« Après la Suisse, les Etats Unis | Une petite virée à la cour d'appel de Metz » |
La présidente : « avec vos enfants en plus ! »
« Je rassure Madame la présidente, ce 1er octobre 2009, je ne pouvais pas circuler à Puteaux, avec mes enfants. La petite devait être à l'école, à Bagneux, quant à la grande, elle est très bien protégée, par le pasteur d'Uhrwiller et des gorets de l'ARSEA Alsace. » On aurait pu m'entendre brailler, à Nanterre, en même temps que « Mamadou », « récidiviste », ayant quelques « problèmes de vue ou difficultés de lecture »... J'ai le sentiment d'avoir encore une fois pétaradé dans l'actu avec ces histoires d'assurance et d'usurpation de plaques, dans le 9-2, à Puteaux. D'autres ont pu pétarader dans l'affaire Colona ; sous peu, selon le Parisien du jour, certains de ses soutiens présumés passeront devant la cour.
Pas de presse - ni vraiment de prétoire - pour ce qui concerne mes affaires « privées ». Je crois que ces histoires « d'assistance éducative » n'intéresse plus ni les journalistes, ni le peuple. Pas de presse non plus pour Madame Muller. Il y a peu, des journalistes sont bien allés à sa rencontre, dans le midi, puis ils ont préparé un petit article pour un grand tirage français. Mais, peu après, Madame Muller apprenait que cet article ne paraitrait probablement jamais, cet hebdo ayant soudainement changé sa « politique éditoriale ».
Je ne sortais pas pour ce Parisien, mais pour jouer au loto ; ça m'arrive, très exceptionnellement. Avec la poisse que j'ai, je vais bientôt gagner le gros lot, puis les juges du coin vont me faire enfermer ; je pense qu'ils sont toujours persuadés que j'ai des comptes au Japon, une grosse somme en ma possession ne ferait donc que renforcer leurs certitudes. J'espère cependant que je pourrais faire disparaitre une partie des gains, afin que quelques amis ou proches puissent me faire parvenir parfois des oranges, en QHS ou en UMD, un quelconque goulag loin du net et des kiosques à journaux.
Il faut que je rappelle Madame Millet, la grand-mère de Sébastien, je viens d'avoir un message. Elle aurait « des trucs à m'expliquer ». Elle m'apprend surtout qu'elle devrait être rejugée au moins de juin ; on en a déjà beaucoup rigolé. « Peut-être qu'on s'est trompé », nous avait un jour dit le ministre... Elle s'efforce encore de faire valoir ses droits.
Je sortais aussi pour un jack 3,5, le casque de mon GoGear est cassé. J'empoigne mon fer à souder.
Le Parisien du 14... mars 2004, c'est encore d'actualité ?
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La "société du care" de Martine Aubry fait débat
LEMONDE.FR | 14.05.10 | 15h31 • Mis à jour le 14.05.10 | 16h13
Martine Aubry a réussi son coup : son interview au site Mediapart, puis sa tribune dans Le Monde au sujet de la "société du 'care'" n'en finissent pas de provoquer le débat dans la classe politique.
Retour en arrière. Le 2 avril, Mediapart publie une longue interview de la première secrétaire du Parti socialiste (PS). Elle y détaille ses projets pour le PS et lance un appel "à une société du bien-être et du respect, qui prend soin de chacun et prépare l'avenir" et fustige "le matérialisme et le tout-avoir".
Cette "société du bien-être", du "soin" ou du "care" ("soin" en anglais) va devenir le socle de la réflexion de Martine Aubry. Le "care" est en fait une notion de philosophie anglo-saxonne (David Hume et Adam Smith notamment) qui se centre sur les interactions empathiques, sur le souci de l'autre. L'idée a été modernisée par le mouvement féministe américain des années 1960, devenant une forme de "moralité des femmes", une éthique particulière développée notamment par Carol Gilligan.
La suite: http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/05/14/la-societe-du-care-de-martine-aubry-fait-debat_1351784_823448.html#ens_id=1351472
Evocation de son passé judiciaire : Devedjian débouté
LEMONDE.FR | 14.05.10 | 19h49 • Mis à jour le 14.05.10 | 19h56
L'affaire remonte au mois de décembre. Plusieurs blogs avaient repris un article du journal local Le Petit Varois, datant de 1965. Cet article racontait comment "deux jeunes étudiants à la Faculté de droite de Paris" s'étaient fait prendre à tenter de voler de l'essence au volant d'une Simca 1000 dérobée, ce qui leur avait valu une comparution en correctionnelle et un an de prison avec sursis. Le nom de ces deux étudiants : Patrick Devedjian et Alain Madelin, alors membres du groupe d'extrême droite Occident.
Suite à ce "buzz", trois quotidiens locaux appartenant au groupe Hersant, Nice-Matin, Var-Matin et Corse-Matin, avaient publié un même article rappelant ces faits. Deux étudiants portant ces noms avaient bel et bien été condamnés pour vol de voiture et d'essence. Pire, alors qu'Alain Madelin était pris par la police sur le coup, Patrick Devedjian parvenait à fuir une nuit durant, avant de finir par se rendre. La police avait perquisitionné le bateau occupé par les jeunes hommes, y trouvant des pièces de voiture et une arme.
Patrick Devedjian a donc porté plainte en diffamation contre les trois quotidiens locaux pour avoir évoqué ces faits prescrits. Il leur réclamait 50 000 euros de dommages et intérêts et la publication du jugement dans leurs colonnes.
Mercredi 12 mai, la justice a donné tort au ministre de la relance. ...
La suite: http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/05/14/evocation-de-son-passe-judiciaire-devedjian-deboute_1351900_823448.html
PENTA-ACQUATELLA (HAUTE-CORSE)
«J’ai obéi à une autre loi»
Le Parisien | 14.05.2010, 07h00
PATRIZIA GATTACECA enseignante et artiste qui a hébergé Yvan Colonna pendant sa cavale
Attachée à ses racines, Patrizia Gattaceca n’a jamais quitté Penta-Acquatella. A quarante-cinq minutes de Bastia, on atteint ce petit village de quarante habitants au bout d’une route étroite et sinueuse, où les cochons sauvages et les vaches sont plus nombreux que les véhicules. La maison est isolée, l’accueil est chaleureux. Dans la grande pièce à vivre, au milieu des chats, un piano, une guitare, des partitions. Sur la table, des lettres de soutien. A quelques jours de son procès, la chanteuse de 52 ans revient sur les raisons qui l’ont poussée à héberger le berger de Cargèse.
AFP, 19/05/2010 | Mise à jour : 10:01, extrait
Le procès d'Yvan Colonna et de cinq de ses amis, soupçonnés de l'avoir aidé ou caché durant ses quatre années de cavale, s'est ouvert ce matin devant le tribunal correctionnel de Paris.
AFP, 19/05/2010 | Mise à jour : 13:59, extrait
Un instant, la présidente Jacqueline Audax se tourne vers Yvan Colonna, seul dans son box sécurisé : "Et M. Colonna d'Istria, vous le connaissiez" à l'époque?" Yvan Colonna marque un temps d'arrêt. Hésite, avant de lâcher dans un sourire : "Demandez lui d'abord..." Le ton est donné. Soutien pour soutien, Yvan Colonna ne révélera rien.