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Une maman dénonce le viol « en foyer » de son fils de quatre ans
Je ne sais pas quoi penser de cela, une maman dénonce le viol de son gamin de 4 ans dans le ressort de la cour d'appel de Versailles ou dans un foyer de la région parisienne. D'après la bouteille à la mer quelle vient de lâcher dans mon blog, son enfant serait représenté par Maître Delphine Roughol. Si c'est avéré, c'est assez triste.
Dans ce ressort, on ne doit ni signaler et encore moins médiatiser ce genre de situations, des abus ou des négligences dans des foyers de la Dass, ça embarrasse les professionnels, ça peut ternir leurs réputations ou les empêcher de travailler comme ils le souhaiteraient, en exploitant les conflits dits parentaux... Il faudrait en faire part aux journalistes de l'Indépendant, leurs demander d'être un peu plus prudents, de refuser même ce genre de témoignages ou de confidences.
Narbonne
Une maman dénonce le viol de son fils de quatre ans
Le 7/10/2011 à 06h00 par Nicolas Boussu | Mis à jour à 07h05
L'Indépendant de Narbonne
La mère de famille vit à Narbonne depuis juillet dernier avec son époux, Sergueï, leur petite-fille âgée d'un mois et demi, et sa belle-famille. Le 8 septembre dernier, la jeune femme s'est rendue dans la région parisienne pour récupérer son fils de quatre ans, actuellement placé dans un foyer d'urgence. "Je l'ai ensuite ramené à Narbonne. Je devais, initialement, le garder cinq jours avec moi. Mais il a commencé à adopter un comportement étrange et à se plaindre…".
Le garçonnet dort mal, semble perturbé. "J'ai parlé avec lui des heures entières. Et il a fini par m'avouer qu'un membre du foyer dans lequel il se trouve l'avait violé avec des objets… Il ne me l'a pas dit comme ça, évidemment, mais il me l'a dit. Il va très mal, il se cache sous la table, se fait pipi dessus. Dès qu'il croise un homme qui ressemble à son agresseur, il s'enfuit. Mon fils vit un calvaire". Le 19 septembre dernier, Maroi Ganjara a pris la décision de porter plainte au commissariat de Narbonne. Elle a également accompagné le garçonnet chez un pédopsychiatre. Mais aujourd'hui, elle se retrouve dans l'impasse. Le 14 septembre 2011, la cour d'Appel de Versailles a ordonné le maintien de l'enfant en placement.
"On ne le laissera pas repartir dans ce foyer !"
"C'est insupportable, on ne le laissera pas repartir là-bas dans ce foyer, ni en famille d'accueil, on a trop peur pour lui", prévient Sergueï Ganjara, le beau-père du petit. Ce matin, à 11 h, la famille doit confier l'enfant aux policiers, en application du jugement en assistance éducative prononcé à Versailles. Mais elle refuse catégoriquement. "On fera tout pour dénoncer cette histoire et crier haut et fort ce qui se passe dans ce foyer pour enfants. C'est abject !", martèle la maman. Le garçon placé depuis octobre dernier, eu égard au conflit parfois violent qui oppose ses parents, subirait le comportement malsain d'un employé de ce centre de la région parisienne depuis des mois. Cette famille vit désormais dans l'angoisse. "C'est un cauchemar", glissent les Ganjara à l'unisson. "Je n'accepte pas que les services de l'État puissent reprendre mon fils", lance Maroi Ganjara, âgée de 22 ans