« Un certain Jean Sarkozy, un « héritier qui dérange » ? | Cali méro ca li méro... ou l'autruche ? » |
Une soeur trisomique : « un antécédent familial », selon sa magistratüre
Le tréma ou l'Umlaut de « sa magistratüre » n'est pas une faute de frappe. J'assume ; ce billet aussi. Je ne cherche pas à récolter des points goodwin, je les laisse au SNEP. J'assume, tout simplement, comme ce billet.
Avec ce faire part, plus bas, d'une AFAEI, chez Dalloz ainsi qu'à la HALDE ou à la FNATH, des pros comprendront peut-être un peu mieux pourquoi, en décembre dernier, leur fumeux et tout nouveau Code du handicap flambait, par dessus deux autres ouvrages ? J'assume cet autodafé de livres inexploitables, tout autant que ce billet-ci.
Mi avril 2008, Madame Laurence Ballet, Directrice juridique des éditions Dalloz, m'avait fait l'honneur d'un commentaire alors que je ne comprenais pas bien ce que m'avait écrit le juge Xavier Serrier. Je me demande si les éditions Dalloz commenteront un jour ce billet-là à moins que celui-ci. Il en reste, des pros, sur la toile ?
Ces deux faire part, à la suite, sont publics. Ils sont parus dans un grand quotidien régional. Même le corbeau de l'histoire, une tata de la Dass, et sa soeur, le pasteur d'Uhrwiller, pourraient s'aventurer à les commenter. Le pasteur d'Uhrwiller n'a jamais constesté aucune décision de Nanterre, bien au contraire. Qu'en diront les spécialistes plus laïques de l'OSE France ainsi que la Direction de cette même association qui oeuvre elle également dans ces domaines du dit « handicap mental », mais plutôt et historiquement en faveur de certaines catégories socio-cultuelles ? Le pasteur d'Uhrwiller a déjà été assez clair avec moi : la « polémique », ça ne l'intéresse pas ; d'après ce que j'ai pu constater, les débats devant la cour d'appel, ça ne l'intéresse pas trop non plus.
Le second faire part, de l'AFAEI, va pouvoir constituer une belle « preuve » pour deux intellectuels putéolois, ils pourront l'ajouter à leur dossier « psychiatrique » me concernant. Nous ne pourrons que « mieux » situer la qualité de certaines expertises socio-judiciaires : de comptoir voire de cours de récré de primaire, d'il y a plus de 30 ans.
Maître Delphine Roughol me dira encore qu'on expose pas « la vie privée de Justine », pas comme ça ? La réponse que je lui ferais sera tout aussi simple que celle que j'adressais il y peu, au pasteur d'Uhrwiller : prout.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause... Un son « explicite », posté en septembre dernier.
Dialogue
Nicolas Sarkozy et Michel Onfray - Confidences entre ennemis
D'un côté, un philosophe athée, antilibéral, hédoniste et libertaire. De l'autre, un candidat à la présidentielle n'hésitant pas à remettre en cause la loi sur la séparation de l'Église et de l'État, un ministre de l'Intérieur rêvant au rétablissement de l'autorité. À notre initiative, les deux hommes se sont rencontrés. On s'attendait à un choc frontal, il a été question de la croyance, du mal, de la liberté, de la transgression. Voici un court extrait du dialogue qui a provoqué la polémique dans les semaines précédant le premier tour de l'élection présidentielle. Le dialogue intégral, sur 8 pages, est publié dans Philosophie magazine n°8.
M. O. : Je ne suis pas rousseauiste et ne soutiendrais pas que l'homme est naturellement bon. À mon sens, on ne naît ni bon ni mauvais. On le devient, car ce sont les circonstances qui fabriquent l'homme.
N. S. : Mais que faites-vous de nos choix, de la liberté de chacun ?
M. O. : Je ne leur donnerais pas une importance exagérée. Il y a beaucoup de choses que nous ne choisissons pas. Vous n'avez pas choisi votre sexualité parmi plusieurs formules, par exemple. Un pédophile non plus. Il n'a pas décidé un beau matin, parmi toutes les orientations sexuelles possibles, d'être attiré par les enfants. Pour autant, on ne naît pas homosexuel, ni hétérosexuel, ni pédophile. Je pense que nous sommes façonnés, non pas par nos gènes, mais par notre environnement, par les conditions familiales et socio-historiques dans lesquelles nous évoluons.
N. S. : Je ne suis pas d'accord avec vous. J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1 200 ou 1 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d'autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense.
Darcos au secours de Jean Sarkozy
AFP, 14/10/2009 | Mise à jour : 09:12
Le ministre du Travail Xavier Darcos a volé à son tour aujourd'hui au secours du fils du chef de l'Etat, Jean Sarkozy, dont la probable accession à la tête de l'Epad, l'établissement public de La Défense (Hauts-de-Seine), continue de susciter le malaise y compris à l'UMP. "Je peux comprendre que, lorsqu'on a soi-même des enfants à aider dans leur carrière, ce soit difficile à comprendre, mais cette affaire au demeurant est pour moi incompréhensible", a déclaré M. Darcos sur Canal +. "Où est le problème? Il a été élu par le peuple conseiller général, président de son groupe par des conseillers généraux, il sera vraisemblablement élu par le conseil d'administration de l'Epad, ça s'appelle la démocratie", a défendu M. Darcos. Dénonçant un "climat délétère et répugnant qui cherche à cibler les personnes au lieu des sujets, souvent d'ailleurs alimenté par l'extrême-droite", M. Darcos a invité à "ne pas faire un délit de sale nom auprès de Jean Sarkozy ou un délit d'anti-jeune". Répondant aux critiques sur l'âge (23 ans) et la formation de Jean Sarkozy, M. Darcos a répondu qu'il y avait "11.500 élus de moins de 25 ans en France".
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Politique
Duflot dénonce le «négationnisme» climatique et se reprend
Le Parisien avec AFP | 15.11.2009, 12h10 | Mise à jour : 12h30
Dérapage verbal ou simple lapsus? Interrogée lors du «Grand rendez vous» d'Europe1/Le Parisien-Aujourd'hui en France sur le fait que certains scientifiques réfutent la thèse du réchauffement climatique, elle a répondu qu'ils étaient «minoritaires» et «financés par les lobbies». «Le négationnisme climatique se heurte à la réalité», a-t-elle poursuivi, aussitôt interrompue par le journaliste Jean-Pierre Elkabbach, qui lui a lancé: «Pourquoi vous employez des mots comme négationnisme ? Vous voyez ce que ça renvoie comme connotation ?».
«Parce que c'est la réalité !», s'est d'abord justifiée Cécile Duflot en assurant que «toutes les études convergent» pour prouver le réchauffement climatique. Mis à part «quelques non-spécialistes», comme «Claude Allègre», «il n'y a en a pas plein» qui le réfutent, a-t-elle dit. «Tout le monde sait» que le réchauffement est «une réalité» même si «le pire n'est jamais certain», a-t-elle ajouté.
Un peu plus tard dans l'émission, Mme Duflot est revenue sur l'utilisation du mot «négationnisme», qu'elle a retiré car c'est «sûrement maladroit». «Je ne suis pas accrochée à cette formule. A chaque fois qu'on touche à ce mot-là ou à ce sujet-là, on évoque tellement de sujets qui peuvent être blessants pour certains... Bien sûr que moi, je ne suis pas du tout dans cette dynamique-là», a-t-elle expliqué.«Ce que je veux dire, c'est que ceux qui sont en situation de contester la réalité de la dégradation du climat ne sont pas seulement minoritaires mais pas crédibles scientifiquement», a ajouté la patronne des Verts, tête de liste aux élections régionales en Ile-de-France.