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Une toute nouvelle icône française : Tristane Banon
Affaire DSK: le procureur a demandé l’abandon des poursuites
NEW-YORK | Le procureur Cyrus Vance vient d'annoncer qu'il abandonnait les charges contre Dominique Strauss-Kahn. Sa victime présumée, Nafissatou Diallo, était convoquée ce soir dans le bureau du procureur à Manhattan.
S. B. / AFP | 22.08.2011 | 20:51Dernière mise à jour: 22.08.2011 | 23:28
A la veille d’une audience cruciale de l’ancien patron du FMI, qui pourrait se voir mis hors de cause et autorisé à regagner la France après trois mois d’un extraordinaire feuilleton politico-judiciaire, plusieurs médias américains ont indiqué que le procureur avait demandé au juge de classer le dossier.
Interrogé par l’AFP, le bureau du procureur Cyrus Vance s’est refusé à tout commentaire sur ces informations.
Auparavant, Nafissatou Diallo, la femme de chambre qui accuse "DSK" de lui avoir fait subir une relation sexuelle forcée le 14 mai à l’hôtel Sofitel de Manhattan, avait été reçue une dizaine de minutes dans le bureau du procureur. Mme Diallo, gilet gris et pantalon noir, piercing à la narine droite, est restée silencieuse à sa sortie du bureau du procureur, alors que son avocat, Kenneth Thomson, dénonçait un déni de justice devant les dizaines de journalistes présents.
"Le procureur de Manhattan Cyrus Vance refuse le droit à la justice d’une femme victime d’un viol", a-t-il déclaré. Me Thomson avait dit dès samedi au New York Times s’attendre à ce que Cyrus Vance abandonne les poursuites.
Le procureur, à l’origine de la spectaculaire arrestation de DSK le 14 mai, avait, un mois et demi après, émis des doutes sur la crédibilité de son accusatrice, et sa capacité à convaincre un jury. Il avait expliqué qu’elle avait menti à plusieurs reprises aux enquêteurs sur son passé et sur ce qui s’était passé tout de suite après les faits présumés. Elle avait également longtemps refusé d’admettre une conversation téléphonique -enregistrée- où elle aurait évoqué le 15 mai avec un ami emprisonné la fortune de M. Strauss-Kahn.
Dans une étonnante interview télévisée fin juillet, la jeune femme, illettrée, avait elle même reconnu des erreurs. Mais elle avait assuré qu’elle disait la vérité, en racontant les larmes aux yeux et avec force détails l’agression dont elle aurait été victime le 14 mai.
Une condamnation au pénal ne peut être obtenue à New York que par un jury unanime, convaincu "au delà du doute raisonnable".
Si le juge acceptait mardi une motion d’abandon des charges de la part du procureur, ce qui selon les experts est hautement probable, Dominique Strauss-Kahn, 62 ans, serait libre de quitter immédiatement les Etats-Unis.
Une affaire qui dure depuis trois mois
Le formidable bras de fer judiciaire, qui oppose depuis trois mois l’ancien patron du FMI et une femme de chambre guinéenne du Bronx, pourrait ainsi trouver son épilogue sans que l’on sache jamais ce qui s’est passé dans la suite 2806 du Sofitel.
Nafissatou Diallo accuse DSK de l’avoir agressée et contrainte à une fellation alors qu’elle venait faire le ménage en croyant la chambre vide.
M. Strauss-Kahn, auquel cette affaire a coûté son poste de directeur général du Fonds monétaire international, a plaidé non coupable le 6 juin. Ses avocats ont parlé d’une relation consentie, et décrit une femme uniquement intéressée par l’argent.
La fin de la procédure pénale ne met cependant pas un point final à l’affaire aux Etats-Unis. Les avocats de Nafissatou Diallo ont en effet lancé au début du mois une procédure civile devant un tribunal du Bronx pour obtenir des dommages et intérêts après l’agression "violente et sadique" contre leur cliente.
18 commentaires
De toute cette bataille juridique et médiatique, la journaliste a fait un livre, Le bal des hypocrites. Pour en parler, elle s’offre la couverture du Tecknikart du mois. Le magazine culturel risque de surprendre ses lecteurs. La jeune femme apparaît tout au naturel, les poings serrés et avance, telle une guerrière libérée de ses chaînes. Le mensuel titre en grosses lettres blanches «Bats-toi ou crève», le cri de l’âme de Tristane?
L’écrivain continue sa bataille dans la presse
Publié le 04 Novembre 2011 à 15h49 par Laure Costey
Extrait de source http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/video_-_tristane_banon_heroine_des_medias_246037
Tristane Banon sur C+:"Pourquoi le doute profite t-il à l'accusé et pas à la victime ?" Parce qu'on ne peut pas mettre la victime en prison.
Vu sur http://fr.twitter.com/#!/Maitre_Eolas/status/115847800025137152
D'après Me Eolas, avocat blogueur contacté par LEXPRESS.fr, dans une procédure classique, la plainte déposée par Tristane Banon serait restée lettre morte. Et de déplorer, dans ce contexte, l'audition de Dominique Strauss-Kahn en tant que témoin. "C'est un procédé scandaleux et une manoeuvre délibérée utilisée par le parquet pour détourner la loi, analyse-t-il. Dominique Strauss-Kahn n'est pas 'témoin' des faits reprochés par Tristane Banon, il en est l'auteur présumé!"
En effet, selon l'article 105 du code de procédure pénale, "les personnes à l'encontre desquelles il existe des indices graves et concordants d'avoir participé aux faits dont le juge d'instruction est saisi ne peuvent être entendues comme témoins".
Mais en entendant DSK comme témoin - alors qu'il est nommément visé par la plainte de Tristane Banon, la Brigade de répression contre la délinquance contre la personne (BRDP) s'octroie ainsi le droit de l'auditionner sans la présence de ses avocats, qui ne peuvent avoir accès au dossier... Ce qui porte "atteinte aux droits de la défense", c'est-à-dire ceux de DSK, souligne Me Eolas.
[...] L'experte en droit pénal avance une autre hypothèse à l'audition de DSK: le parquet pourrait manquer "d'indices graves et concordants" pour montrer que l'ex-patron du FMI a commis une infraction et ainsi justifier son placement en garde à vue.
Actualité > Société
Affaire Banon: pourquoi DSK est entendu comme "témoin"
Par Julie Saulnier, publié le 12/09/2011 à 10:19, mis à jour à 14:45
De source http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/affaire-banon-pourquoi-dsk-est-entendu-comme-temoin_1029135.html
La participation d'Anne Sinclair au Huffington Post français, le site politique de débats, que Le Monde entend lancer est conditionnée à la clarification de sa situation personnelle. Aussi longtemps que son époux restera impliqué dans une procédure de justice, Anne Sinclair éprouvera les plus grandes difficultés à reprendre une activité journalistique. L'extinction de la procédure pénale américaine et le classement sans suite de la plainte de Tristane Banon pouvait lui laisser espérer que la page serait tournée, mais l'affaire du Carlton de Lille laisse, de nouveau, planer une épée de Damoclès sur le couple. Il ne se passe plus un jour sans que l'instruction ne connaisse un rebondissement et que les Guignols de Canal+ ne fassent de DSK leur tête de turc.
Toujours aimée des Français, Anne Sinclair reste à l'écart de la polémique, François Morel ayant été le seul humoriste à la tourner en dérision sur France Inter. La solidarité sans faille dont l'ancienne animatrice a fait preuve à l'égard de son mari est rarement critiquée, mais cette bienveillance ne durerait pas si Anne Sinclair reprenait une activité journalistique de nature politique.
De source http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/information/65594/anne-sinclair-bienvenue-chez-tf1-.html
De source http://www.philippebilger.com/blog/2011/09/une-france-en-r%C3%A9duction.html
Moi c'est (bip) avec qui ça s'est très mal passé, un chimpanzé en rut".
"Il m'a proposé qu'on se voie, il m'a donné une adresse que je ne connaissais pas (...). Là, il a gentiment fermé la porte. J'ai posé le magnétophone tout de suite pour enregistrer. Il a voulu que je lui tienne la main pour répondre parce qu'il m'a dit: Je n'y arriverai pas si vous ne me tenez pas la main. Et puis après, de la main, c'est passé au bras et puis, c'est passé un peu plus loin. J'ai tout de suite arrêté".
"Après, ça s'est très très mal fini. On a fini par se battre quand même, ça s'est fini très très violemment. On s'est battu clairement, au sol (...). Moi, j'ai donné des coups de pieds. Il a dégrafé mon soutien-gorge, il a essayé d'ouvrir mon jean". "Quand on se battait, je lui avais dit le mot viol pour lui faire peur, ça ne lui a pas fait peur plus que ça".
Si Tristane Banon a redit sa satisfaction d'avoir été entendue par la justice [NDLR: le parquet de Paris] elle s'est insurgée de l'indulgence accordée à DSK. Pour elle l'homme politique est « malade » et aurait besoin d'un traitement. Elle accuse alors ses proches de trop le couvrir plutôt que de l'aider : « L'addiction sexuelle, ça se soigne. [...] Si on ne le soigne pas, c'est criminel. » a-t-elle asséné.
Ses accusations se tournaient notamment vers Anne Sinclair, l'épouse de Dominique Strauss-Kahn : « À trop protéger les gens qu'on aime, par amour à mon avis [...] on en finit par devenir soi-même criminel. [...] Il faut s'endormir avec ça. À sa place, j'aurais du mal ». Tristane Banon affirme en effet que l'ancienne journaliste vedette de TF1 doit accepter sa part de responsabilité dans les différentes histoires d'agressions sexuelles dont est accusé DSK.
Mais Anne Sinclair a fait son choix. Malgré les épreuves, elle fait preuve d'un soutien indéfectible à son mari. Que voulez-vous, le cœur a ses raisons que la raison ignore...
Anne Sinclair face aux accusations de Tristane Banon
Article par Marine CLUET, le 05/11/2011
Extrait de source http://people.plurielles.fr/news-people/anne-sinclair-face-aux-accusations-de-tristane-banon-6809194-402.html
Vendredi 4 novembre 2011 à 06h00 | Mis à jour le 4 novembre 2011 à 08h46
Par Véronique Fourcade
L'affaire DSK côté famille
Ivan Levaï, journaliste et ex-mari d'Anne Sinclair, signe un livre-témoignage dans lequel il défend bec et ongles Dominique Strauss-Kahn. Une position qui lui vaut d'être vilipendé dans les médias
«Chronique d'une exécution » (Le Cherche Midi, 189 pages, 15 euros) commence par le maelström qui réveille son auteur à 4 h 30 du matin le 14 mai lorsqu'il apprend l'interpellation de DSK. Il s'achève au retour en France d'« Anne et Dominique », le 4 septembre. Ivan Levaï tient une sorte de journal sur les développements de l'affaire, y consigne ses réflexions, illustrées de nombreuses citations littéraires et d'anecdotes sur les affaires de sexe qui ont bousculé les puissants du monde.
« Sud Ouest ». Ce livre est un plaidoyer doublé d'une autobiographie qui décrit vos connexions entre familles recomposées. Qu'est-ce qui vous a poussé défendre ainsi Dominique Strauss-Kahn ?
Ivan Levaï. C'est une voix amicale : je ne suis pas avocat, ou policier, ou psy pour ceux que j'appelle « ma tribu ». J'ai tenté de faire comme un travail de journaliste, en restant froid et neutre. Il se trouve que je suis le premier mari d'Anne Sinclair. Ce n'est ni ma faute ni la sienne. C'est donc pour nous une histoire de famille, puisque nous avons des enfants ensemble. Pour la première fois de ma vie, je me suis retrouvé impliqué dans une histoire de dimension planétaire.
À partir du 15 mai et durant tout l'été, j'ai été sollicité par tous les médias pour m'exprimer sur l'affaire. J'ai répondu négativement en expliquant que je publierais un livre au terme du procès. Je ne pensais pas que ce serait si rapide.
Extrait de source http://www.sudouest.fr/2011/11/04/l-affaire-dsk-cote-famille-544569-4697.php
Levai sur DSK Vs Polony & Pulvar [Pol] Ruquier... par peanutsie
Afin de lui permettre de poursuivre "publiquement (...) sa démarche de vérité" - et de tenter de remédier à l'image que ces attendus donnent de leur client - les avocats de DSK, Mes Henri Leclerc et Frédérique Baulieu, ont rendu publique une partie de cette déposition.
On y lit cette question des enquêteurs à l'ex-favori socialiste pour l'élection présidentielle de 2012 sur le détail des faits survenus dans un appartement parisien, en février 2003. Et sa réponse: "J'ai essayé de la prendre dans mes bras. J'ai tenté de l'embrasser sur la bouche. Elle m'a repoussé fermement. Elle m'a lancé, en substance 'Ca va pas!' J'ai de suite relâché mon étreinte, elle s'est emparée de ses affaires et elle a quitté l'appartement furieuse".
Le parquet a considéré que cette amorce de baiser pouvait "être qualifiable d'agression sexuelle", délit prescrit trois ans après les faits, ce qui a justifié le classement sans suite de la plainte contre DSK.
"Chacun peut ainsi apprécier le comportement de Dominique Strauss Kahn, mais il ne constitue en aucune façon, au plan juridique, une agression sexuelle. Les faits dénoncés par Tristane Banon sont imaginaires", concluent ses avocats.
Avec AFP
De source http://www.lexpress.fr/actualite/politique/selon-dsk-banon-l-a-repousse-il-l-a-laissee-partir_1040680.html
De la même URL... Verbatim
Les avocats de DSK, Mes Henri Leclerc et Frédérique Baulieu ont transmis une partie des questions posées par les policiers à Dominique Strauss-Kahn lors de son audition le 12 septembre et les réponses de l'ex-favori socialiste pour l'élection présidentielle.
- Question: "Pouvez-vous nous relater le déroulement de cette entrevue?
- Réponse: "Tristane Banon est arrivée, nous nous sommes assis, elle dans le fauteuil et moi dans le canapé. Elle m'a posé quelques questions peu différentes de celles du premier entretien. Après 25 voire 30 minutes, elle a terminé ses questions et nous avons discuté d'une façon plus légère. Nous avons "badiné". Nous avons adopté un ton de conversation plus personnel."
- Question: "Qu'entendez-vous par "badiné"?"
- Réponse: "Je lui ai demandé quels étaient ses goûts en matière d'art, de littérature, de voyages. Nous avons parlé sur un ton plus léger. Ensuite nous nous sommes levés pour partir. J'ai alors tenté de l'embrasser. Elle m'a repoussé. Elle a quitté les lieux mécontente. Le tout s'étale sur environ 30 voire 45 minutes."
- Question: "Pouvez-vous détailler cette scène?"
- Réponse: J'ai essayé de la prendre dans mes bras. J'ai tenté de l'embrasser sur la bouche. Elle m'a repoussé fermement. Elle m'a lancé, en substance 'Ca va pas?'. J'ai de suite relâché mon étreinte, elle s'est emparée de ses affaires et elle a quitté l'appartement furieuse."
Extrait de source http://www.lexpress.fr/actualite/societe/affaire-du-carlton-dsk-n-a-pas-ete-violent-avec-moi_1045098.html
Voleurs d'enfance by bkant
Puis il avait encore suivi un scandale chez nous avec le reportage "Jamais sans ma mère", qui critiquait l'ASE, l'équivalent de la DPJ, en France. Ca avait ému autant que le reportage sur la DPJ. Pour l'une des familles, il avait suffit de changer d'éducateurs et les enfants rentraient à la maison... ou en étaient rapprochés.
Tristane Banon se confie à Paul Arcand
Publié par Charles Payette pour 98,5 fm le vendredi 21 octobre 2011 à 08h44. Modifié à 11h37.
Exclusif (98,5 FM) - Depuis le jugement du parquet de Paris, Tristane Banon porte toujours sur elle la lettre qui dit que Dominique Strauss-Kahn est un agresseur sexuel.
De source http://www.985fm.ca/international/nouvelles/tristane-banon-se-confie-a-paul-arcand-103039.html
Leur son... oui, tout à fait, notre nouvelle icône a raison, en France, "on en veut pas à la personne qui a le vice, mais à celui qui le montre", et en France, "des gens sont en effet très puissants"... mais tous ne sont pas tout à fait intouchables.
De source http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/Carlton-Eiffage-compte-50.000-euros-de-voyages-et-parties-fines-418707/
"Pendant tout l’été, ils ont prié pour que les enquêteurs du procureur de New York, au pic de l’affaire, ne tombent pas sur leur escapade", admet un de leurs avocats. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que des policiers français, depuis le mois de février, les pistaient déjà. Rétrospectivement, DSK a aussi beaucoup de chance qu’il n’y ait eu aucune fuite du dossier lillois alors qu’il était en prison aux États-Unis. "À Paris, certains savaient et ont préféré ne pas en rajouter", confie une bonne source.
De source http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/DSK-les-filles-et-les-factures-414883/
Le grand show de Brigitte Lahaie sur la sexualité où chacun s'exprime librement, sans craindre le moindre jugement.