« Très cher divorce... ou « Silence, on souffre » | Une soeur trisomique : « un antécédent familial », selon sa magistratüre » |
Un certain Jean Sarkozy, un « héritier qui dérange » ?
Je pense que mes discours et mes écrits dérangent beaucoup eux aussi, depuis très longtemps, y compris lorsque j'écris au juge des tutelles avec un tampon taillé dans une patate ou même lorsque j'écris ou envoie des trucs au château et à sa chancellerie. Des juges m'avaient intimé de faire brûler mes dossiers, de supprimer mon blog, de tout oublier... et d'aller voir un psy. J'ai désobéi, j'ai écrit plus et, depuis, j'ai empilé plus de papier encore.
Les français sont parmi les plus douillets de l'Europe ? Peut-être est-ce pour cela que la Dass a inculqué à Justine que la médecine, ça ne sert pas à faire soigner les enfants, ça sert juste à disculper des professionnels de la Dass. Je ne suis pas sûr que Justine, encore un peu jeune pour en juger, a perçu que la médecine, le droit et le savoir en général ont aussi beaucoup servis à ces mêmes professionnels pour motiver « mieux » leurs décisions, jugements ou arrêts et « bien » noircir son papa. Polanski tombe malade ? C'est un français, il est probablement trop douillet...
Jean, « un papa absent et une maman gravement malade, protectrice » ? Il n'a jamais été placé, malgré le divorce de ses parents ? Jean aurait un moment été « soudé » à son frère ? La Dass n'a pas d'antenne à Neuilly sa mère ?
C'est quoi, ce son, de RTL ? Ne sont-ils pas un peu taquins dans cette rédac' ?
RTL info | Politique | 13 oct. 2009 | Màj 20h29
Quand Nicolas Sarkozy critique la formation d'élites par la naissance...
Nicolas Sarkozy a salué mardi en la naissance des lycées en 1802 "le geste fondateur de notre éducation nationale", qui signifiait "la fin des privilèges de la naissance". Une déclaration faite à l'occasion de la présentation à l'Elysée de la réforme des lycées. Une phrase qui prend surtout du relief [???] que la polémique fait rage sur le projet de nomination de son fils de 23 ans, étudiant en deuxième année de droit, à la tête de l'établissement public d'aménagement du quartier d'affaires de la Défense (Epad). Une polémique que le Président juge "sans fondement" et "excessive".
Sur RTL, on peut aussi écouter l'opinion et le plaidoyer de Charles Pasqua, en faveur de Jean, « un garçon brillant » [NDLR: Charles est lui même plutôt âgé, il parle donc d'un « garçon » qui débute, en fac de droit], « aux qualités exceptionnelles », qui se serait déjà « énormément documenté, formé, sur tous les problèmes ». On apprend que Jean a « les mêmes qualités de dynamisme que son père » [NDLR: de ce père absent ou vu à la télé?] mais aussi autre chose en lui, qu'il a aussi, « probablement, une bonne part des qualités de sa mère » [NDLR: c'est à dire?]. Charles Pasqua nous assure que Jean sera à sa place, avec d'autres, à la tête de l'EPAD. Dans cet interview de Charles Pasqua, on apprend également que Jean a été « pré-désigné » par le groupe UMP du conseil général, pour être membre du conseil d'administration de l'EPAD. Jean n'aurait-il pas été « élu » par ce groupe ? Que signifie au juste avoir été « pré-désigné » par un groupe de l'UMP, c'est génétique ?
Ajout du 14... entendu sur France Info, peu après 9h00, Jean qui parle et nous dit qu'il a été élu ; je n'ai pas pu enregistrer le début du son au cours duquel il nous dit bien qu'il n'a pas été « nommé ». Jean nous dit peut être surtout qu'en France ou dans la République de son papa, nous avons des lois, très certainement les mêmes pour tout ceux qui ont un scooter et qui portent les codes de Nicolas Sarkozy :
Le Parisien du jour nous reparle encore d'Outreau et de sa justice. Je pensais qu'il s'agissait également d'un épisode à effacer de nos mémoires... Les français sont « méfiants » lorsqu'on leurs parle de sa justice ?
Le Monde du 14, « le surendettement frappe toujours plus »
Le Parisien du 13, page 5
Justice : les français restent « méfiants », le principal grief étant la « léthargie »
Enquête • Le bicentenaire du code de commerce (2/3)
Lesechos.fr • Le 01 février 2007, extrait
Tranches de vie au tribunal de commerce
Les mains du monsieur un peu grassouillet tremblent légèrement. Il a gardé son blouson et a posé doucement la chemise cartonnée sur la table. Elle contient tous ses papiers. Un peu de sa vie pour comprendre comment ils en sont arrivés là. Son regard cherche l'appui de la dame à la permanente chiffonnée qui se tient à ses côtés. Leur café-tabac est mis en liquidation judiciaire à cause d'une dette de 480.000 euros. La société était en nom personnel. Du jour au lendemain, tout sera vendu : le café-tabac, le petit pavillon dans lequel est venue vivre la mère de quatre-vingt-treize ans, fière de la réussite de sa fille et de son gendre, ancien magasinier, et aussi un appartement " acheté à crédit "pour économiser des impôts", qu'elle nous avait dit la banque ".
Au tribunal de commerce de Paris, le sort d'Eurotunnel et de ses 2.300 salariés est en train de se jouer en chambre du conseil. Mais ici, à Provins, en Seine-et-Marne, une autre chambre du conseil, dans un autre tribunal de commerce, règle la vie de monsieur et madame Tout-le-monde. Ce type d'audience se tient dans un lieu confidentiel, fermé au public, où seuls sont admis les dirigeants des entreprises concernées et leurs avocats, car s'y traitent les procédures collectives : mise en liquidation, redressement, plan de sauvegarde...
A la suite, un extrait du 20h de France 2, du 10 février 2007, soit dix ans après les plus sévères constats (notamment le rapport n° 1038 à la Présidence de l'Assemblée nationale le 2 juillet 1998). « Des chefs d'entreprise qui jugent des chefs d'entreprise, cette pratique est courante, elle se fait dans l'enceinte des tribunaux de commerce. (...) une institution parfois critiquée, mieux encadrée aujourd'hui (...) des réformes tardives qui devraient faire taire les critiques »... Puis suit une vidéo du 8 décembre 2007.
3 commentaires
http://www.youtube.com/watch?v=-1z1fjb40Ps
Cela informe sur la culture de Hortefeux et apporte ainsi un éclairage supplémentaire sur ses déclarations précédentes qui ont provoqué la polémique. Finalement pas besoin de diplômes lorsqu'il y a les bons gènes !
Tous ses propos semblent ainsi se tenir et faire sens. Lorsque l'on a la culture des "qualités génétiques" et donc des "défauts génétiques", on se place en pleine extrême droite... Avec les faits du prince on associe ainsi tradition d'ancien régime et extrême droite moderniste."
On peut revoir l'émission A vous de juger qui recevait Hortefeux:
http://programmes.france2.fr/a-vous-de-juger/57875315-fr.php
"Ce n'est pas parce que les mensonges sont inlassablement répétés qu'ils deviennent une vérité", nous dit-il encore. "Il a la politique dans les veines, le sens de l'engagement public coule dans ses veines"... juste après 5"35'; il nous dit très précisément ce qu'il en pense. Vers 7": "il a le sens de l'engagement civique" aussi. Peu après 26"30: "la passion mais en même temps, la raison", des qualités... "génétiques".
Jean Sarkozy fait face
BRUNO JEUDY
16/10/2009 | Mise à jour : 14:14, extrait
Toute la semaine, le « prince Jean », comme l'ont surnommé ses détracteurs, a donc affronté la tempête. Avec son visage juvénile et cette paire de lunettes qui lui donne un air si sérieux, il s'est défendu pied à pied. Sans jamais se départir de son calme. Cela ne l'a pas empêché de téléphoner «dix fois par jour» à son parrain Brice Hortefeux pour trouver du réconfort. «Il est affectivement éprouvé mais politiquement déterminé», confie le ministre de l'Intérieur. Pour le reste, Jean Sarkozy se réfugie chez lui auprès de sa jeune épouse Jessica, enceinte de six mois. «Quand l'orage se lève, il ne faut pas compter les gouttes», répond-il à ses amis qui lui demandent comment il fait pour résister à la pression.
En réalité, Jean Sarkozy s'était parfaitement préparé à cette opération - même s'il n'avait pas imaginé que la polémique qui suivrait aurait les honneurs de la télévision chinoise ! A 23 ans, le deuxième fils de Nicolas Sarkozy n'a déjà plus rien d'un bleu. S'il manque de diplôme, il ne manque pas de culot. Ni de sens politique. «Il y a une évidence génétique. Jean fait de la politique comme les petits-fils de De Gaulle, la fille de Le Pen ou la fille de Jacques Delors», s'exclame Isabelle Balkany, sa marraine dans le département des Hauts-de-Seine. «Le petit a fait ses preuves», renchérit Charles Pasqua, qui l'adore.