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La voix de l'enfant
J'ai le sentiment qu'aucun des éléments qui suit ne figure au dossier du juge pour enfant de Nanterre. L'institution ne semble s'être souciée que du bien être des tantes maternelles de Justine ainsi qu'à protéger, parmi d'autres, Richard, le directeur de l'établissement de l'OSE de Taverny. Il me vient toujours autant la nausée lorsque je dois parcourir les éléments que les juges de Nanterre ont écarté, dans l'intérêt de l'enfant prétendront-ils.
Supprimé, pour répondre à une demande exprimée le 11 décembre 2009
Justine, décembre 2004.
2 commentaires
Commentaire de: maina [Visiteur]
bonjour ma fille et aujourd hui en danger dans une institution ou on parle de maltraitance institutionnelle,l administration et au courant une enquete a ete faite aujourd hui on fait pression sur ma fille qui a porter plainte pour violence a son encontre,elle et handicapee tous le monde prefere se taire sur ce qui se passe et le peu de personne qui temoigne sont eux aussi sou pression 'licenciment..
j ai besoin de conseil pour eviter un drame merci a vous de me contacter si vous pouvez nous aider le cri d une maman merci
j ai besoin de conseil pour eviter un drame merci a vous de me contacter si vous pouvez nous aider le cri d une maman merci
28.03.08 @ 13:30
Commentaire de: bk [Membre]
Bonjour Maina,
Dans ce genre de dossiers, il arrive que des intérêts tiers - notamment ceux des organismes et hiérarchies chargés des aggréments et du contrôle - pèsent bien plus lourd que l'intérêt de l'enfant. Si vous êtes confrontée à une institution qui semble "s'autoprotéger" (pressions sur la victime, menaces de licenciement, etc) et que vous n'avez pas un franc soutien d'une personnalité ou d'un syndicat professionnel, vous n'aurez que peu de chances d'aboutir dans vos démarches.
Vous n'avez pas beaucoup de solutions. Soit vous décidez de poursuivre, faites alors le plus de bruit possible afin que votre fille soit entendue. S'il ne se passe rien au bout de quelques jours, ce sera probablement peine perdue. Une alternative à un tel combat serait de plaider ou de vous assurer par tous les moyens possibles que votre fille change d'institution.
Vous êtes une maman et votre fille serait victime de ces violences et de ces pressions. Vous pourriez vous rapprocher de mouvements féministes, ils seraient les plus à mêmes de vous aider à donner de la voix.
Votre fille est handicapée et une enquête a déjà été faite par l'administration. Vous pourriez aussi vous adresser à l'UNAPEI dans votre région et leur faire part des difficultés que vous rencontrez.
Bon courage
Dans ce genre de dossiers, il arrive que des intérêts tiers - notamment ceux des organismes et hiérarchies chargés des aggréments et du contrôle - pèsent bien plus lourd que l'intérêt de l'enfant. Si vous êtes confrontée à une institution qui semble "s'autoprotéger" (pressions sur la victime, menaces de licenciement, etc) et que vous n'avez pas un franc soutien d'une personnalité ou d'un syndicat professionnel, vous n'aurez que peu de chances d'aboutir dans vos démarches.
Vous n'avez pas beaucoup de solutions. Soit vous décidez de poursuivre, faites alors le plus de bruit possible afin que votre fille soit entendue. S'il ne se passe rien au bout de quelques jours, ce sera probablement peine perdue. Une alternative à un tel combat serait de plaider ou de vous assurer par tous les moyens possibles que votre fille change d'institution.
Vous êtes une maman et votre fille serait victime de ces violences et de ces pressions. Vous pourriez vous rapprocher de mouvements féministes, ils seraient les plus à mêmes de vous aider à donner de la voix.
Votre fille est handicapée et une enquête a déjà été faite par l'administration. Vous pourriez aussi vous adresser à l'UNAPEI dans votre région et leur faire part des difficultés que vous rencontrez.
Bon courage
28.03.08 @ 15:41