« La famille Clövers, à l'e-télé ? | Voilà qu'Anastasie s'avance, avec ses ciseaux menaçants ? » |
Dans ce blog, tout est bien évidemment irréel, pas avéré ou « privé »
Qui donc prendrait encore au sérieux ce qu'on lit ici et là, sur Internet, cette vaste « poubelle à provocs » ?
Si je devais retourner bientôt à Versailles, j'insisterais pour que la Cour orthographie convenablement le nom ainsi que le prénom de la mère de Justine. En effet, dans ces arrêts rendus, ils ne sont pas conformes à l'état civil français. Je ferais peut être appel, rien que pour cette « broutille » ; j'en parlerais très prochainement au juge pour enfant de Nanterre.
La mère de Justine n'était pas attachée à son tréma mais elle était très fière de son prénom. De nombreux fichiers ou documents de notre grandiose Administration en attesteront, y compris des décisions rendues par le passé, par l'Administration judiciaire française, en tous cas, celle de l'est de ce même pays. Plus à l'ouest, c'est assez différent.
Par le passé, j'avais du saisir un JAF pour faire valider mes DVH ou « mes droits sur Justine ». La mère de Justine et moi-même avions finalement très simplement conclu un accord, « à l'amiable ». Depuis que les tantes maternelles de Justine se sont rapprochées de la Dass du 9-2, tout est, là encore, très différent, vraiment « très conflictuel avec le père ».
Quelle magistratüre... « Considérant que les moyens développés par M. KANT visant à remettre en cause, par delà le jugement du 16 juillet 2009, des décisions antérieures à présent définitives, ne seront pas retenus » ?
D'un peu de papier noirci d'encre rendu ce 15 janvier 2010
2002 : « il n'en demeurait pas moins que l'issue en aurait été incertaine »
2003 : « toutes les décisions s'imposent »
Decembre 2004 : « ni père, ni mère », mais un Richard Josefsberg
IFrap, janvier 2005 : « Les rapts de l'administration »
Novembre 2005, « bon courage »
2007, des décisions « limitées dans le temps »
Fin 2009, un constat d'huissier, une « chose pas réelle » écrite sur un CD ROM