le soutien de personnalités comme l'écrivain Kenzaburo Oe, prix Nobel de littérature 1994, ou le musicien Ryuichi Sakamoto, qui a composé la musique du film "Le dernier empereur". AP
ll/v0215
De source http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120701.FAP5245/japon-redemarrage-d-un-reacteur-nucleaire-pour-la-premiere-fois-depuis-fukushima.html
01.07.12 @ 20:50
Commentaire de: bk [Membre]
Le directeur de la chaîne de télévision France 2 a présenté aujourd'hui ses "regrets" au Japon, qui avait protesté contre un gag de l'animateur Laurent Ruquier montrant le gardien de l'équipe japonaise de football avec quatre bras suite, selon lui, à l'accident de Fukushima. "Nous sommes profondément désolés d'avoir ainsi blessé vos concitoyens. Laurent Ruquier ne se voulait en aucun cas irrespectueux vis-à-vis du Japon et des victimes de Fukushima", a déclaré Jean Réveillon dans un communiqué.
"Dans cette émission humoristique voire satirique, notre animateur tenait surtout à se moquer de l'équipe de France de football. Toutefois, devant l'émoi provoqué par cette évocation, France 2 tient à présenter ses regrets et à réaffirmer toute son amitié au peuple japonais", a-t-il ajouté. Les "regrets" ont été adressées à l'ambassade du Japon et au ministre des Affaires étrangères japonais, Koichiro Gemba, en visite à Paris.
Extrait de source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/16/97001-20121016FILWWW00747-france-2-s-excuse-aupres-du-japon.php
"Dans cette émission humoristique voire satirique, notre animateur tenait surtout à se moquer de l'équipe de France de football. Toutefois, devant l'émoi provoqué par cette évocation, France 2 tient à présenter ses regrets et à réaffirmer toute son amitié au peuple japonais", a-t-il ajouté. Les "regrets" ont été adressées à l'ambassade du Japon et au ministre des Affaires étrangères japonais, Koichiro Gemba, en visite à Paris.
Extrait de source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/16/97001-20121016FILWWW00747-france-2-s-excuse-aupres-du-japon.php
16.10.12 @ 22:03
Commentaire de: bk [Membre]
Actualité > Environnement
Si elle se produisait en France, la catastrophe de Fukushima coûterait 400 milliards d'euros
De notre envoyé spécial à Cadarache, Frédéric Mouchon | Publié le 06.02.2013, 23h18 | Mise à jour : 23h29
Plus de 100 milliards de dollars de compensation versés aux victimes, 80 000 réfugiés issus des zones fortement radioactives, 2,7 milliards consacrés en 2012 à la décontamination et une facture énergétique en hausse de 60 milliards de dollars du fait de la fermeture des centrales et de l'importation massive de gaz et de fioul... Pratiquement deux ans après Fukushima, la facture de la catastrophe nucléaire ne cesse de s'alourdir au Japon.
Mais qu'en serait-il si un accident majeur de ce type survenait en France ? L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a dévoilé mercredi à Cadarache (Bouches-du-Rhône) le résultat d'une étude qui fait froid dans le dos. En appliquant ce scenario à plusieurs sites nucléaires hexagonaux, l'Institut a évalué le coût d'un accident majeur avec fusion du coeur d'un réacteur et rejets massifs de radioactivité dans l'atmosphère sur au moins quatre départements. Résultat : une facture totale de..plus de 400 milliards d'euros, soit plus de 20% du PIB français annuel !
A titre de comparaison, la catastrophe d'AZF ou la marée noire de l'Erika ont coûté, selon l'IRSN, plus de deux milliards d'euros. Si un scénario de type Fukushima survenait en France, les experts nucléaires estiment que les coûts liés aux seuls conséquences radiologiques pourraient s'élever à 160 milliards d'euros. «L'ampleur de la contamination aurait pour conséquence de devoir prendre en charge environ 100 000 réfugiés radiologiques évacués des zones d'exclusion et qui auraient besoin d'être relogés» souligne Patrick Momal, chef du laboratoire d'économie des risques nucléaires à l'IRSN.
Les quantités de produits agricoles devant être éliminées seraient considérables. «La gestion des territoires contaminés et des zones d'exclusion resterait un défi permanent durant de nombreuses années» et «l'Europe de l'ouest serait globalement affectée». Perte de revenus liés au tourisme, effondrement des exportations de certains produits pourtant non contaminés (foie gras, vins, champagne...), les coûts d'image «associés» à la catastrophe en terme économique seraient «stupéfiants» et pourraient dépasser plus de 160 milliards d'euros. Si ce scenario (qui a une probabilité d'une sur 100 000 de se produire) survenait, l'IRSN estime qu'EDF serait ruiné et qu'il appartiendrait à la Nation de payer la facture.
A la lumière de cette étude, l'IRSN milite pour «la mise au point de nouveaux types de réacteurs qui présentent des probabilités plus faibles qu'aujourd'hui de causer un accident grave». L'Institut demande par ailleurs que des exercices de simulation plus proches de la réalité soient effectués aux abords des centrales. «On n'arrive pas à organiser des scenarios réalistes d'accidents avec les préfets et les maires car ils craignent que ça ne fasse trop peur aux riverains, ce qui, du coup, laisse penser qu'un accident grave ne peut jamais arriver, déplore le directeur général de l'IRSN Jacques Repussard. Il serait pourtant très important d'effectuer des exercices avec évacuation des populations». L'IRSN estime prioritaire «la préparation à la gestion de tels événements et de leurs conséquences post-accidentelles». Car ces événements, «bien que très improbables, pourraient néanmoins survenir sur le territoire national».
De source http://www.leparisien.fr/environnement/si-elle-se-produisait-en-france-la-catastrophe-de-fukushima-couterait-400-milliards-d-euros-06-02-2013-2545537.php
Si elle se produisait en France, la catastrophe de Fukushima coûterait 400 milliards d'euros
De notre envoyé spécial à Cadarache, Frédéric Mouchon | Publié le 06.02.2013, 23h18 | Mise à jour : 23h29
Plus de 100 milliards de dollars de compensation versés aux victimes, 80 000 réfugiés issus des zones fortement radioactives, 2,7 milliards consacrés en 2012 à la décontamination et une facture énergétique en hausse de 60 milliards de dollars du fait de la fermeture des centrales et de l'importation massive de gaz et de fioul... Pratiquement deux ans après Fukushima, la facture de la catastrophe nucléaire ne cesse de s'alourdir au Japon.
Mais qu'en serait-il si un accident majeur de ce type survenait en France ? L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a dévoilé mercredi à Cadarache (Bouches-du-Rhône) le résultat d'une étude qui fait froid dans le dos. En appliquant ce scenario à plusieurs sites nucléaires hexagonaux, l'Institut a évalué le coût d'un accident majeur avec fusion du coeur d'un réacteur et rejets massifs de radioactivité dans l'atmosphère sur au moins quatre départements. Résultat : une facture totale de..plus de 400 milliards d'euros, soit plus de 20% du PIB français annuel !
A titre de comparaison, la catastrophe d'AZF ou la marée noire de l'Erika ont coûté, selon l'IRSN, plus de deux milliards d'euros. Si un scénario de type Fukushima survenait en France, les experts nucléaires estiment que les coûts liés aux seuls conséquences radiologiques pourraient s'élever à 160 milliards d'euros. «L'ampleur de la contamination aurait pour conséquence de devoir prendre en charge environ 100 000 réfugiés radiologiques évacués des zones d'exclusion et qui auraient besoin d'être relogés» souligne Patrick Momal, chef du laboratoire d'économie des risques nucléaires à l'IRSN.
Les quantités de produits agricoles devant être éliminées seraient considérables. «La gestion des territoires contaminés et des zones d'exclusion resterait un défi permanent durant de nombreuses années» et «l'Europe de l'ouest serait globalement affectée». Perte de revenus liés au tourisme, effondrement des exportations de certains produits pourtant non contaminés (foie gras, vins, champagne...), les coûts d'image «associés» à la catastrophe en terme économique seraient «stupéfiants» et pourraient dépasser plus de 160 milliards d'euros. Si ce scenario (qui a une probabilité d'une sur 100 000 de se produire) survenait, l'IRSN estime qu'EDF serait ruiné et qu'il appartiendrait à la Nation de payer la facture.
A la lumière de cette étude, l'IRSN milite pour «la mise au point de nouveaux types de réacteurs qui présentent des probabilités plus faibles qu'aujourd'hui de causer un accident grave». L'Institut demande par ailleurs que des exercices de simulation plus proches de la réalité soient effectués aux abords des centrales. «On n'arrive pas à organiser des scenarios réalistes d'accidents avec les préfets et les maires car ils craignent que ça ne fasse trop peur aux riverains, ce qui, du coup, laisse penser qu'un accident grave ne peut jamais arriver, déplore le directeur général de l'IRSN Jacques Repussard. Il serait pourtant très important d'effectuer des exercices avec évacuation des populations». L'IRSN estime prioritaire «la préparation à la gestion de tels événements et de leurs conséquences post-accidentelles». Car ces événements, «bien que très improbables, pourraient néanmoins survenir sur le territoire national».
De source http://www.leparisien.fr/environnement/si-elle-se-produisait-en-france-la-catastrophe-de-fukushima-couterait-400-milliards-d-euros-06-02-2013-2545537.php
06.02.13 @ 23:39
Commentaire de: bk [Membre]
Haha, la Croix, le nucléaire et ce qu'est le débat public! pic.twitter.com/TLMktElIvj
— Bruno Kant (@bkant) June 19, 2013
19.06.13 @ 23:33