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Cris et chuchotements : La justice est-elle sous influences ?
J'ai remarqué ce tweet sur #Outreau, je me suis inscrit. Ces « influences », ce qui s'en dit et tous ces mythes, un très vaste sujet qui peut toujours m'inspirer et qui peut surtout encore me distraire. Un colloque organisé par le Syndicat National des magistrats FO. Je n'ai pas encore trouvé les détails de l'agenda. Pour la recherche « cris et chuchotements », Google m'a vite proposé une soirée en club SM Parisien, puis pas grand chose de plus... Je ne suis pas sûr qu'on nous parlera du marteau - Malleus Maleficarum - ni d'enfermement ou de supplices, sexe et châtiments.
Je découvre. Renaud Van Ruymbeke pourrait être présent, novembre prochain, pour ce colloque ? J'essayerais de rechuchoter avec ce magistrat ; à l'heure ou autour du buffet ; « c'est pas possible », m'avait-il répondu en février 2010...
#outreau @Villagejustice @ChTaubira "La Justice est-elle sous influences ?" Colloque 27 Novembre Palais d'Iéna
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— mchristine gryson (@outreauvo) 13 Octobre 2015
A force de ne pas Comment « poussent » les enfants, à la BNF, | ||
Les périodes de guerre civile engendrent toujours des hommes dénués de scrupules et prêts à profiter de toutes les situations. La République romaine, au milieu du ~ 1er siècle, n'échappe pas à cette loi et sécrète pour sa propre ruine Lucius Sergius Catilina, célèbre surtout pour sa conspiration de ~ 63, déjouée par Cicéron et racontée par Salluste. Catilina n'a pas attendu l'année ~ 63 pour commencer une carrière d'escroc et d'assassin. Issu d'une vieille famille patricienne, il appartient à la jeunesse dorée de Rome. Excellent meneur d'hommes, il rassemble autour de lui de jeunes nobles oisifs et endettés et profite de la guerre civile sous Sylla... La suite, sur www.universalis.fr |
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mardi 17 novembre 2015 12h15
PARIS (Reuters) - Deux syndicats, l'un de magistrats et l'autre d'avocats, dénoncent mardi l'état d'urgence décrété par le gouvernement après les attentats de Paris et Saint-Denis qui menacent selon eux les libertés publiques, suscitant la colère de policiers.
L'état d'urgence a été décrété en France pour 12 jours mais François Hollande va demander au Parlement de le prolonger pour trois mois après les attaques meurtrières de vendredi qui ont fait au moins 129 morts.
Selon la loi de 1955, il permet aux autorités d'interdire la circulation des personnes, de mettre en place des zones de protection ou de sécurité où le séjour des personnes est réglementé et d'autoriser des perquisitions administratives.
Mais pour le Syndicat de la magistrature (SM, proche de la gauche) "le discours martial" repris par l'exécutif et "sa déclinaison juridique dans l'état d'urgence ne peuvent qu'inquiéter".
"L'état d'urgence modifie dangereusement la nature et l'étendue des pouvoirs de police des autorités administratives. Des interdictions et des restrictions aux libertés individuelles et collectives habituellement encadrées, examinées et justifiées une à une deviennent possibles par principe", écrit-il dans un communiqué.
"La France a tout à perdre à cette suspension, même temporaire, de l'Etat de droit", ajoute-t-il.
Pour le Syndicat des avocats de France (SAF), les lois successives sur la sécurité, le renseignement et l'antiterrorisme "qui n'ont pourtant pas permis d'éviter ces attaques", ainsi que les propositions de François Hollande "d'accroître dans l'urgence les pouvoirs de l'exécutif" sont inquiétantes.
"Elles accentuent encore la dérive vers la constitution d'un Etat policier, sans contre-pouvoir effectif. Elles sont une menace pour les libertés fondamentales", estime-t-il dans un communiqué.
Jugeant regrettable qu'aucun débat transparent ne soit aujourd'hui possible pour discuter des mesures de sécurité qui sont mises en oeuvre par les pouvoirs publics, le SAF demande que des institutions indépendantes puissent "contrôler l'efficience des mesures de sécurité".
En réaction, le Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN) dénonce le "dogmatisme fou" du "tristement célèbre" Syndicat de la magistrature, qu'il qualifie de "groupuscule idéologique".
"Le propre d'un Etat de droit, c'est que les lois, fussent-elles de 1955, soient appliquées", dit-il dans un communiqué qualifiant les membres de l'organisation "d'alliés objectifs de tous les terroristes".
Le député LR Georges Fenech s'indigne lui aussi des critiques des deux syndicats, qu'il juge proches de la ministre de la Justice Christiane Taubira. "Il appartient à Christiane Taubira de rappeler ceux-là même qui soutiennent sa politique pénale à leur obligation de réserve, voire de simple dignité, en ces circonstances dramatiques", écrit-il.
(Gérard Bon, édité par Yves Clarisse)
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De source http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKCN0T617X20151117?sp=true
T'es bizarre, Twitter. Ou presque :-) https://t.co/3o8JNnmOjj #censure pic.twitter.com/4iI5dl6Z0c
— Bruno Kant (@bkant) 28 Novembre 2015
La psychologue d'Outreau privée de son titre d'expert via @Le_Figaro https://t.co/3EnYAN4ZBi
— S. Durand-Souffland (@DurandSouffland) 30 Novembre 2015
Table ronde 03 les jeux d'influence... https://t.co/JxAfb5rTt6 Colloque annuel Magistrats FO #Outreau #SergeGarde #JacquelineSauvage
— Bruno Kant (@bkant) 24 août 2016