« 567... ça n'en fini plus | Copé dénonce un « climat de suspicion » » |
« Plus lieu à A. E. majorité »
« Enfin la quille », me lancera la cour d'appel de Versailles. Autant d'empressement et d'entrain pour foirer puis classer des dossiers ou procédures, le plus souvent en catimini ou en toute discrétion, m'amusera pendant longtemps encore. « Un travail de professionnels », reprendra la Magistratüre de ce pays, « soupir et soulagement », poursuivra le pasteur d'Uhrwiller
Je vais évidemment « faire appel » de cette décision, peut-être la pousser également jusqu'en cassation. J'ai le très net sentiment que le juge pour enfant de Nanterre s'est encore une fois moqué de moi, du droit, de jugements ou d'arrêts précédents, c'est à dire de l'autorité de choses dites ou supputées jugées, etc...
Qu'est devenue Maître Delphine Roughol, Justine, maintenant majeure, ne pouvait-elle plus bénéficier des conseils ou services d'un cafard pour enfant ? Que contiennent ce « rapport éducatif » du 5 septembre 2011, ce « courrier » de Justine et qu'en pense le ministère public, s'il a pu en prendre connaissance avant ou même depuis « classement » ?
5 commentaires
Félicitation pour votre combat et meilleurs vœux de réussite familiale.
Mais des félicitations pour quoi, au juste? Pour n'avoir jamais baffé aucune de ces créatures ou crevures, ces juges et ces pros de la Dass? :-)
Où en est votre plainte, le parquet de votre secteur a-t-il déjà tout classé, ou l'a-t-il fait suivre à Nanterre?
http://www.lindependant.fr/2011/10/07/une-maman-denonce-le-viol-de-son-fils-de-quatre-ans-la-mere-de-famille-porte-plainte-avec-quatre-attestations-a-l-appui,70165.php
"C'est insupportable, on ne le laissera pas repartir là-bas dans ce foyer, ni en famille d'accueil, on a trop peur pour lui", prévient Sergueï Ganjara, le beau-père du petit. Ce matin, à 11 h, la famille doit confier l'enfant aux policiers, en application du jugement en assistance éducative prononcé à Versailles. Mais elle refuse catégoriquement. "On fera tout pour dénoncer cette histoire et crier haut et fort ce qui se passe dans ce foyer pour enfants. C'est abject !", martèle la maman. Le garçon placé depuis octobre dernier, eu égard au conflit parfois violent qui oppose ses parents, subirait le comportement malsain d'un employé de ce centre de la région parisienne depuis des mois. Cette famille vit désormais dans l'angoisse. "C'est un cauchemar", glissent les Ganjara à l'unisson. "Je n'accepte pas que les services de l'État puissent reprendre mon fils", lance Maroi Ganjara, âgée de 22 ans