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Ces lettres qui piègent Woerth
Quels obstinés, ces journalistes. Mais est-ce bien grave ? Si nécessaire, Woerth pourra faire appel, saisir un tribunal, si ce n'est pas déjà fait, et probablement même, saisir un jour la CEDH. Il est plutôt jeune, Woerth pourrait s'y consacrer pendant plusieurs années. Il ne manquerait pas de soutiens ; ils pourront l'épauler dans des moments plus pénibles.
Le JDD n°3321 du 5 septembre 2010
5 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
Aprésent, ce sont les sondeurs qui s'y collent?
Les Français ne veulent plus de Woerth
AFP, 05/09/2010 | Mise à jour : 17:53
Une majorité de Français (60%) estiment que le ministre du Travail Eric Woerth ne devrait plus rester en charge de la réforme des retraites, sujet sur lequel 71% attendent des concessions du gouvernement, selon un sondage publié aujourd'hui par Harris Interactive pour RTL. "60% des Français pensent qu'Eric Woerth ne devrait pas demeurer le ministre en charge de cette réforme", à la suite de ses ennuis dans l'affaire Bettencourt, selon le sondage.
Ce chiffre est encore plus important pour les sympathisants de gauche (88 %), mais "non négligeable auprès des sympathisants de droite (30 %)", indique l'institut dans un communiqué.
La suite: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/09/05/97001-20100905FILWWW00128-les-francais-ne-veulent-plus-de-woerth.php
Les Français ne veulent plus de Woerth
AFP, 05/09/2010 | Mise à jour : 17:53
Une majorité de Français (60%) estiment que le ministre du Travail Eric Woerth ne devrait plus rester en charge de la réforme des retraites, sujet sur lequel 71% attendent des concessions du gouvernement, selon un sondage publié aujourd'hui par Harris Interactive pour RTL. "60% des Français pensent qu'Eric Woerth ne devrait pas demeurer le ministre en charge de cette réforme", à la suite de ses ennuis dans l'affaire Bettencourt, selon le sondage.
Ce chiffre est encore plus important pour les sympathisants de gauche (88 %), mais "non négligeable auprès des sympathisants de droite (30 %)", indique l'institut dans un communiqué.
La suite: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/09/05/97001-20100905FILWWW00128-les-francais-ne-veulent-plus-de-woerth.php
05.09.10 @ 21:39
Commentaire de: bk [Membre]
Courroye "un peu désavoué" (syndicat)
AFP, 27/09/2010 | Mise à jour : 18:31
Les syndicats de magistrats ont estimé que la position du procureur général près la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, dans le volet de l'affaire Bettencourt concernant Eric Woerth, sonnait "un peu comme un désaveu" pour le procureur de Nanterre Philippe Courroye. M. Nadal a recommandé la saisine d'un juge d'instruction pour poursuivre les investigations, actuellement conduites par M. Courroye.
L'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire) et le Syndicat de la magistrature (SM, 2e syndicat de la profession, classé à gauche), qui réclament depuis des semaines l'ouverture d'une information judiciaire, se sont félicités de cette prise de position. "Le fait que le plus haut magistrat des parquets de France préconise, au vu des pièces des dossiers qu'il a pu lire, l'ouverture d'une information judiciaire, a un poids considérable qui ne peut pas rester lettre morte", a estimé Laurent Bedouet, secrétaire général de l'USM.
"C'est quand même un pavé dans la mare de M. Courroye, dont la situation sur le plan du dossier Woerth va devenir de plus en plus intenable", a-t-il estimé. "Maintenant, il va vraiment falloir qu'il nous explique, concrètement, pourquoi il s'obstine à ne pas vouloir un juge d'instruction, alors que c'est le dossier type dans lequel il aurait dû y avoir une information judiciaire ouverte depuis le début".
Jean-Louis Nadal dit que de "nombreuses investigations" restent à effectuer, a souligné Matthieu Bonduelle, secrétaire général du SM.
AFP, 27/09/2010 | Mise à jour : 18:31
Les syndicats de magistrats ont estimé que la position du procureur général près la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, dans le volet de l'affaire Bettencourt concernant Eric Woerth, sonnait "un peu comme un désaveu" pour le procureur de Nanterre Philippe Courroye. M. Nadal a recommandé la saisine d'un juge d'instruction pour poursuivre les investigations, actuellement conduites par M. Courroye.
L'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire) et le Syndicat de la magistrature (SM, 2e syndicat de la profession, classé à gauche), qui réclament depuis des semaines l'ouverture d'une information judiciaire, se sont félicités de cette prise de position. "Le fait que le plus haut magistrat des parquets de France préconise, au vu des pièces des dossiers qu'il a pu lire, l'ouverture d'une information judiciaire, a un poids considérable qui ne peut pas rester lettre morte", a estimé Laurent Bedouet, secrétaire général de l'USM.
"C'est quand même un pavé dans la mare de M. Courroye, dont la situation sur le plan du dossier Woerth va devenir de plus en plus intenable", a-t-il estimé. "Maintenant, il va vraiment falloir qu'il nous explique, concrètement, pourquoi il s'obstine à ne pas vouloir un juge d'instruction, alors que c'est le dossier type dans lequel il aurait dû y avoir une information judiciaire ouverte depuis le début".
Jean-Louis Nadal dit que de "nombreuses investigations" restent à effectuer, a souligné Matthieu Bonduelle, secrétaire général du SM.
28.09.10 @ 10:30
Commentaire de: bk [Membre]
Woerth: "résistance du pouvoir" (Royal)
AFP, 28/09/2010 | Mise à jour : 08:44
La présidente de la Région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, a dénoncé ce matin "la résistance" du pouvoir à laisser nommer un juge d'instruction dans l'affaire Woerth-Bettencourt, jugeant cette situation "très choquante".
"Il est évident qu'il faut maintenant un juge d'instruction pour qu'il y ait une véritable enquête", a déclaré Mme Royal sur Europe 1. "Cette résistance du pouvoir en place", qui empêche "la liberté et l'indépendance de la justice, est très choquante", a ajouté l'ex-candidate à la présidentielle.
Le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, a indiqué lundi soir qu'il entendait poursuivre son enquête préliminaire dans l'affaire Bettencourt, alors que le procureur général près la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, avait recommandé la nomination d'un juge d'instruction dans le volet de cette affaire Bettencourt concernant Eric Woerth.
AFP, 28/09/2010 | Mise à jour : 08:44
La présidente de la Région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, a dénoncé ce matin "la résistance" du pouvoir à laisser nommer un juge d'instruction dans l'affaire Woerth-Bettencourt, jugeant cette situation "très choquante".
"Il est évident qu'il faut maintenant un juge d'instruction pour qu'il y ait une véritable enquête", a déclaré Mme Royal sur Europe 1. "Cette résistance du pouvoir en place", qui empêche "la liberté et l'indépendance de la justice, est très choquante", a ajouté l'ex-candidate à la présidentielle.
Le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, a indiqué lundi soir qu'il entendait poursuivre son enquête préliminaire dans l'affaire Bettencourt, alors que le procureur général près la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, avait recommandé la nomination d'un juge d'instruction dans le volet de cette affaire Bettencourt concernant Eric Woerth.
28.09.10 @ 10:36
Commentaire de: bk [Membre]
Compiègne/Woerth: décision aujourd'hui ?
Lefigaro.fr, 16/11/2010 | Mise à jour : 09:48
D'après les informations d'Europe 1, le parquet général de la Cour de cassation pourrait saisir aujourd'hui la commission des requêtes de la Cour de justice dans le but de vérifier s'il existe des charges contre Eric Woerth, dans l'affaire de l'hippodrome de Compiègne.
Eric Woerth est soupçonné d'avoir cédé, en mars 2005, un terrain domanial - une forêt de l'Etat - au 5e du prix, sans appel d'offre ni publicité, alors qu'il était ministre du Budget.
Lefigaro.fr, 16/11/2010 | Mise à jour : 09:48
D'après les informations d'Europe 1, le parquet général de la Cour de cassation pourrait saisir aujourd'hui la commission des requêtes de la Cour de justice dans le but de vérifier s'il existe des charges contre Eric Woerth, dans l'affaire de l'hippodrome de Compiègne.
Eric Woerth est soupçonné d'avoir cédé, en mars 2005, un terrain domanial - une forêt de l'Etat - au 5e du prix, sans appel d'offre ni publicité, alors qu'il était ministre du Budget.
16.11.10 @ 12:09
Commentaire de: bk [Membre]
Sarkozy justifie le départ de Woerth
Reuters, AFP, 16/11/2010 | Mise à jour : 21:00
Nicolas Sarkozy a justifié aujourd'hui à la télévision l'éviction d'Eric Woerth du gouvernement, estimant que pour la nouvelle équipe gouvernementale, "c'était mieux" de ne pas avoir "à gérer les rendez-vous judiciaires inévitables" dans sa situation.
C'est Eric Woerth qui a estimé qu'il lui serait plus facile de se défendre dans l'affaire Bettencourt s'il quittait le gouvernement, a expliqué le président de la République. "Lui-même m'a dit qu'il serait plus simple pour lui de se défendre s'il n'était plus ministre, parce que quand on n'est plus ministre à la sortie du bureau du juge, il y a une caméra. Quand on est ministre, il y en a cent", a-t-il dit. Eric Woerth, qui a conduit la réforme des retraites en tant que ministre du Travail, avait pourtant manifesté le jour même du remaniement ministériel, dimanche dernier, son souhait de rester au gouvernement, si le chef de l'Etat en décidait ainsi.
Nicolas Sarkozy a reconnu avoir "fait valoir que pour la nouvelle équipe gouvernementale, c'était mieux aussi que nous n'ayons pas, en plus de toutes les difficultés à gérer, à gérer les rendez-vous judiciaires inévitables." Le chef de l'Etat a salué le "courage" et la "dignité" dont a fait preuve Eric Woerth lors de la réforme des retraites. Il a souligné que l'ex-ministre du Travail était un homme "profondément honnête". "Quand il sera sorti de ses ennuis, j'espère qu'on pourra retravailler ensemble", a ajouté Nicolas Sarkozy.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/16/97001-20101116FILWWW00763-woerth-preserver-le-gouvernement.php
Reuters, AFP, 16/11/2010 | Mise à jour : 21:00
Nicolas Sarkozy a justifié aujourd'hui à la télévision l'éviction d'Eric Woerth du gouvernement, estimant que pour la nouvelle équipe gouvernementale, "c'était mieux" de ne pas avoir "à gérer les rendez-vous judiciaires inévitables" dans sa situation.
C'est Eric Woerth qui a estimé qu'il lui serait plus facile de se défendre dans l'affaire Bettencourt s'il quittait le gouvernement, a expliqué le président de la République. "Lui-même m'a dit qu'il serait plus simple pour lui de se défendre s'il n'était plus ministre, parce que quand on n'est plus ministre à la sortie du bureau du juge, il y a une caméra. Quand on est ministre, il y en a cent", a-t-il dit. Eric Woerth, qui a conduit la réforme des retraites en tant que ministre du Travail, avait pourtant manifesté le jour même du remaniement ministériel, dimanche dernier, son souhait de rester au gouvernement, si le chef de l'Etat en décidait ainsi.
Nicolas Sarkozy a reconnu avoir "fait valoir que pour la nouvelle équipe gouvernementale, c'était mieux aussi que nous n'ayons pas, en plus de toutes les difficultés à gérer, à gérer les rendez-vous judiciaires inévitables." Le chef de l'Etat a salué le "courage" et la "dignité" dont a fait preuve Eric Woerth lors de la réforme des retraites. Il a souligné que l'ex-ministre du Travail était un homme "profondément honnête". "Quand il sera sorti de ses ennuis, j'espère qu'on pourra retravailler ensemble", a ajouté Nicolas Sarkozy.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/16/97001-20101116FILWWW00763-woerth-preserver-le-gouvernement.php
16.11.10 @ 23:04