« Voici venu le temps des rires et des chants... ou « à la vie ! » | Dati, déchue ? » |
Un petit paquet ?
La chancellerie reçoit occasionnellement de petits paquets, j’en poste un. J’attends ensuite avec impatience sa réaction ainsi qu’éventuellement, celle de PETA et celle de la Fondation Brigitte Bardot.
Il y a de cela quelques temps, je recevais un boulet rouge alors que je venais de publier un article dans mes références. Je l'ai remis en ligne à l'identique et, là encore, j’attends de constater quelles seront les réactions, potentiellement très vives.
Pour tuer le temps, souvent long lorsque la justice est saisie, je propose un exercice de karaoké.
Faits divers
USA : il tue sa femme, ses cinq enfants et se suicide
Le Parisien | 27.01.2009, 22h54 | Mise à jour : 22h55
Sept membres d'une même famille, deux adultes et cinq jeunes enfants, ont été retrouvés morts par balles mardi dans leur maison de Californie (ouest), a annoncé la police, selon qui il s'agit de meurtres commis par le père, qui s'est ensuite suicidé.
Les corps ont été découverts en début de matinée dans une maison de Wilmington, à 30 km au sud du centre de Los Angeles.
L'identité des victimes n'a pas été communiquée dans l'immédiat.
«A l'heure actuelle, nous menons notre enquête comme si le père avait tué sa femme et ses cinq enfants, avant de retourner le revolver contre lui et de se suicider», a déclaré Ken Garner, adjoint au chef de la police de la deuxième ville des Etats-Unis, au micro de la radio locale KFWB.
Selon la police, une chaîne de télévision locale a reçu un appel et une télécopie d'un homme qui affirmait qu'il allait tuer sa famille puis se suicider. Ce message affirmait que l'homme venait de perdre de son emploi.
«Il était déprimé par son problème d'emploi», a affirmé M. Garner. «Il traversait une période difficile au travail (...) et c'est ce qui l'a conduit à tuer sa famille et lui-même, selon ce qui est dit dans la télécopie», a ajouté le policier.
Les enfants étaient une petite fille de huit ans et deux paires de jumeaux: des filles de cinq ans et des garçons de deux ans, selon la même source.
«C'était un spectacle terrible», a dit M. Garner, en évoquant la scène du crime. «Je suis policier depuis 32 ans et je n'ai jamais vu quoi que ce soit de semblable. C'est horrible. C'est une tragédie», a-t-il ajouté.
Série de meurtres familiaux
La Californie a connu une série récente de meurtres familiaux. En décembre, un homme déguisé en père Noël avait fait irruption lors d'un réveillon et tué sa femme et huit autres personnes dans une banlieue de Los Angeles, avant de mettre le feu à la maison et de retourner son arme contre lui.
En octobre, un homme de 45 ans avait tué sa femme, ses trois enfants et sa belle-mère avant de se suicider dans une banlieue nord-ouest de Los Angeles. Selon les médias locaux, il se débattait dans des problèmes financiers.
Mardi, M. Garner a pressé les personnes en détresse de s'adresser aux programmes d'aide sociale et aux services téléphoniques de soutien s'ils n'arrivent pas à gérer leurs problèmes matériels.
«Ce serait ce que nous espérons, que des gens cherchent de l'aide, demandent une assistance, plutôt que de choisir un tel chemin (...) ce n'est pas la chose à faire, clairement, pas la chose à faire», a-t-il dit.
Emission France 3: Areva saisit le CSA
AFP, 29/01/2009 | Mise à jour : 12:24
Le groupe Areva a annoncé aujourd'hui son intention de saisir le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) à propos d'une émission de France 3, "Pièces à conviction", consacrée aux déchets issus des mines d'uranium, et qui sera diffusé le 11 février prochain.
Dans un communiqué, Areva, qui a eu connaissance par la presse de la teneur des reportages proposés dans cette émission, estime "pour le moins surprenant, voire contraire à la déontologie, que son point de vue soit présupposé et rendu public avant même qu'il ne se soit exprimé".
Les producteurs de l'émission ont en effet prévu un entretien avec le porte-parole du groupe, qui doit être enregistré vendredi et inséré dans l'émission.
Se référant aux informations de presse, Areva exprime "le sentiment que le magazine est d'ores et déjà bouclé, à charge contre le groupe Areva". Il maintient cependant sa participation à l'émission.
Interrogé par l'AFP sur la démarche d'Areva, Lionel de Coninck, rédacteur en chef de "Pièces à conviction", a assuré qu'il ne s'agissait "en aucun cas" dans les reportages, "de présupposer ce qui va être dit dans l'émission". Selon lui, ce qui a été dit dans le reportage de la position d'Areva est "basé sur ce que dit Areva depuis des dizaines d'années sur le sujet". "S'ils ont changé d'opinion, nous le ferons savoir au public", a ajouté Lionel de Coninck.