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Une main courante, un document « confidentiel »
Par le passé, la plupart du temps, on me refusait des dépôts de plaintes. Occasionnellement, la police ou la gendarmerie acceptait que je puisse déposer des mains courantes. Au commissariat de Taverny, c'était un peu moins vrai. En effet, au fil du temps, mes relations avec ces équipes là ont été de plus en plus tendues. Je suppose que ce poste là était un peu trop proche du château de Vaucelles, je l'avais bien perçu, fin décembre 2004. Mais à Taverny, un jour, tout en me chassant, on m'avait quand même suggéré d'aller déposer ma main courante dans la ville d'à côté. Je pense que c'était une très bonne idée, le commissariat de Taverny n'était à l'époque pas réputé pour son accueil ni pour sa confidentialité, des sujets et un bâtiment qui ont fait l'objet de diverses et nombreuses questions, à l'Assemblée nationale.
Entre 2004 et 2005, les travailleurs sociaux de l'OSE France ont réagit d'une manière assez simple : toutes les « difficultés » que j'avais exposées ont été imputées à un terrible trouble de la relation père-enfant. Au printemps 2005, la cour d'appel de Versailles a balayé les déclarations de Justine. Le juge Anne Valentini décidait ensuite de rompre cette relation et de « placer » Justine en Alsace, chez le pasteur d'Uhrwiller, pour la « protéger »...
A Bagneux, je rencontrais beaucoup moins de difficultés tant que je ne cherchais pas à déposer une plainte ; mais c'est assez normal, souvent la police a d'autres priorités, par exemple, faire gonfler des chiffres, compter plutôt les chaussettes et les yaourts volés. En août 2005, j'ai lourdement insisté, j'ai d'abord du négocier pendant près de 3 heures, avec deux OPJ. Ils ont alors fini par négocier eux-même, sous mon insistance, avec le magistrat de service, à Nanterre. J'apprenais sans grande surprise que j'étais déjà « connu » au TGI. Ce magistrat a fini par leurs dire qu'ils pouvaient enregistrer ma plainte, puis que le TGI allait voir ce qu'il en ferait. Après ces âpres négociations, j'avais enfin pu déposer plainte contre X, en raison d'atteintes à l'autorité parentale, désignant tout de même Richard Josefsberg, le Directeur du château de Vaucelles. A l'époque, Justine avait « disparue » en colo, inscrite par l'OSE. Je l'avais appris alors que l'OSE me refusait des dates pour des DVH pourtant accordés par le juge pour enfant. Beaucoup plus tard, j'ai relancé le TGI. J'aurai souhaité savoir ce qu'était devenu cette plainte contre X. Mais malgré mes relances, je n'ai jamais eu la moindre réponse.
Depuis, je pense être « connu » aussi à la cour d'appel de Versailles. En janvier 2009, je me disais qu'une sorte de fléau pouvait s'abattre sur n'importe quelle cour d'appel de France, je supposais que Versailles préférerait un jour se déporter ; j'ai eu tord. A Paris, malgré tous mes efforts, je pense être passé inapperçu. Mais par l'effet d'un hasard, je pourrais être « connu » aussi, bientôt, à Grasse ainsi qu'à la cour d'appel Aix-en-Provence.
Attention, le document qui suit est confidentiel, c'est une copie qui ne devrait pas être en ma possession. D'autre part, cette affaire est dite « privée ». Je ne souhaiterais pas que les pages qui suivent se retrouvent un jour placardées ou éparpillées sur Internet, par exemple, sur Facebook, enjolivées par des injures et de quelconques suggestions glauques. Les afficher là ne me pose pas de problème, je les avais déjà publiées dans mon précédent blog, dès 2005. Plutôt que de me répondre ou de réagir sainement, par exemple, en public, les professionnels de l'OSE ont alors persisté à verser des « rapports » ou leur fiel au dossier « d'assistance éducative » de Justine ; fin octobre 2005, elle « disparaissait ». Par la suite, le Docteur Magalie Bodon-Bruzel allait rendre un « rapport » psychiatrique qui a sauvé la face ou la réputation historique de tous ces professionnels qui ont oeuvré à secourir ma fille Justine.
Jeunes UMP : un maire PS dérape
Par Bastien Hugues
Le Figaro, 11/02/2010 | Mise à jour : 08:57, extrait
En colère après la publication sur Facebook d’une douzaine de photos personnelles, dans un groupe intitulé «Lavaud, les Angoumoisins ne veulent plus de toi», le maire socialiste d’Angoulême, Philippe Lavaud, s’est emporté dans les colonnes de La Charente Libre, comme l’a remarqué le blogueur Guy Birenbaum.