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Tiens, « la rafle », présentée par un avocat
Voilà que Maître Eolas nous fait à son tour découvrir « la machine administrative, froide, efficace, organisée et insensible » ou, dans son blog, « le crime administratif ». Un tel billet est assez dans l'air du temps.
Par le passé, en mars 2007, je m'étais rendu à l'hôtel de ville de Paris car je souhaitais rencontrer les fils et les filles d'enfants juifs déportés par la France. Ce jour là, j'avais passé outre ou bravé les interdictions... comme assez souvent, au cours de ces dernières années. J'avais pris des photos de documents puis j'en avais publié quelques unes dans mon blog. Je notais alors que « L'exposition à la mairie de Paris était très intéressante, on y percevait l'appareil administratif et l'usage qui a déjà pu en être fait. » Je visitais l'expo le 10 mars ; j'attendais alors le 29, pour aller plaider à la cour d'appel de Versailles. A cette audience, ma fille n'était pas là, le pasteur d'Uhrwiller non plus. J'avais réclamé un renvoi car ma fille n'était pas là, ce que les juges ont refusé. Le 29 mars 2007, à Versailles, j'étais arrivé avec quelques livres, deux d'entre eux m'avaient été utiles. Le président de la chambre des créatures inférieures en avait alors reconnu au moins un :
• Internat et séparations, de Richard Josefsberg,
• Justice et psychiatrie, normes, responsabilités, éthique, colloque de l'ENM,
• Dialogue n°165, l'autorité parentale (...), pour un article de Claire Davidson,
• Le sanglot judiciaire,
• Le pouvoir psychiatrique, de Foucault,
• La responsabilité des magistrats, GIP recherche, justice,
• La demande de justice en protection de l'enfance, de Jean Lavoué
La cour d'appel de Versailles, mars 2007
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